Noelfic est temporairement en accès limité.
Envie de discuter en attendant ?
Accédez au SkyChat
Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

Aria la nouvelle héritière


Par : Onlie
Genre : Sentimental, Réaliste
Statut : En cours



Chapitre 4


Publié le 06/09/2016 à 23:27:52 par Onlie

Dans ma chambre à 19h30,

À cause de l'emménagement et de la visite assez épuisante en compagnie de mon guide Théo, en m'écroulant sur mon lit je m'étais finalement laissée emporter par le sommeil.

-Mh, quelle heure est-il ? Dis-je en me réveillant. Il est 19h32, déjà ? Moi qui voulais rentrée pour la nuit.. Tant pis, je ne vais pas le déranger à cette heure-ci.
Je n'avais pas envie de faire le moindre effort ce soir et par conséquent, ne pas faire à manger. Une bonne soirée pizza, film et bierre s'imposait. Je devais avoir quelque films sur mon ordinateur que je n'avais pas encore vu, j'en choisissais un au hasard et le laissait sur pause pour l'instant. Bah oui, une soirée pizza, film et bierre ne pouvait pas se faire sans pizza. Je pris alors mon téléphone pour appeler la pizzeria la plus proche.

-La Bonne Fournée, j'écoutes, commença mon interlocutrice.
-Bonjour, j'aimerais commander une maguarita avec une bouteille d'Ice tea et un fondant au chocolat en dessert, s'il vous plait.
-Bien sur et à quelle adresse ? Demanda-t-elle.
-Euh.. Je suis à la fac de Ravel, c'est l'escalier B et la porte numéro 31 au second étage.
-Très bien donc un marguarita, Ice Tea, fondant à la fac de Ravel. C'est noté. Par contre vous serez livré dans une heure. M'informa-t-elle.
-C'est parfait, merci.
En attendant ma délicieuse commande, je choissais de faire passer le temps en allant sous la douche. Je pris alors une serviette, ma trousse de toilette et ma robe de chambre.
Je quittai ma chambre en la fermant à clé et continuai mon chemin en direction de la salle d'eau.
Pour rejoindre les douches, je devais descendre les escaliers jusqu'au sous-sol.

19h50,

J'étais enfin arrivée aux douches, je pensais au fait que tout les jours, je devrais faire ce chemin deux fois et puis le fait de me doucher dans une salle où je n'étais séparée des gens que de murs fins ne me plaisait pas franchement mais heureusement, ce soir il n'y avait que moi, j'étais seule, pas un bruit.
J'entrais dans une cabine, la première qui venait (assez grande), sans même prendre le soin de fermer la porte à clé. Je déposai mes affaires que j'avais en main sur une petite étagère prévue pour cet usage, puis mes habits de jours après m'être entièrement dénudée. Je fis couler l'eau et déposai du gel douche sur ma peau que je frottai par la suite. Mon corps était recouvert de mousse, j'arrétai l'eau et m'assayai sur le sol, nue. Mes pensées me déconcentraient, je ne faisai plus attention à la réalité. Je repensai à Théo et à cette journée que nous avions passés ensemble, c'était si agréable d'être en sa compagnie,il était à tomber, lorsque je plongeai mon regard dans ses yeux couleurs océan, sa gentillesse tout au long de la journée. C'était un parfait gentlemant, il avai le profil du garcon parfait. J'avais beau ne plus faire attention à la réalité, mes envies quant à elles, restaient belles et bien réelles. Je ne pouvais m'empêcher de laisser une main effleurer ma poitrine.
Des clichés des moments passés en compagnie de Lucas défilaient dans ma tête, me faisant glisser lentement ma main jusqu'à ma zone de plaisir.
Je commençai d'un mouvements circulaires en appuyant légèrement mais mon envie était plus forte que ce simple mouvement, je continuai en titillant mon clitoris avec mon majeur, ce qui laissait échapper de léger gemissements de plaisir, je ne pouvais m'empêcher de faire pénétrer un doigt dans ma fente humide et recouverte de la mousse qui avait dégoulinée le long de mon buste, faisant de vas et viens tout en continuant le titillement de mon clitoris, deux autres doigts se firent vite rajouter, les vas et viens se faisaient de plus en plus rapides laissant de nouveau s'echapper des cris de plus en plus fort recouvrant totalement le silence paisible de la salle, mais mon esprit revint vite à la réalité lorsque je sursautai de peur en voyant la porte s'ouvrir brusquement laissant apparaître Théo armé d'une énorme confiance en lui. Instinctivement, j'essayai de cacher ma nudité du regard de ce jeune mâle.
Il s'approcha de moi avec un sourire jusqu'aux oreilles, ce qui me gênait un peu.
-Je sais que tu pensais à moi, dit-il d'un air sur.
Je n'arrivais pas à sortir un son de ma bouche, comme si les mots restaient coincés dans ma gorge, en même temps, cette visite me faisait assez peur, laisser un homme pratiquement inconnu me regarder, totalement nue.
Il s'avança vers moi et s'agenouilla à mes côtés, il prit d'une main mon menton et m'embrassa avec passion en me tenant par l'epaule de l'autre main. Ce qui pour moi, était un geste de tendresse. Puis sa main qui était sur mon épaule glissa lentement sur mon corps jusqu'à atteindre ma poutrine volumineuse, qu'il malaxa sans s'arrêter de m'embrasser.

-Je, ne peux pas, dis-je en le repoussant légèrement.
-Mais si, je sais que t'en as envie !

J'avais beau essayer de le repousser mais il finit par me faire abandonner et me laisser alier en m'embrassant une nouvelle fois.
Puis ses levres se décollèrent des miennes et descendirent le long de mon cou où il s'arrêta un instant pour m'mebrasser doucement. Ses baisers se transformèrent en léchouilles puis en mordillement avant de continuer son chemin jusqu'à mes seins, il les embrassa tout en les malaxant des mains, puis des mordillement se firent vite ressentirs ce qui ne me laissais pas indifférente car j'étais assez sensible de la poitrine.
D'un coup il s'arrêta net et se leva pour fermer la porte à clé, étant debout, il en profitait pour se déshabiller entièrement, laissant apparaître son corps de sportif ainsi que son sexe déjà dressé.
Il revint à mes côtes et s'asseya c'était visiblement à mon tour de me mettre au travail. Je pris d'une main son penis et commençai à le branler doucement lui attachant des petits gémissements mes mouvements se firent de plus en plus vif, je constatai que c'était le moment, je plaçai ma tête au dessus de son sexe et tirais une langue timide venant lécher son gland, il plaça ses mains sur ma tête pour me faire prendre à pleine bouche son engein. Ses gémissements se faisant de plus en plus fort au point que ses mains ne soient plus un poids sur ma tête me poussant à lui faire des vas et viens dans un mouvement trop rapide pour moi. Il me stoppa dans mon mouvement et m'allonga sur le sol sans trop faire attention à ne pas me faire mal, il se plaça ensuite au dessus de moi.
Son bras gauche passait derrière mon cou de façon à ce qu'il ait un appui puisque de l'autre, il tenait son penis cherchant à me pénétrer sans même me rendre la pareille.
Il entra sans hésitation et d'un coup de bassin sec et prit appuis au sol.
Ses coups de reins étaient brutes cela n'avait rien à voir avec de l'amour, je sentais que cet acte n'avait rien à voir avec celui d'un couple aimant mais plutôt celui d'un simple coup de samedi soir, il continua de plus en plus fort sans même me regarder dans les yeux, jusqu'à ce que son mouvement finisse par ralentir, il s'arrêta d'un coup et sortit de mon vagin et il finit par m'ejaculer sur mon bas-ventre, laissant s'echapper un petit cri de jouissance.

Il se releva immédiatement et de dirigea vers ses habits qu'il avait posé à terre. Il farfouilla et il en sortit son téléphone, il le regarda et lâcha un petit ricanement, il ne m'adressa même pas un regard ou une parole.
Ensuite il alla se rincer, puis il se rhabilla. Il allait pour sortir comme si je n'étais pas là.
-Dis, ça te dit de venir regarder saw avec moi ? J'ai commandé une pizza ? Dis-je.
-Je sais pas trop...
-Allez, je pourrais pas la finir seule, insistai-je.
-Bon d'accord, Céda-t-il.

Nous remontions tout les deux jusqu'à ma chambre. Pendant tout le trajet un silence régnait, nous n'avions pas échangé un seul regard. Lucas etait resté sur son téléphone durant tout le long.

J'étais sur le point d'insérer ma clé dans la serrure quand une voix se fit entendre.

-Tu ne devrais pas jouer avec les premières années Théo, encore moins une héritière, disait-elle.


Commentaires

Aucun commentaire pour ce chapitre.