Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Imperium


Par : Cole
Genre : Action, Fantastique
Statut : C'est compliqué



Chapitre 1 : Une journée comme les autres...


Publié le 13/03/2012 à 21:45:13 par Cole

Enfin devant mon putain de bahut, pas besoin de vous faire un dessin, si ? Bon, pour vous décrire le tout, c'est pas beau, c'est pas propre, ça ressemble à rien, ça donne pas envie de venir y étudier mais j'me suis fait pas mal de potes ici en deux ans alors autant y terminer ma scolarité.
Devant le lycée, les gonzesses de ma classe, car oui, il faut souligner, il n'y a que six mecs dans ma classe, y compris moi et vingt-quatre nanas alors il y a de quoi faire pour nous, si vous voyez ce que je veux dire.
Enfin bref, elles me remarquent et l'une d'entre elle hurle :

- KAAAAAAAAAAAAAADER !!
- Putain, obliger de m'afficher comme ça, marmonais-je.
- Tu vas bien ?
- Bah ouais, normal hein, comme chaque Mardi matin... et j'imagine que tu vas bien ?
- Bingo !

Après avoir fais la bise à tout le monde et demandé des nouvelles à toutes, je me remémore ce qui s'est produit quelques minutes plutôt. J'ai quand même faillis clamser, mais comment le capot de la voiture à l'autre a pu se retrouver dans cet état ?
Pendant mon intense réflexion... Emrik et Vincent sont arrivés, enfin des gars parce que les histoires des nanas d'à coté commencaient à me saouler un peu.

- Prêt pour l'éval' de hand' les gars ?
- Perso', j'suis chaud et vous ?
- M'demande pas, tu sais très bien la réponse mais demande plutôt ça à Kad, il est tout blanc.
- Pire, t'as vu un fantôme ou quoi, me demande-t-il tout en rigolant avec les autres.
- Ouais, ça ira, j'suis pas encore réveillé enfoiré !

Après avoir parler des résultats de la Ligue 1, de la Ligue des Champions et j't'en passe des ligues, nous décidons d'entrer dans la « prison ».
Je vous passe la bonne longue matinée de merde, sauf si vous tenez absolument à savoir comment fait la Chine pour contenir toutes ces jolies chintoks dans leur beau pays communiste.
Enfin, après un bon grec, c'était l'heure de l'éval' de handball.
Quoi ? Ça vous choque que je mange un bon Khebab avant sport ? C'est rien pour moi.
Avec le ventre bien remplie, direction le gymnase vitesse grand V car je suis en retard, enfoiré de cuistot !
Arrivé, je me change rapidement après un tour de serrage de main éclair et je rejoins mes camarades sur le terrain :

- En retard Abdelkader, c'est quoi la raison cette fois ?
- Problèmes de transport m'sieur.
- Va t'échauffer avec ton équipe.

Sur ces mots, je me mis à courir avec ma « team ».
L'échauffement terminé, les matchs sont annoncés :
Rouge, mon équipe vs. Vert, c'est partie !

Le match commençait bien, bon jeu, bon rythme jusqu'au moment ou je me retrouve face aux buts ennemi, je me prépare donc à tirer avec toute ma force, je tire, la balle entre et un énorme tremblement de terre se fait ressentir; l'afficheur de score suspendu en haut lâche, tombe et explose en miettes.

- Pas de paniques tout le monde, dirigez-vous vers la sortie de secours, vite !
- Grouille-toi Kad !

Je me relève et commence à courir vers la sortie, tout le monde est dehors, ils n'attendent plus que moi mais une partie du toit s'est éffondré juste devant la seule sortie du gymnase, je me retrouve donc enfermé.
Je cherche désespérément une sortie mais en vain. Face au mur, je commence à réfléchir, à paniquer, je me dis que j'suis condamné :

- Putain, pourquoi moi ? PUTAIN !

Pleins de colère et de désespoir, j'met une droite au mur mais mon poing s'arrête avant de le toucher et là, un autre tremblement de terre dix fois plus fort, devant moi, une fissure apparaît dans l'air partant de mon poing encore bloqué et allant de tout les cotés, ce qui provoque son l'effondrement.
Ma sortie de secours est là, je peux sortir !

- KAADER ?!
- KAAAAD, T'ES OU ?!
- Tu crois qu'il est mort Emrik demanda Vincent.
- Dis pas de conneries, cherche-le.
- J'suis là les gars...

Ils se retournent et foncent vers moi pour voir si j'vais bien et j'suis intact, heureusement j'ai envie de dire.
Deux heures plus tard, ambulances, pompiers, polices et parents sont la, notamment les miens :

- Tu vas bien ? Tu n'es pas blessé ? Tu n'as rien ?
- Ouais m'man, bon on rentre ?
- Ouais, allons-y, dit mon père.

Une fois à la maison, il doit être quinze heures, je me connecte sur Facebook histoire de pouvoir raconter tout à Marie et elle est connecté, je lance la conversation :

- Devine ce qui m'est arrivé ?!
- Devine ce qui m'est arrivé ?!

Il semble que je sois pas le seul à avoir eu une journée spécial..


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