Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Demon Hunter


Par : Deus-creatura
Genre : Action, Fantastique
Statut : C'est compliqué



Chapitre 1 : Le Manoir


Publié le 26/05/2012 à 12:10:51 par Deus-creatura

Voici ma première fic, bon je préviens mon niveau en orthographe*surtout grammaire* laisse encore à désirer donc je fais en sorte de ne pas vous faire trop mal au yeux hehe.



Pour vous les vampires, les loups-garou sa vous fait penser à quoi ? Twilight ? Ok on oublie cette exemple. Vous connaisser Torchwood, Sanctuary, Warehouse 13 ? Non ? bon pas grave. Imaginé que le monde dans lequelle vous vivez aussi normal quil puisse paraitre n'est pas si normal que sa. Que si les créature mythologique comme, je reviens dessu, les vampires, les loups-garou, même les démons et autre créature dans le même genre éxistait vraiment ? Ouai sa ferait un choc si on apprenait que tout sa est vrai. Surtout quand on le voit de ses propre yeux. Et bien ces ce qui m'ai arrivé pour ainsi dire mais revenons au début de mon histoire. Quand tous a commencé, c'est à dire il y a 4 ans de cela.

Je me nomme Thomas Sepcer, j'ai trente-deux ans et travaillais en tant que psychologue dans une entreprise de marketing et blablabla. Bref je m'intéressais aussi beaucoup à tous ce qui touchait de près ou de loin au paranormal. Bien que j'étais loin d'imaginer que ce en quoi je croyais s'avérais faux ou presque.

Trois heures du matin je rentrais enfin chez moi, en prenant le métreo comme à mon habitude et bizarrement je remarquais que le wagon ou je me trouvais était vide, mais vide de chez vide hein. Pas une seule personne ne sy trouvais et c'était la même dans tous les autres wagon du train.
Le silence le plus totalle, pas un bruit ne se fit entendre à celui du train sur les rails. Arrivé à ma station, je prit ma sacoche et sorti en vitesse. Arrivé au niveau des escalier qui menait à la surface je cru voire une ombre derrière moi. Je me retournas pour voire ce que c'était mais, rien, personne pas un chat. Mon coeur c'était mit a battre rapidement dut à la petite fraieur que je m'était fait. Je déboulat sur la rue, les lampadaires avait du mal a marché et les rue était vide de toutes vie.
Je me mit à accélérer le pas en direction de mon appartement quand un bruit de poubelle qui tombe me fit arréter net. Je me retourna et vit une la silouhete d'un homme, il semblait avoir la jambe cassé, il ne marchait pas droit et avec difficulté. Je regardait mieux et vit que c'était une femme, le crane chauve et les vétements à moitié déchirer.

- Vous allez bien madame ? Criai je en sa direction.
La femme s'approchait de moi lentement sans un bruit, en regardant de nouveau je remarquait comme une étrange cicatrice qui partais du bas de sa lèvre et qui allait jusqu'au bas du manton et ses yeux était tous noirs, comme si la pupille était extrèmement dillaté.
- Madame ? Madame m'entendez vous ? Repri je.

La femme s'arréta net, elle me fixait de ses yeux avec un aire étrange que je ne saurais décrire, quand elle ce mit à ouvrir la bouche en grand, la cicatrice qu'elle avait s'écarta elle aussi et sa bouche s'ouvrit en trois, une gueule affreuse, dont les parois était entièrement recouvert de petite dent aiguissé comme des rasoir. Tous mon corps était paralysé devant une monstruosité pareille. La femme si je peut encore l'appellé ainsi se mit à me foncer dessus. Je voyait la mort arrivé de face, et comme un imbécile j'allait mourir ici par une créature sans avoirs rien put faire.

- Encore une saleté de predateur... sa commence à devenir lassant...
Le monstre bondit sur moi mais avant d'avoir put m'atteindre un coup de feu retentie et la créature explosa, des morceaux de cerveau éparpillé un peu partout sur le sol. Je tourna la tête doucement derière moi. Une femme a la peau entièrement blanche, les cheveux rouge,les yeux rouge,une paire de corne et une queue rouge, un flingue dans chaque main,un couteau attaché à la jambe droite, elle portait un mini short noir et un t-shirt rouge clair qui laissait voir un bandeau noir en guisse de soutien gorge et une chaine autour du coup. Elle aussi mince et de petite taille.
- A ton tours maintenant.
Elle ce mit à sourir en me regardant et pointa ses deux flingue vers moi, dire que je me croyait sauvé quand au coin de la rue d'autre silouhete apparure, toute était chauve, les yeux entièrement noir et la même cicatrice à la lèvre.
- Bon je vais devoir d'abord m'occupé de vous mes bébé. Dit la femme en tournant la tête vers eux. Je me charge de toi après alors t'avise pas de me faire faux bond.
Un sorte d'aile rouge de forme tribal sortie de son épaule droite, en passant devant moi je vis un tatouage en forme d'aile tribal et deux autre encore au niveau des avant bras dans le même genre que celui du dos. Son bras gauche s'entoura d'un éclaire rouge qu'elle lançat sur l'une des créature qui s'embrasat instantanément. Malgré le faite que je savais que j'allais mourir même si j'essayai de fuire je restai la planté comme un idiot à regardé le combat.

"Mais qu'est ce que je fous la moi." Me dit je dans la tête. "Cette femme... ces... ces chose... Faut que je me casse d'ici mais mes jambe refuse de bouger !"
- Fait chier ! Me suis je mi à crier quand j'entendit des bruit de pas derrière moi. Je me disait que c'était d'autre de ces monstruosité qui venait d'arrivé. Je tourna la tête pour voire ce qui arrivait quand un violent coup dans la tête me fit tombé au sol, ma vue s'assombrisait, j'eu juste le temps d'apercevoire un forme s'approché de moi avant que je ne finisait de m'évanouïr.


-Mr.Sepcer ? Mr.Sepcer m'entendez vous ? Rha je t'avais dit de ne pas frapper trop fort.
- Désoler père mais je ne contrôle pas toujours ma force.

J'émergais lentement, ma vision encore trouble redevenais lentement normal. J'était allongé sur la banquette d'une voiture, un homme ce trouvait devant moi, je ne percevais pas encore bien ce qu'il me disait.
- M.Specer ! Enfin vous revoila parmi nous.
- Que... Je me relevas doucement pour me mettre assis, ma vision était de nouveau rétablie. J'aperçu bien mieu l'homme devant moi et comprenait mieu ce qu'il me disait.
Il n'était ni grand ni petit, ses cheveux était mal coiffercomplètement ébouriffé, ses yeux était d'un marrons très foncé, il portait un costume entièrement blanc.
- N'allez pas trop vite d'en vos mouvement M.Specer, le coup qu'elle vous à assigné fut quelque peu... violent.
- Je n'ais pas fait exprès père.
Je regardait derrière l'homme, une femme au long cheveux noir attaché en couette conduisait la voiture dans laquelle je me trouvait, au moment ou elle possé son regard sur le rétroviseur intérieur je pus voire ses yeux qui était d'un gris sombre.
- Attender une minute ! Qui êtes vous au juste et qu'ai ce que je fiche dans cette voiture d'abord.
- Excusé ma maladresse, je suis Sir.Van Steincheld et voici ma fille adoptive Christina mais par l'amour de dieu, je vous pris M.Specer de vous calmez, pour l'instant vous ne devez pas trop en faire, je vous expliquerais tous en temps voulut quand nous seront arrivé.
- Arrivé ? Ou ça ?
- Au Manoir.
L'homme sortat une boite de cigare d'en dessous du siège ou il se trouvait. Il en prit un et l'alluma avec un briquet qu'il prit dans sa veste.
- Vous en voulez un M.Specper ?
- Je regrette mais je ne fume pas.
- Ils viennet de cuba vous êtes sur ?
- Sans façon.
- Si tel est votre décision alors elle est irévocable.
L'homme mit le cigare dans sa bouche puis recracha la fumée en l'aire avant d'ouvrir la fenètre pour aérer.
- Vous devriez penser à votre santé père. Le tabac est mauvais pour vos poumons et vous manquez d'exercice.
- Mes poumons von très bien ma fille, et je n'ai pas besoin d'exercice je suis en pleine forme. Juste que le manque d'activité ma quelque peu rouillé depuis ces tois dernière année.
Pendant que Sir.Van Steincheld continuait à brassé de la fumé je regardait par la fenètre le paysage changer petit a petit, nous étions passé du quartier Est au quartier Nord ou plus précisément de la nouvelle à la vieille ville. Les gratte ciel laissère place au petite immeuble, les routes de bitune par des chemin en pavé. Nous passâmes devant la villa abandonné, endroit de nombreuse légende avant de s'engoufré dans un parc et de s'arréter devant une immence baraque.
- Ou somme nous ? Demandais je à Sir.Van Steincheld.
- Bienvenue dans mon humble demeure M.Specer. Dit Sir.Van Steincheld en sortant de la voiture. Bienvenue au Manoir Van Steincheld.


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