Note de la fic : :noel: :noel:

Le jugement dernier


Par : Boa313
Genre : Polar, Action
Statut : C'est compliqué



Chapitre 1 : La ville s'éveille


Publié le 27/06/2011 à 22:35:07 par Boa313

Il était neuf heures, un soleil doux éclairait la ville de Stick-Paradize, capitale de Stick Nation, pays de tout les stick-men, une ville de six millions et demi d'habitants, un taux de délinquance de dix huit pour-cent, une ville surnommée « ville aux milles avantages », Monsieur Brown, détective privé, ex agent des forces d'interventions, se levait. « Hum... Voilà bien trois semaines qu'il n' a pas plu, si ça continue ils vont encore nous limiter l'usage de l'eau... » Pensait il en sortant du lit, se dirigeant vers la salle de bain. Il urinait, se rasait et, enfin, il allait déjeuner. « Bon, dans dans quinze jours c'est les élections présidentielles et pour le moment les sondages ne sont pas bons, ils vont élire un raciste à la tête du pouvoir pendant six ans » Continuait-il en prenant son café. Le petit déjeuner finis, le téléphone sonna sur sa ligne personnelle, c'était Déreck, le jeune assistant de Monsieur Brown. « Allô? Décrochât Monsieur Brown avec une voix encore bien matinale.
- Oui, c'est moi Déreck, j'espère que je ne vous dérange pas?
- Ben... Maintenant que tu a commencer... Qu'est-ce-que tu veux?
- Non rien, juste vous prévenir que je prends une semaine de congés, je ne quitte pas la ville.
- OK, fais comme tu le sens... »
Monsieur Brown fit ensuite un peu d'exercice physique pour se maintenir en forme jusqu'à onze heures. C'était un stick d'une quarantaine d'années qui aimait le sport, il allait souvent courir le dimanche matin dans les jardins publiques quand il ne travaillait pas. Ce lundi la il avait décider de faire plutôt de la musculation avant de raccrocher son colt à la ceinture et d'ouvrir le cabinet pour commencer sa journée de boulot.
Pas si loin de là, c'était un autre policier qui allait au travail, le commissaire Joe, alias « Calibre 357 » du fait de son arme, un « Smith & Wesson ». Lui en revanche était loin de bien commencer sa matinée. Il fallait savoir que Stick-Paradize se transformait rapidement en enfer pendant les heures de pointes. « Non de dieu ! Jurait-il envers le véhicule qui le précédait, mais tu vas la bouger ta carlingue ! C'est tout de même pas croyable ça, continuait-il, une heure pour faire cent mètres ! » Ce qui énervait le commissaire c'était surtout qu'il n'habitait qu'a vingt minutes du commissariat central de la S.P.P.D. -Stick-Paradize Police Departement- ou il travaillait. Dans sa voiture l'auto radio n'arrêtait pas de rabâcher les mêmes informations concernant les élections. « Punaise, ils ne pourraient pas passer à autre chose, râlait encore Joe, je suis coincer au milieu de ces incapables, j'ai un rapport à remettre au commissaire divisionnaire pour cet après midi et ils nous bourrent le crâne avec leurs fichus paranoïa pour les meetings de Vendredi, en plus je m'en fous, les élection ne sont que dans quinze jours ! »
En attendant, c'était un stick pas comme les autres qui avait déjà bien entamer sa journée, ce stick, c'était un tueur à gage, responsable d'une vingtaine de meurtre non résolus dans Stick-Paradize. Au service du plus offrant, il tuait tout ce qui devait l'être pour une raison ou pour une autre depuis deux ans. Pour le contacter, il n'y avit qu'un moyen, passer par « Le notaire » appeler ainsi puisque c'était lui qui se chargeait de faire le lien entre le client et lui après le passage du contrat rédiger sur papier qu'il scannait et qu'il envoyait sur une boîte de courrier électronique plus sécuriser que les services secrets eux mêmes. Autant dire inviolable, in-traçable, on ne pouvait en aucun cas remonter jusqu'à lui. Ce stick, que les médias avaient surnommé « Le tueur » ne révélait son identité à personne, aucun stick dans cette ville ne connaissait son identité et son métier à la fois. Ce matin là il était justement dans la phase terminale d'un contrat, loger sur l'un des nombreux sommet d'immeuble de la villes. Depuis des semaines, les médiats ne faisaient que parler de lui et des élections qui se profilaient, ils n' attendaient plus qu'une nouvelle exécution pour approvisionner leur première page. « Tenez, en voici un que vous pourrez afficher dans vos chronique nécrologique et que personne ne regretteras. » Chuchota-t-il avant de presser lentement la détente de sa « M21 ».


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