Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Dead Time, Tome 1


Par : DEN2OO7
Genre : Action
Statut : C'est compliqué



Chapitre 1 : Chapitre 1


Publié le 06/09/2011 à 12:22:02 par DEN2OO7

Bonjour a tous ! :cool:


Cette fiction est en parallèle des événements du jeu DEAD SPACE. Mon idée serait d'intégrer des soldats de notre époque dans cet enfer que fut l'Ishimura, immense vaisseau spatial dont l'équipage fut infectée par une bactérie extraterrestre, les transformant en montres assoiffés de sang. Comment cela pourrait etre possible me demanderez vous ?

He bien, lisez la suite, vous comprendrez ! :)

La fiction est déjà terminée depuis plusieurs mois et comporte 65 chapitres ! Elle a une vraie fin et j'ai fais en sorte qu'elle tienne la route. Les voyages dans le temps ainsi que différents flash back apporteront les personnages en 1799, 1815, 1997, les années 2000 et l'année 2432 ou se trouve le vaisseau dérivant dans l'espace, ou se déroulera la majeure partie de l'histoire !




2010
France,
Bunker sous terrain de l'armée de terre.
Lieu tenu Secret.



-Ce sera une mission périlleuse capitaine, je suis sur que vous saurez quoi faire en temps voulu.
-Pardon ? Effectivement je saurais quoi faire, mais qu'est ce qui vous dit que cette équipe de bras cassés me suivra.
-Tout simplement parce que s'ils désobéïssent a vos ordres, capitaine, ils seront abattus des leur retour.
-J'espère bien que cette menace fera regner l'ordre dans le groupe, mon seul charisme ne pourra pas les tenir, je sais quel est ce genre de soldat, et ils sont pret a tout pour...je ne sais pas. Ils ont le profil type du mercenaire.

Le soldat était inquiet, il savait qu'on le menait droit à l'abatoir, ses yeux ne se détachaient pas de l'homme en noir. Il voulait a tout prix le faire changer d'avis. Mais il n'avait malheureusement aucun pouvoir. L'individu gigantesque qui se tenait devant lui reprit :

-Mais c'est bien pour ca qu'ils ont été mis au arrets. Nous ne faisons que leur donner une seconde chance.

-Tous ces critères me semblent montrer en tout points qu'il s'agit d'une mission suicide. On dirait que vous savez exactement sur quoi nous allons tomber une fois que nous serons partis.

-Ne dites pas de sottises, capitaine. Je sais a peine de quoi il s'agit, tout comme vous.

Un silence de glace s'installa. Le regard agé du ministre de l'intérieur impressionnait le noble petit capitaine qui tentait de lui arracher des bribes d'information. Rien ne pouvait l'aider. L'ambiance était pesante. Le néon éclairait mal la pièce ou se trouvaient les deux hommes. La poussière en suspension était étouffante. Le soldat finit par se faire une raison :

-Et quand est ce que l'opération commence ? J'ai une semaine de préparation comme d'habitude ?

Le politique se mit a rire :

-Vous n'y pensez pas capitaine ? Nous ne savons toujours pas combien de temps la
Dalle restera fonctionnelle ! Il faut emprunter sa voie des maintenant !

Le regard du capitaine était percant dans l'obscurité. Il savait reconnaitre les missions périlleuses, dangereuses, inconscientes et suicidaires rien qu'au briefing grâce a sa courte expérience.

-Je suppose que les hommes sont entrainés et sont au courrant de se qu'il se passe...Monsieur le ministre ?

Son ton était très autoritaire, très audacieux et insolent. LE bunker sans lequel il se trouvait renfermait les pires soldats francais encore vivants. Mercenaires, officiers véreux, ou soldats d'elites corrompus, tous très intelligents et très dangereux. Lui seul pouvait se permettre de commander une poignée de ces hommes, de par sa formation à toute épreuve.

-Mon garçon, ne vous attendez pas a côtoyer des hommes digne des bérets verts comme vous le faisiez autrefois, car vous n'en êtes plus digne de toute façon.

Le capitaine Frasier insista sur chaque mot.

-Je croyais avoir posé une question, ou même deux.

-Ces hommes, comme vous les appelez, sont emprisonnés depuis 4 à 5 ans et n'ont donc pas recu d'entrainement digne de ce nom depuis cette période.

-Génial. Je quitte cette mission, je rentre chez moi.

Le capitaine ramassa son béret posé sur la table, salua le ministre, claqua des talons, et se dirigea vers la porte. C'est alors que deux gardes armés, fusils a l'épaule, lui barrèrent le chemin.

-C'est malheureusement impossible, capitaine. Vous avez été mis au courrant d'un secret d'état extrêmement important. Vous ne pouvez plus sortir avant d'avoir accompli votre mission. Il faut un minimum de personnes au courrant.


Un ton moqueur avait accompagné la voie du ministre.
L'officier déchu se retourna, résigné.

-Je suppose par la même occasion, que les hommes ne sont pas non plus au courant de quoi que ce soit ?

-Nous comptions sur vous pour leur expliquer capitaine.

-Très bien, j'accepte. Je ferais tout ce que vous voudrez. Puisque c'est la seule manière raisonnable de retrouver une vie normale.

-Oh croyez moi, je suis sur qu'après être revenu, vous ne pourrez plus jamais gouter aux joies d'une "vie normale".

La capitaine Frasier passa enfin la porte, ayant obtenu la grace des deux gardes. C'est alors que la voix du ministre le retint :

-Oh capitaine !

-Qu'y a t'il monsieur le ministre ?

-étant donné l'importance de la mission, et des grades de vos futur troufions, je vous nomme au grade de Lieutenant.
Félicitations.

Aucune joie ne rempli l'esprit du nouveau lieutnant Marc Frasier. Il savait que jamais il ne pourrait sortir de ce bunker de toute sa vie. Qu'importe. Il n'est plus capable d'aimer quoique ce soit au jour d'aujourd'hui. A quoi bon s'attacher a quelque chose que nous ne pouvons plus désirer. Adieu la vie normale. Bonjour l'enfer sur Terre . Ou plutot, Sous- Terre.

Tout en avançant dans les couloir qui ressemblaient à une descentes aux enfer, il se rappelait ce qu'était cette mystérieuse DALLE dont parlait le ministre. Un artefact découvert en égypte par nos courageux archéologues de l'époque Napoléonienne. Il posséde des pouvoir magique parait il.

"Conneries" pensa le lieutnant Frasier.


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