Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Brothers


Par : Liberty
Genre : Action
Statut : Terminée



Chapitre 3


Publié le 10/03/2012 à 12:51:30 par Liberty

Comme je m'y attendais, il n'y eu pas de mariage. Le numéro de téléphone de mon frère ne répondait pas. Celui de Jena non plus. Comme vaporisé dans la nature. Je me rendis dans les endroits où on traînaient habituellement . J'avais instantanément perdu toute ma joie de vivre. Je me rendis un morne soir dans un club où on avait l'habitude d'aller pour échapper à notre boulot. Je m'assis sur un tabouret et commanda un double whisky. Le barman me regardait, comme à son habitude avec un air bizarre. De toute ma vie, je n'ai jamais rencontré de barman sympathique à Los Angeles. Toujours à vous regarder d'un œil louche, comme si vous alliez foutre le feu où je ne sais quoi. Je décida de tenter ma chance tout de même.

-Dites -il se retourna-, z'auriez pas vu mon frère dans le coin. Je...j'arrive plus à le joindre. Le brun avec qui je venais souvent.

«Ça me dit rien » fut mon unique réponse. Je m'en contenta et fini mon verre avant de sortir. Ça faisait maintenant 4 jours que j'avais pas vu mon frère et sa femme. Je me dirigea vers une cabine téléphonique et composa le 911. Je détestais les cabines téléphoniques mais j'allais m'en contenter. Une voix féminine décrocha immédiatement.

-Bonjours. Je voudrais signaler la disparition de Craig Cooper et de Jena Bevel.
-Une minute monsieur..., me répondit la voix suave de mon interlocutrice.
-J'ai tout mon temps, après tout je paye pas la communication.
Environs deux minutes plus tard, j'eu la réponse que je craignais tant.
-Ces personnes n'existent pas monsieur. Merci d’arrêter de faire des blagues voulez vous.
-Mais je...
-Le seul Craig Cooper que j'ai dans mon registre à 78 ans, vit à San Francisco et est ce soir même au bal des vétérans. Je viens de vérifier.
-Cela n'a rien à...
-Je vous prie de libérer la ligne monsieur. Et ne rappelez pas.
-Je...
La communication avait coupée. « Salope de standardiste » pensai-je en raccrochant le combiné sur le présentoir collant. Je ne chercha pas à savoir pourquoi et sorti. Je me senti seul façe au monde. Les flics voulaient rien entendre, et j'avais aucune envie de retourner agresser le petit vieux. Je prit un taxi et décida de rentrer chez moi, pour demander à la seule personne qui aurais une explication rationnelle. Ma mère.


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