Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

Mes copines étrangères


Par : lls
Genre : Sayks
Statut : C'est compliqué



Chapitre 3 : Fin. Oh, wait...


Publié le 04/01/2013 à 18:00:11 par lls

Voilà, le mal est fait, le gros tas commence à me parler :
-Hello !
J’avale difficilement ma salive, et tente d’afficher un sourire. Et là, les Dieux arrêtent de se moquer de moi :
-I’m looking for the reception…
Mon cœur se remet à battre, et d’un faible geste du bras, je lui indique l’accueil. Elle dégage donc, me laissant face à face avec la sublime asiatique que j’avais repéré. Mais cette fois, elle me regarde droit dans les yeux avec un petit sourire.
-There is no « e » ! lance-t-elle en me pointant du doigt.
Empoté, je mets cinq secondes à comprendre qu’elle parle de la pancarte.
-Oh, ok ! It’s Yun… I’m sorry !

Elle est juste méga bonne. Pardonnez ma subtilité, mais il n’y a aucun autre mot pour décrire la chose qui me fait face.
Elle porte des talons assez hauts, mais même avec ça, elle doit lever la tête pour me regarder. Elle doit mesurer dans les 1m60 maximum. Bien que fine, elle a ce qu’il faut où il faut. En fait, elle a un physique idéal. Son jean colle parfaitement à sa peau, laissant deviner des jambes aux proportions parfaites, et des cuisses que j’ai envie d’attraper (mais je me retiens :noel: ). Malgré la chaleur, elle porte un gilet fermé qui ne suffit pas à cacher l’ampleur de sa poitrine. Ses mains sont fines et semblent incroyablement douces. Ses ongles sont impeccablement peints en rouges et elle porte trois bagues en tout, dont une au pouce (j’imagine le handjob :bave: )

Et son visage. :ouch:
Sans défaut, des joues parfaites, un sourire éclatant à faire tomber, une peau pâle mais chaude à la fois… Et ses yeux… :bave: Très clairs, ils contrastent totalement avec son mascara sombre et sa chevelure noire de jais à peine contrôlée par un chignon leste. Son regard fait sursauter Courage dans mon caleçon. J’ai vraiment l’impression de voir une actrice porno qui me fait de l’œil. Provocateur, presque illuminé d’excitation et d’amusement, il me semble même distinguer une étincelle lubrique lorsqu’elle passe sa langue sur ses lèvres déjà humides de gloss.

Tout ça ne se passe qu’en deux secondes, et je reprends immédiatement mes esprits. Je dois rêver, c’est sûrement son regard habituel, et la chaleur doit me faire délirer. Elle a d’ailleurs quitté mes yeux pour regarder sa montre, et me lance :
-Bonjour !
Son accent est juste à craquer, et je réponds :
-Bonjour.

Elle essaie de se reprendre, de répéter comme moi, et je trouve ça vraiment mignon. Elle a toujours ce regard de tigresse, et je sens Popol qui cogne contre ma cuisse pour que je le laisse regarder. Je constate qu’elle traîne difficilement trois énormes valises à roulettes (bah oui, elle n’a que deux mains. :noel: ), et je m’empresse d’en attraper deux, lui laissant celle qui paraît la plus légère.
-Mer-ci tente-t-elle, avant de jauger mon expression pour voir si sa prononciation n’est pas trop ridicule. Puis elle éclate d’un rire cristallin. (Là, Courage a fini de s’étirer et commence à bâiller. :noel: )

Je ne me laisse pas démonter, et la félicite, alors que nous nous mettons en marche. Mais elle s’arrête après deux mètres, et ouvre sa valise. Je l’interroge du regard, et vois qu’elle semble dérangée par quelque chose.
-C’est chaud, dit-elle, hésitante.
Et là, sans attendre de réponse, elle enlève son gilet. Mon cœur s’arrête de battre, Popol s’attaque à ma braguette en soufflant comme un bœuf.


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