Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

La légende de Termina l : Moon Fall


Par : zebigboss70
Genre : Action, Fantastique
Statut : C'est compliqué



Chapitre 25 : Mystérieuse rencontre


Publié le 13/04/2013 à 12:10:48 par zebigboss70

...Saches que je m’appelle Misaki. Mais tu peux aussi m’appeler Misa’. Les Terminiens me nomment l’homme-loup, je suis celui qui a sauvé Termina de l’infâme Mocpac, le seigneur du mal.
-Enchanté, moi c’est Matthieu, mais tu peux m’appeler Matth’. Il paraît que je suis l’Elu. Par contre, ça te dérangerais de te montrer s’il te plaît ? J’ai l’impression de parler dans le vide.
-Comme tu voudras. »

Alliant le geste à la parole, il apparut. Ce fut étrange. Pas son apparence, mais la façon dont il se montra : il « apparut .» C’est le seul mot juste. Il n’y avait devant moi que la « chose » affreusement mutilée, puis, une lumière noire se montra durant quelques millièmes de secondes avant de laisser place au dénommé Misaki. Il était plutôt grand, légèrement plus que moi. Ses yeux verts contrastaient habilement avec ses cheveux bruns, tombants en désordre sur ses épaules. Un arc et une lame étaient accrochés à son dos par deux lanières et un fourreau, tout de bois constitué. Lesdites armes étaient finement ciselées, et d'une dangerosité effrayante. Son accoutrement était quand à lui des plus simples : il portait sur lui une tunique semblable à la mienne mis à part le fait qu’elle était de couleur anthracite. Attachée au niveau de ses épaules, une cape de jais retombait aléatoirement sur son dos, immobile. Il n’y avait pas une brise en cet après-midi d’été.

« -Je sais qui tu es. Cependant... je ne m’attendais pas à te rencontrer borgne. T’as dû te faire sacrément mal, ça va ?... J’ai toujours affirmé que Siwan ne disait que des conneries. Tu en es la preuve vivante.
-Oui ça va, Oni a réparé les dégâts. Mon œil en moins me gêne, mais il ne me fait plus mal. Comment se fait-il que Siwan ne dise que des conneries ? Je me suis fais avoir depuis le début ?
-Ouaip. Mais t'es pas crédule pour autant, hein ? Moi-même je suis tombé dans le panneau il y a trois ans. Je viens du même monde que toi. En fait, Siwan ne dis pas de conneries : il ne dit pas toute la vérité, il cache ce qu’il ne veut pas que tu saches. Il n’est pas foncièrement mauvais, je suis sûr qu’il ne voulait pas que tu te blesses. Ce qui n’excuse pas son comportement envers toi, bien entendu.
-Il ne m’a pas dit toute la vérité, c'est-à-dire ?
-Tu n’avais pas forcément besoin de l’œil de vérité pour rentrer chez toi. Tu n’as pas réellement besoin du masque d’Oni pour venir à bout de Skull Kid. Le masque en lui-même est cassé, il n’a plus aucun pouvoir. Il a dit que cela te rendrait plus fort car les épreuves que tu as surmonté t’ont endurci, mais c’est tout.
-C'est pas très sympa de sa part, il avait juste à me demander, si il voulait de l'aide. Il faudra que j'en parle avec lui quand ce sera fini. Bon, c’est toi qui dois m’apprendre la magie noire, je suppose ?
-En fait non, le Sphinx ne savait pas que j’étais là. Tu es censé apprendre tout seul. C’est l’unique façon de faire qui te garantisse la vie, ou plutôt, la paix. Tous les mutants que tu vois ici sont comme ça depuis qu’ils ont raté un sort de magie noire. C’est bien ce qu’il y a de plus dangereux. La plupart voulaient la vie éternelle. Ils l’ont eue. Ils ne peuvent pas mourir. C’est pourquoi je préfère les mettre hors d’état de nuire, quitte à les faire souffrir le martyr. Il leur arrive de faire une petite crise, de temps en temps.
-Pourquoi deviennent-ils comme ça ? Demandai-je en désignant le corps agonisant.
-La division cellulaire se produit de manière désordonnée et incomplète. Petit à petit, certains allèles disparaissent et d’autres se créent. Leur information génétique est donc de plus en plus différente de celle d’un humain. Les plus vieux sont à un assemblage hasardeux d'animaux plutôt que ce qu'ils ont été.
-Et à quoi ressemblent leurs « crises ».
-Ils se mettent à hurler et à essayer de me tuer. Des fois, je vois des mages venir ici. En général ils ratent leurs sorts et se mêlent à la foule.
-Et quand ils réussissent ?
-Je les attaches à un mur, ils se font manger par les autres mais ne meurent pas. Ça leur apprendra la vie. Et puis de toute façon, ils sont trop dangereux en liberté.
-Mais pourquoi restes-tu ici, c’est pas le meilleur endroit pour vivre.
-Je me suis donné comme mission de surveiller ce lieu. C’est un endroit clef de ce monde. Au fait, on ferait mieux de se préparer, ils vont bientôt lancer leur assaut quotidien. Suis-moi.
-D’accord. »

C’est ainsi que je calquai sa trajectoire. Il m’attira en haut d’une arche que nous escaladâmes sans difficulté.

«- Tu sais tirer à l’arc ?
-Bien sûr.
-Alors ils vont morfler. Je vais sur l’arcade à côté, ils tenteront de casser les piliers qui nous soutiennent, si tu sens que ça va tomber, prends tes jambes à ton cou, je t’aiderai. Ne joue pas les héros, ça pourrait te coûter la vie. Bonne chance.
-Ouais, essaye d’en sortir vivant, toi aussi.
-T’inquiète pas pour moi. »

Sur ce, il disparût, puis, se rematérialisa à ma gauche. Il banda l’arme salvatrice, et je fis de même. Peu de temps après, des cris provenant de l’intérieur de la tour confirmèrent ses propos. Je lui jetai un dernier regard et il acquiesça. Nous étions prêt. C’est à ce moment que je remarquai un symbole étrange sur le dos de sa main droite. Ce ne pouvait pas être la Triforce tout de même. C’était noirâtre. Trois triangles représentant la force, la sagesse, et le courage. Au centre, un triangle renversé brillait d’une lumière violette et irréelle. Peu importait, il fallait passer à l’action : le premier mutant passa la porte en hurlant, un gourdin à la main.

Ne réfléchissant à plus rien d’autre qu’à sauver ma peau, je tirai. Un genou éclata, le sang gicla, des nerfs furent tranchés, des tendons sectionnés… La rotule touchée se retourna. Trois autres projectiles sifflèrent. Misaki avait fait mouche. Ne m’interrompant en rien dans ce que j’étais en train de faire, je lançai une pluie de flèche sur mes différents assaillants. Des bras tombèrent, déchirés par la force avec laquelle mon camarade tirait. En ce qui concernait mes projectiles, ils touchèrent les yeux. C’était autant une vengeance personnelle qu’une stratégie mûrement réfléchie. Ils furent bientôt une petite quarantaine à déferler. Dans deux cents mètres, ils seraient à notre niveau. Voulant les ralentir pour que nous soyons tranquilles un peu de temps, je visai leurs pieds et lâchai la corde de mon arc. L’effet fut plus efficace qu’escompté : j’avais ajouté un peu de magie rouge à mon trait qui explosa lors de l’impact, créant alors un cratère et arrachant moult membres à cette masse grouillante. Le liquide vital s'échappa, peinturlurant la façade extérieure de l’édifice d’un rouge carmin.

« Pas mal, je n’y avais pas pensé, continue. »

Suite à ces encouragements, je redoublais d’efforts. Peu de temps après, je vis un œil rouler par terre, transpercé de part en part. Le spectacle était encore plus gore que tout ce que j’avais vu jusque là. Le trou de deux mètres de large se transforma en piscine écarlate, les nombreux nageurs qui la peuplaient ne mirent alors que peu de temps avant d’en sortir. Nous en avions immobilisés une bonne trentaine au sol, mais il en restait encore plus ou moins cinquante. Une flèche animée de ce qui semblait être une volonté propre en embrocha deux avant d’arrêter sa course. Je vis soudain un corps d’enfant se détacher de la foule. Il avait tout au plus six ans. Ses mains crochues tenaient deux dagues. Son globe oculaire droit possédait pour toute pupille une croix rouge. Que pouvait-elle bien représenter ? Je n'en avait aucune idée. Sa peau était gonflée en plusieurs endroits, elle ressemblait à du caoutchouc usagé. Le sang gicla tout à coup d’un trou dans son intestin grêle.

« Pas de pitié. N’oublies pas que tu dois survivre. »

Concentrant mes tirs sur la colonne vertébrale, j’essayai au mieux de couper la connexion nerveuse avec les jambes. Même à deux, nous ne pouvions repousser tous les ennemis. Leur nombre n’augmentait plus, mais ils parvinrent en quelques secondes seulement aux pieds des piliers qui nous soutenaient. Des chocs multiples et variés commencèrent alors à ébranler les deux structures antiques. Elles ne tiendraient pas longtemps. Nous en avions fait beaucoup, mais le plus dur restait à venir. Sentant mal les choses arriver, je sautai. Cette judicieuse idée me sauva sans doute la vie : peu de temps après, l’arc rocheux s’effondra. Une demi-douzaine de mutants fut alors ensevelie. « Quelle bande de boulets, pensai-je. »

C’est à ce moment qu’un ancien mage brandit une lame rouillée et courut vers moi. Ne sachant que très bien ce que j’allais faire, je rangeai mon arme de jet dans son étui pour dégainer enfin Excalibur. Tandis qu’il arrivait à ma hauteur, je vis qu’il faisait largement vingt centimètres de plus que moi. Je me préparai à esquiver pour pouvoir riposter avec une attaque de taille jusqu’au moment où cinq flèches lui perforèrent la nuque et les deux omoplates, l’immobilisant. Profitant de cette occasion, je lui sectionnai les jarrets.

Deux autres colosses s’avancèrent, prenant la relève. De son côté, Misaki était encerclé. Il sortit sa rapière, décapita un adversaire, et je ne pus en voir plus. Je devais moi aussi passer à l’attaque. M’écartant vivement pour échapper à une massue trop proche de ma corporation, j’enfonçai ma lame dans le tronc du mutant qui se tenait à ma gauche. Suite à cela, je n’attendis point de réactions de la part de l’autre, je lui désintégrai le torse via le bouclier miroir. Des morceaux de chair ensanglantée s’éparpillèrent sur le sol. Derrière moi, un horrible bruit de succion se fit entendre. Je me retournai et brandis mon poing gauche, assénant un formidable uppercut à l’auteur du son insolite. Uppercut totalement inutile car ses cervicales avaient déjà étés broyées par… la mâchoire d’un loup.

« -T’inquiète pas, c’est simplement moi, m’affirma alors Misaki en reprenant sa forme humaine.
-Il faudra que tu me dises comment t’as appris ça. »

Il restait maintenant moitié moins d’ennemis, ce qui n’empêchait pas ceux-ci d’abonder. A ma gauche, une colonne s’élançait vers le ciel sur près de cinquante mètres, à ma droite, les mutants affluaient en passant sous une arche. Épris d’une émotion nouvelle et indescriptible, je canalisai mon énergie. Bientôt, une image de moi, blanche comme la neige, cent fois plus grande que l’originale apparut à mes côtés.

« -Tu y es presque, tu as pigé la plus grosse partie.
-La plus grosse partie de quoi ? Je ne sais même pas ce que je fais.
-De la magie noire, bien sûr. »

Comprenant soudain ce qui se passait, je tendis mon bras droit devant moi avant de l’abaisser brutalement. L’image à grandeur décuplée fit de même, détruisant une arcade qui retomba en morceaux sur les assaillants. Dix, il en restait dix, plus l’oiseau, mais il n’était pas agressif. Pas pour l’instant. Rompant le flux magique, je sortis la Master Sword, encore incrustée dans un cadavre.

« -On leur éclate le crâne ?
-Ouais, allons-y. »

C’est ainsi que nous nous élançâmes à l’encontre de ce qui restait des créatures maléfiques. Un éclair fila à mes côtés, empalant moult têtes. Pendant ce temps, je perforai, de ma lame imbibée de sang, tout ce qui passait à portée. Les mutants étaient bien entendu immortels, ils ne moururent donc point. Ils étaient tout simplement hors d'état de nuire pour quelques temps. Quatre, trois, deux, il n’en resta alors plus qu’un. Voulant finir en beauté, j’attendis que mon compagnon ait retiré son épée de la boîte crânienne pour lacérer le foie du monstre, lui ouvrir la cage thoracique, en finissant par sectionner ses jambes au niveau des genoux.

Après cette brutale effusion de sang, seuls des corps démembrés et allongés sur le sable étaient visibles. Les ruines ressemblaient plus encore à des ruines. Nous avions fait du bon boulot. Je pense que j’aurais pu devenir tueur à gages, mais cela aurait été moins drôle. Un seul point négatif : je n’avais plus que trois flèches dans mon carquois.

« -Bien joué, on leur a mis une sacrée raclée. Ils vont s’en souvenir pendant un bon bout de temps, crois-moi.
-Ouais, c’était une vraie boucherie. Au fait, j’aurais quelques questions à te poser, je peux ?
-Ben ça dépend lesquelles, mais vas-y.
-Que représente le symbole sur le dos de ta main droite ? »

Misaki n’eut pas le temps de me répondre : un son suspect se fit entendre. Nous nous retournâmes vélocement, et fûmes plus que surpris par ce qui se passa ensuite. Une tête, précédemment détachée de son corps, entrait dans une phase de mutation accélérée. Les os de son crâne s’agrandirent pour former une boule, les lambeaux de chair se reconstituèrent de plus en plus rapidement, ses yeux sortirent de leurs orbites et furent remplacés par des artères. Je compris alors que ses membres et son tronc se reformaient grossièrement. De cou il n’était pas question : les épaules apparurent directement à la base de la mâchoire inférieure. Elle-même partiellement soudée à la supérieure par des filaments de peau. Un bras se matérialisa, puis un autre. Tous deux de l’épaisseur d’une cuisse, et terminés par des griffes disposées aléatoirement. Les doigts, trop longs à créer, furent mis à l’écart. Bientôt de la taille d’un gorille, le cadavre fut ensuite prit de convulsions. Des jambes courtes lui poussèrent, lui permettant d’effectuer des mouvements relativement basiques.

« -C’est quoi ça ?!
-J’avoue n’en avoir aucune idée.
-En tout cas, sa mère a pas fait le boulot jusqu'au bout.  »

Une fois son corps totalement constitué, la créature s’avança d’un pas morbide. Ses bras pendaient et la déséquilibraient vers l’avant, et sa colonne était légèrement courbée vers la gauche. Aussi terrifiante que dangereuse, elle nous impressionnait au point que nous ne réagîmes d’abord pas. Reprenant le contrôle de nos membres, nous nous séparâmes et courûmes entre les décombres. La meilleure défense étant l’attaque, je profitai de ma vitesse supérieure pour passer à l’assaut de la monstruosité. Je bandai mon arc et lançai les trois flèches qui me restaient. Toutes à la fois. Celles-ci se plantèrent douloureusement dans les pectoraux du mutant, mais c’est à peine s’il vacilla un instant. J’empoignai avec force la fusée saphir de ma lame, et courus. Je tenais Excalibur à l'envers, pointe derrière moi. Le but de cette puissante attaque en deux parties était d'ouvrir le bas-ventre de la créature avec le tranchant de la Master Sword, puis de lui perforer l'estomac avec la pointe. Une fois arrivé au corps à corps, j'effectuai un arc de cercle. C'est alors qu'un coup d’une rapidité aussi surprenante que mortelle me lacéra le flanc gauche, de l’épaule jusqu’en bas des côtes. Je fus violemment projeté en arrière pour manger le sol sur dix mètres lors du choc. Un fleuve de sang s’écoula des multiples trous percés par les excroissances osseuses qui étaient entrées en contact avec moi.

Mon souffle était court et irrégulier. J’avais mal, très mal. Je me sentais infiniment seul. Ce n’était pas la première fois que j’étais sur le point de mourir, pourtant c’était différent. C’était toujours différent. La mort est quelque chose d’extrêmement aléatoire. Je me forçai à penser à Misaki. Il allait me tirer de se mauvais pas, il n’était sûrement pas loin. Alors que le désespoir commençait à arriver, de multiples aiguilles invisibles trouèrent les faibles ligaments qui maintenaient le « Grand Mutant » debout, le faisant s’écrouler. Évidement, cette mince tentative ne suffit pas, et celui-ci rampa péniblement sur plusieurs mètres avant que n’arrive mon ami.

La lame d'argent luisait avec force dans l'intense lumière de l'après-midi, et son détenteur se déplaçait d'autant plus vite qu'elle était légère. Misaki bondit sur le monstre, et l'amputa d'un bras avant de reculer par mesure de sécurité. Je tentai de me soigner, mais je n'avais plus assez de force. Je me contentai donc de grandir l'écart entre mon bourreau et moi.

Un membre vola, du sang gicla, un cerveau fut perforé, et en l'espace d'un instant, tout fut terminé. Mon compagnon s'avança vers moi, referma ma plaie, et m'aida à me relever pour ensuite prendre la parole, comme si de rien était.

« -Pour en revenir à la marque, c’est le quatrième fragment de la Triforce, la Triforce de l'ombre, possédée par les Sheikahs. Celui créé par Hylia, la quatrième déesse. Une légende raconte que ce fragment serait offert à celui du peuple des ombres qui serait le plus proche de son potentiel maximum.
-Cela ne devrait pas s’appeler la « Quadriforce », dans ce cas ?
-Non, car le triangle formé par les quatre autres possède toujours trois sommets.
-Ah oui. Mais alors, tu es un Sheikah ?
-Non, mais durant deux longues années, je suis allé en Hyrule pour tenter de maîtriser leur techniques de combats. Un beau jour, j’ai vu ce polygone posé sur ma table de chevet. J’ai essayé de le prendre, mais il s’est apposé sur ma main pour ne plus en partir.
-O.K., et ta métamorphose en loup, c’est grâce à ta Triforce ?
-T’as tout compris. Bon, fini les questions. Allons nous reposer, ça fait super longtemps que tu n’as pas dormis, je me trompe ?
-Non.
-Alors viens, je crois qu’il me reste un peu de bouffe aussi. »

Avide de me reposer, je le suivis. Nous arrivâmes donc bientôt à un petit campement, en haut d’une dune. Rien de merveilleux, un feu éteint et un toit en toile. Celui-ci soutenu par des bouts de bois d’un mètre.

« -Allonge-toi où tu veux, il n’y a pas de « lit » à proprement parler. Je vais aller me balader un peu. On commencera ton entraînement quand tu seras en état.
-Un entraînement ? Qui a parlé d’un entraînement ?
-Ben faudrait que tu t’améliores, t’as prouvé aujourd’hui que tu savais te battre, mais il en faudra bien plus pour venir à bout de Skull Kid.
-Si tu le dis, grommelai-je, résigné. Mais j'ai une dernière question.
-Repose-toi. Ça peut bien attendre, non ? »

Petit à petit, ma paupière se ferma. Je n’avais plus à craindre un cauchemar maintenant. Aussi le monde des rêves s’ouvrit à moi…


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