Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Ma tante et moi : 2 ans d'écart.


Par : Legoclasse
Genre : Sayks
Statut : C'est compliqué



Chapitre 3


Publié le 20/07/2009 à 11:42:57 par Legoclasse

Elle était restée dans ma tête, je ne l'avais pas vraiment oubliée. Brune, yeux verts? Mais ses roploplos avaient changés quant à eux, ils étaient devenues deux fois plus gros. J'arrêtai cependant de la mater au risue de me faire powned par ma mère et mes grands parents ou par elle. Et puis j'avais le nez en sang :
- Tu vas bien Paul ? me dit Lucy affolée.
- Je ne suis pas nez de la dernière pluie ! :noel: m'écriai-je.

Elle sourit à peine à ma blague, j'eus peur d'ouïr l'hélicobide. Mais rien. Tout le monde se précipita à l'intérieur et commença à me demander comment j'allais. Ma mère, s'affolla comme à son habitude lorsqu'il m'arrivait quelque chose. Ma grand-mère s?occupa de moi. Et Lucy riait comme une truie, pour une raison inconnue, sûrement l'effet de ma gamelle dans les escaliers. Déjà la honte. Lorsque ma grand-mère eut fini de me soigner, ma mère dit :
- Il faudrait peut-être retarder le voyage.
- Mais non soeurette ton fils n?est pas nez de la dernière pluie ! répondit Lucy en pouffant de rire.

C'était donc pour ça qu'elle riait, ma blague. GG mec ! :noel: Avoir réussi cette blague donnait encore plus de puissance que lorsque j'avais powned une kikoo sur skybide :noel : Ma mère décida donc de maintenir le voyage. Je me levai alors pour faire la bise à mes grands-parents et à Lucy. Ils me menèrent à l?étage pour aider à descendre les sacs. C'était moi qui portais tout les sacs évidemment :noel: Lorsque tout fut amené à la Logan ( jerry :noel: ), ma mère me dit au revoir en me serrant dans ses bras, ma grand-mère aussi. Mon grand père me lança un furtif signe de main. Ils montèrent dans la Dacia Logan (non je ne travaille pas pour Dacia :noel: ) . La voiture s'éloigna :
- J'éspère que tu aimes les pâtes, me dit Lucy.
- Hein euh quoi ? répondis-je.
- Ben euh c'est qu?on mange à midi.
- Ah euh oui.

C'était donc une grande cuisinière, des pâtes. Je me retins de rire. Et je la suivi dans les escaliers. Elle était devant moi et sans m?en rendre compte, j'avais le regard rivé sur ses fesses, de très belles fesses :bave: « Inceste spotted », pensai-je, mais à quoi bon, ta tante est une bombe, c'est pas ta faute Paul . Je le rattrappai et on se mit à parler en entrant dans la maison :
- Alors Paul, t'es en quelle classe maintenant ? me demanda-t-elle.
- Je vais entrer en seconde l?année prochaine. J?ai eu mon brevet les doigts dans Cisla.
- Dans quoi ? s'étonna-t-elle.
- Laisse tomber :noel: . Toi t?es en Terminale non ? demandai-je.
- Ouais, j'ai redoublé ma seconde donc j?ai perdu un an, la honte quoi.
- Non pas du tout.

Elle me sourit. Je lui souris à mon tour. Elle s'assit sur le canapé et moi sur une chaise en face d'elle :
- Et les amours ? me demanda-t-elle.
- Euh? Bof.
- Moi aussi, me répondit-elle.

Comment ça elle aussi ? T'es une bombe putain ! :noel: Comment ça « bof » ? T'es dans un lycée de borgnes et d'aveugles ou quoi ? :noel: Elle se leva et alluma la télé. On passa notre matinée à parler de tout et de rien. On s'entendait bien, bien que parfois je ne la regardait pas vraiment dans les yeux à cause de ces deux roploplos que je fixais. Elle ne semblait pas le remarquer. Je me comportais comme un puceau, je bandais comme un cheval. Elle me montra là ou j'allais dormir, dans la chambre vide qu'occupait autrefois ma mère. Je n?avais jamais vu cette pièce. Il y avait un clic clac, sûrement là où je dormirais. Plus tard elle se mit à faire les pâtes pour le déjeuner. Je n l'avais jamais autant maté de ma vie. Je bandais non-stop depuis environ trois heures et demie, et Popole ne semblait pas vouloir redescendre. Je mis la table, en prenant bien soin de cacher la bosse que j'avais entre les jambes. On se mit à manger en riant. Je matais ces seins durant tout le repas. Elle se leva et alla vers l?évier avec l'assiette, je la matais sans aucune retenue pendant qu?elle était retournée. Je m'étais levé à mon tour. Elle se retourna et ce que je redoutais arriva, elle me spotted. Elle vit que je la matais, son regard se posa sur mon entre jambe. Et elle vit. La bosse. Je m?en allai dans ma chambre et ferma à clé. Je m'étais powned. Je décidai de m?endormir dans ma honte.


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