Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Ma famille et moi


Par : julichou
Genre : Nawak
Statut : C'est compliqué



Chapitre 26


Publié le 12/09/2009 à 00:16:47 par julichou

J-J

OMG l'élipse temporelle, j'ai voyagé dans le temps!!! Oh mon dieu, c'est horrible. Ou alors j'ai dormis 5 jours, mais c'est horrible!!

Ah non c'est bon fausse alerte. C'est juste l'auteur qui a plus d'inspiration, qu'est-ce qu'il est bête, au moins comme mes pieds. Il me fait doucement rigoler, avec ses chapitres en bois, ses blagues bidons, ses scénarios cherchés dans le fin fond du grand canyon chez un apache barbu.

Mais au fait! C'est moi l'auteur! Quel con! Remarque sa fait un genre d'auto-dérision, sa fait plutôt beaugosse. Salut c'est moi! L'auteur en bois! Qui pratique l'auto-dérision! Pour faire genre qu'il écrit ses textes avec passion! Ouais j'ai voulu m'essayer à des genres de rimes, sa plaît ou sa plaît pas, et pi s'est tout.

Bon passons au choses sérieuses, enfin presque. Oui presque, puisque ces vacances c'est du grand n'importe quoi, mais c'est bientôt finis parce que, comme l'indique la petite note en haut, c'est le dernier jour. Never gonna give you up! Never gonna let you down! Never gonna run around and desert you! Never gonna make you cry! Never gonna say goodbye! Never gonna tell a lie and hurt you!

N'empêche sa comble bien quand on a rien à dire. Enfin bref, sac fais, direction la gare. La même tante qui est venu nous chercher, nous ramène à la gare pour partir. Avant de rejoindre ma région natale, les inhabituels au revoir, à toute la famille, tournée dans les logis. Petit jaune autour de la table avec les cousins cousines. C'est pas le tout mais il commence à se faire tard. Faut qu'on y aille parce que on va vraiment être à la bourre.

Pendant le trajet, on récapitule se qui a était fait pendant ces vacances. Je ne parle évidemment pas de mon aventure avec un cachalot. Mais le sujet se redirige vers les habituels décès survenu lors de notre séjour, c'est bizarre sa m'a jamais touché cette connerie. Surement parce que je l'ai connaissaient pas.

On arrive à la gare. Qu'il est beau ce train, avec ces grosse vitres recouverte de fientes de pigeons maladroits, n'ayant pas vu la présence de cette machine indomptable.

Ma tante nous accompagne jusqu'à la porte de cet engin, et nous regarde nous installer avec son sourire d'incomprise. Nous nous installons, le train démarre. Ma mère me dit:

«-Alors Julien! T'es content de rentrer chez toi?! T'es content?! T'es content?!»

Je crois que j'ai déjà entendu cette phrase pendant les vacances.


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