Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

Comment Chloé squatta ma vie...


Par : OminiousO
Genre : Sentimental
Statut : Terminée



Chapitre 15 : Le complexe du homard


Publié le 15/12/2012 à 21:49:16 par OminiousO

Les vacances approchaient à grands pas, et les cours me saoulaient déjà, trois jours c’est long m’voyez…
Je les suivis avec peu d’intérêt. :pf:

Ma routine était de glander toute la journée, en attendant de pouvoir retourner chez moi geeker sur Battlefield jusqu’à 3h du matin, pour retourner pété le lendemain en cours. :play:

Je ne m’intégrais pas à ma nouvelle classe. Les p'tits curieux venaient me parler de temps à autre, mais ça s’arrêtait là.
Pour je ne sais quelle raison, je n’avais aucune envie d’aller me mêler à ces avortons, plus jeunes que moi d’un an. Les 6 mois que j’avais passé ailleurs m’avaient complètement blasé.

Je commençai néanmoins à me sentir un peu seul. Parfois la nuit, allongé dans le noir sur mon canapé, dans ma maison sans vie, je me demandais si j’allais finir par me retrouver tout seul. Peut-être manquais-je une époque déterminante de la suite de ma vie sociale.

N’était-ce pas au lycée qu’il fallait que je me fasse de vrais amis ? Des gars avec qui vous rigolez, partagez des liens Youtube de skateurs qui se cassent la gueule.:noel: Plus que ça, des gens qui répondraient présent à 3h du mat' si vous aviez besoin d’eux.

Plus j’y pensais et plus je me rendais compte à quel point j’étais seul. Le nombre de personnes avec qui j’ai perdu le contact quand ils quittèrent le lycée, combien sont revenus me voir ? :snif:
Et plus j’y pensais, plus elle hantait mon esprit. Ma Chloé représentait combien cela était tragique d’être seul.

De n’avoir personne dans ce moment de solitude pour partager ce genre d’introspection qui vous ronge comme du poison.
Il me restait alors deux solutions :

Ecrire mes pensées ou une fic pour évacuer le mal, ou trouver quelqu’un pour combler ce vide. Le choix n’était pas difficile. :noel:

Peut-être qu’elle seule me comprendrait. Il fallait que je la revoie. Je décidai donc de retourner chez elle et lui dire ô combien j’avais besoin d’elle…


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