Note de la fic : :noel: :noel:

Neo Zombies Of Samantha 2


Par : kymz
Genre : Horreur, Science-Fiction
Statut : C'est compliqué



Chapitre 2 : Chapitre II : Le refuge


Publié le 14/05/2012 à 19:03:25 par kymz

J'arrive pas à croire qu'en si peut de temps, le monde soit devenu aussi laid...
Tout est arrivé si vite ! De plus, je ne sais absolument rien de ce qui se drame dehors.
Il faut que j'en ais le cœur net !

Kenny : Que ce passe t'il dehors ?
? : On en sait rien... ça fait maintenant 5 jours que nous sommes dans ce bâtiment avec aucun signe de vie de l'extérieur, mais si vous voulez mon avis, tous ceci nous dépasse.
Kenny : 5 jours !? J'ai dormis pendant 5 jours ?!
? : Le choc pour vous fut brutale, de plus vous avez un cœur fragile, vous avez frôlé la crise cardiaque.
Kenny : Bordel de merde... Juste une question, eux... ?
? : Appelez moi Leon.
Kenny : Leon... Qu'est ce qui nous dépasse au juste ?
? : Suivez moi

Je me met à suivre Léon.
Nous sortons de ma « chambre » pour emprunter un long couloir avec plusieurs portes sur les côtés.
Les murs sont froid, tout comme les pièces d'ailleurs.
Puis...

Kya : Hey !!!!!!

Kya cours vers moi, puis vient me faire un câlin au niveau de mes jambes.

Kenny : Hey Kya, tu vas bien ?
Kya, avec un large sourire : Oui !
Kenny : ça fait du bien de te voir sourire un peut
Kya : Je voulais te remercier... De m'avoir sauvé. Sans toi, je serais surement morte.
Kenny : Ne t'inquiète pas, c'est rien.
Kya : Mais si ! Tu as risqué ta vie pour me sauver quand même !
Kenny, saisissant la joue de Kya : Je ne pouvais pas laisser ce joli petit visage derrière moi quand même
Kya : HIHIHI !
Leon : Poursuivons.

Nous continuons à marcher.
Puis soudain, une personne me bouscule puis me plaque contre le mur !
Mon cœur s'emballe, il m'a surprit.

? : Casse toi d'ici pendant qu'il en ait encore temps !

Deux personnes en blouse apparaissent puis saisissent la personne et la traine dans unes des portes du couloir.

? : ALLEZ VOUS EN VITE ! HAAAAAAAAAAA !

La porte se referme. Kya me saisis le bras en se cachant derrière moi

Kya : C... C'était qui l... lui ?
Leon : Ne vous inquiétez pas, c'est juste un malade mentale que nous avons recueillis dans les rues.
Kenny : Ha... Ha...ha...
Kya : Tu vas bien ?
Kenny : Oui... ne t'inquiète pas. J'ai juste été un peut surpris.

Nous continuons à marcher quelques mètres, puis nous nous arrêtons devant une porte.

Leon : Pour la suite, il vaudrait mieux que la petite ne voie pas ce spectacle.
Kenny : Kya, tu veut bien nous attendre ici quelques minutes ?
Kya : NON ! Je veut rester avec toi ! S'il te plait ?!
Kenny : Leon ?
Leon : A ces risques & périls.
Kenny : Très bien, ouvrez la porte.

Leon tape un code sur un mini tableau de bord sur le côté, puis la porte s'ouvre.

? : RWAAAAAARWAAAAARWAAAAARWAAAAAAARWAAAAAA !!!!
Kya : HAAAAAAAAAAAAAA !
Kenny : Mais... mais... mais... mais mais mais mais !
Leon : Ne vous inquiétez pas, il ne peuvent pas sortir d'ici.
Kenny : Mais... QU'EST CE QUE C'EST QUE CETTE MERDE ?!
Leon : Je vous présente votre premier face à face avec les êtres qui sont responsable de notre chaos. Nous, on les appelles les zombies.

Dans cette pièce de catégorie moyenne, dans ce plexiglas d'une grosse épaisseur entouré de matériels électroniques, nous pouvons observer des êtres faits de chairs et de sang, excepté qu'ils n'ont désormais plus de peau ! Ils crachent du sang en permanence et bougent tous les membres de leurs corps en effectuant des gestes inutiles. Nous pouvons également observer qu'ils perdent une petite partie de leurs chairs à chaque fois qu'ils font un mouvement.
Alors c'est ça... L'objet de notre chaos ?

Kenny : On se croirait carment dans un film de science fiction
Kya : Moi, ils me font très peur !
Leon : Impressionnant n'est-ce pas ?
Kenny : Mais pourquoi... Vous les gardez ici ?
Leon : Nous les étudions pour pouvoir peut être un jour y trouver un remède.
Kenny : Et vous ne savez pas... D'où ils débarques ?
Leon : A partir d'ici, vous en savez autant que nous malheureusement. Par contre, je vous laisse devinez quel est leurs repas favori.

Puis soudain, la porte d'où nous sommes venu s'ouvre.

? : Frero t'es là ?
Leon : DEGAGE TOUT DE SUITE DE LA KEY !
Key : Excuse moi Leon !

Le petit referme tout de suite la porte derrière lui.

Kenny : Qui était-ce ?
Leon : Mon petit frère. Maintenant je vous invite à rejoindre votre chambre.
Kenny : Très bien...

Nous quittons donc la pièce. Ces êtres sont affreux ! D'où peuvent t'ils provenir ? Une attaque biologique peut être ? Mais de qui ?
Nous arrivons désormais devant ma chambre.

Kenny : Combien y a t'il de pièce dans votre... « base » ?
Leon : Nous disposons de 50 pièces dont 40 chambres, 3 salles de bain ainsi que de 3 salles à mangé. Nous avons bien entendu de la nourriture pour tous.
Kenny : Et les quatre dernières ?
Leon : Vous voyez la porte rouge tout au bout du couloir ?
Kenny, Kya : Oui.
Leon : Vous ne devez jamais franchir cette pièce ! Ce sont des laboratoires avec toutes nos recherches scientifiques. Nous disposons également de 10 Hôtes pour vous servir.
Kenny : Une tel organisation en si peut de temps... Je vous dit bravo.
Leon : Merci mais ce fut pas facile.

Tout ceci semble... Trop parfait.
Soudain, deux autres personnes en blouse débarque.

? : Leon, on à besoin de ton aide. Tu peut venir ?
Leon : Bien sur, j'arrive. On se revoit donc pendant le repas.
Kenny : Très bien.

Leon se dirige donc vers cette mystérieuse porte.

Kenny : Leon ?!
Leon, en se retournant : Oui ?
Kenny ; Merci... Pour tout.
Leon, un léger sourire aux lèvres : C'est nous qui vous remercions.

Leon poursuit son trajet, puis franchis la porte.

Kya : T'as remarqué Kenny ?
Kenny : Quoi ?
Kya : Les mains des Monsieur en blanc... N'arrêtent pas de trembler.
Kenny : Ah bon ? Je ne l'avais même pas remarqué...

Puis soudain, nous pouvons observer la tête de ce gosse qui dépasse d'une des nombreuses portes du couloir. Il semblerait également que ce soit le petit frère de Leon. Il nous observe timidement.

Kya : Il à l'aire d'avoir peur de nous !
Kenny : Allons le voir.

Nous nous rapprochons du garçon.

Kenny : Salut petit, pourquoi tu nous regarde comme ça timidement ?
Key : C'est parce que mon grand frère... m'a interdit d'approcher les locataires.
Kenny : Ah bon ? Et pourquoi ça ?
Key : Pour rien pour rien !
Kya : Tu nous fais visité ?
Key : Si vous voulez !
Kya : Moi c'est Kya ! Et lui c'est Kenny.
Key : Enchanté ! Moi c'est Key.
Kya : Je sens que l'on va bien s'entendre tous les deux !

Quelques minutes plus tard, nous nous retrouvons dans une sorte de salle de jeux. Il y a un peut de monde.
Je peut observer de mon banc sur un coin de la salle Kya jouer avec son nouvelle amis, elle semble pour le moment bien vivre la mort de sa mère.
J'ai encore du mal à croire que ce sont des zombies qui ont envahis le pays, tout ceci semble inimaginable !
Encore un cauchemars ? J'aimerais bien mais il semblerait que ça ne soit pas le cas. D'où peuvent t'ils provenir ?
Et parlons maintenant de cette endroit.
50 pièces, de la nourriture pour tous ainsi que des draps propre... Une tel organisation en si peut de temps.
Et puis...


***FlashBack***

? : ALLEZ VOUS EN VITE ! HAAAAAAAAAAA !

Key : C'est parce que mon grand frère... m'a interdit d'approcher les locataires.

Leon : Vous ne devez jamais franchir cette pièce !

Kya : Les mains des Monsieur en blanc... N'arrêtent pas de trembler.

Leon : A partir d'ici, vous en savez autant que nous malheureusement. Par contre, je vous laisse devinez quel est leurs repas favori.

Leon : Je vous présente votre premier face à face avec les êtres qui sont responsable de notre chaos. Nous, on les appelles les zombies. Les zombies. Les zombies. Les zombies. Les zombies...Zombies... Zombies...

Leon, un léger sourire aux lèvres : C'est nous qui vous remercions.

***Fin FlashBack***


Que voulait t'il dire par là ?
Peut être que je me fais des idées mais... Je ferais mieux de rester sur mes arrières.
Kya : Kenny ! Viens jouer avec nous !

Kya se rapproche, puis me tire par le bras.
Cette petite est adorable en fin de conte. Mon devoir est de la protéger.
Laissons les questions de côtés pour le moment, allons nous détendre.
N'empêche que, pour un pays en péril, tout ceci semble...

Bien trop parfait.


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