Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Le manoir de Mister Jack.


Par : Leyoh
Genre : Horreur, Science-Fiction
Statut : Terminée



Chapitre 4


Publié le 17/05/2012 à 00:55:19 par Leyoh

19 Janvier 2019. George, Marwan, Luc, Brice, Jules, Valentine, Alexandra et notre héros sont dans le salon de la maison de George.


Tous me regardaient. En fait, je ne savais pas trop quoi faire. Personne ne dit un mot pendant au moins 2 minutes. C'était gênant. Je me décida à prendre la parole. Mais, je ne savais pas quoi dire. J'ouvrit donc la bouche, mais rien ne sortit. Mister Badass se moqua de moi. George lâcha un "Bon, on y va?". Tous acquiescèrent. Nous sortions donc pour aller chercher la voiture de George, ainsi que celle de Jules. Marwan, Luc et moi allèrent dans la voiture de George, tandis que les autres allèrent avec Jules. On se rendit donc devant la maison de Mister Jack. Enfin, son manoir, quoi. Le manoir était gigantesque. Il faisait au moins 100mètre de longueur, et on aurait cru qu'il comportait au moins 5 étages. La toiture était luxuriante, on aurait cru que les tuiles venaient d'être changées, et qu'elles avaient étés fabriqué avec du marbre. Les fenêtres étaient ornées de décorations dorées et brunes. Mais, on ne pouvait voir à travers, sans doute à cause de rideaux très épais. George se gara à quelques mètres du grand portail blanc - lui aussi orné de décorations dorées, et faisait environ 2 mètres 50 de haut - tandis que Jules alla se garer bien plus loin.


Nous nous rejoignîmes, devant le portail. Je passa mes doigts à travers les barreaux. Il y avait bien 150 mètres entre le portail et le manoir. Les jardins étaient magnifique. Pourtant, personne ne s'en occupé, et c'était ça, le plus étrange... Je me tourna vers George, qui comprit de suite ce que je comptais faire. Il joigna ses mains pour me faire la courte échelle, et me permit d'escalader le portail. Marwan fut le dernier à passer, vu qu'il n'avait pas besoin qu'on l'aide.


Nous traversâmes donc le grand jardin, en courant. La pluie s'était calmée, mais nous étions tout de même trempés, et le soleil était caché derrière de gros nuages noir. Je regarda mes coéquipiés. Ils étaient tous en mode "espions", c'était à dire qu'il couraient en position basse, le dos courbé, le genoux pliés. Je me rendis compte que, sans même avoir émis de plan d'action, ils s'étaient tous mit d'accord sur comment procédés. On allait s'inflitrer chez Mister Jack, plutôt que d'y aller comme des enfants pleurnichards qui veulent leurs parents. Et à vrai dire, c'était l'option choisit par la totalité du groupe qui m'excitait le plus.


On arriva devant l'entrée. Je fit signe aux autres de rester là. Je monta les deux petites marches devant le pavillon, et je m'approcha de la porte. J'y posa mon oreille, et essaya d'écouter. Pas un bruit, pas un seul. Ce silence me donnait froid dans le dos. Je retourna au près de mes camarades, et leur expliqua qu'on devrait trouver un autre moyen que la grande porte. Jules proposa de briser une fenêtre, pour entrer. Luc lui fit bien comprendre que c'était plus débile que d'entrer par la porte d'entrée en criant "Coucou c'est nous !". Alexandra proposa de passer par le toit, et Valentine soutena cette idée. Finalement, tout le monde accepta, même si j'étais persuadé qu'il n'y aurait soit aucun moyen de monter sur le toit, soit aucune entrée là haut.


On fit le tour de la maison. Là, on remarqua un mur où il était facile d'escalader. Cependant, personne ne voulut monter. J'y alla donc moi même. Je posa mon pied sur le rebords de la fenêtre, puis mes mains, et je commença mon ascension vers le toit du manoir. Plus je montais, plus je priais Dieu pour me donner la force de ne pas regarder en bas. Je manqua de glisser à plusieurs reprises, et, j'entendais Brice se moquer de moi. J'étais presque en haut, lorsque je céda et regarda en bas. Je ne vis personne. La panique commença à monter en moi. Mon coeur battait de plus en plus vite, ma respiration s'accélerais. Non pas seulement parce que je me sentais abandonné, ni même à cause de la hauteur, mais plutôt à cause de mon immagination qui me jouais des tours. Je me disais que, peut-être, un des monstres de Mister Jack les avait attrapé, et qu'il m'observait, là, dans le noir, attendant que je glisse définitivement pour me dévorer tel un charognard qui attends que sa proie meurt pour lui ouvrir les entrails.


Soudain, quelque chose m'attrapa la main. Je poussa un cri de stupeur, et lâcha prise. Mais, la chose me tenait fermement, et je fut suspendu dans le vide, à la merci de cette chose qui m'aggripait, et qui refusait de me lâcher. Je leva les yeux vers cette chose. C'était George. Il me tenait fermement, et me tira vers le toit. Mon coeur me faisait mal, et, il ralentissait de plus en plus. Brice était cloué au toit, mort de rire, et se moquait ouvertement du cri que j'avais poussé. Valentine aussi, d'ailleurs. George m'expliqua qu'il avait trouver une échelle un peu plus loin, et qu'ils n'avaient pas voulu me prévenir, vu que je me débrouiller plutôt bien et que je risquais de tomber si j'essayais de redescendre. C'était pas faux, en soi, mais j'avais eu la peur de ma vie.


On trouva une trappe pour entrer dans le grenier. Brice l'ouvra, car elle était coincé, et c'était le plus fort du groupe. On regarda à l'intérieur. Deux yeux rayonnant nous observés. Ils brillaient de mille feux, et j'eu l'impression que ces yeux lisaient dans nos esprits. C'est à ce moment là, que je compris que les rumeurs n'étaient pas que de simples légendes urbaines.


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Je poste ce chapitre maintenant car je risque de ne pas être là demain ! Vous voyez, je pense à vous ! :P


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