Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

Majorité Sayksuelle


Par : Rhubarb
Genre : Sayks, Sentimental
Statut : C'est compliqué



Chapitre 59 : Chapitre 59


Publié le 03/08/2012 à 20:46:46 par Rhubarb

Chapitre 59 :

Il était maintenant 2 heures du mat et les gens commençait à profiter vraiment. Je m'approchai du "bar" lorsque je vis Meg, qui buvait une bouteille de Malibu, toute seule, entière, cul-sec. Puis des  coupes de Champagne, des shots de vodka, beaucoup trop de choses..
En presque un an de relation je ne l'avais jamais vu boire comme ça, et elle ne pouvait pas boire autant juste pour feter la fin des cours..
En plus, elle se donnait en spectacle. Tout le monde la regardait comme une SDF ivre qui parle seule.

Sans qu'elle ait le temps de voir mon visage, je la pris par le bras et la fit sortir de la maison. 

-Hein? Mais.. Archi ! Laisse moi ! Je peux pas te parler ! 

Pas de doute, elle était bourrée et ça s'entendait..

-Dans ce cas ne me parle pas, je te ramène chez toi c'est tout.
-Pff t'es pas drôle ! :-(

Je la fis monter sur la moto, lui mis un casque, je montai aussi et la ramenais chez elle.

Une fois devant sa porte, je coupai le moteur, descendit, enlevai mon casque et la fit descsendre. Elle enleva le casque elle même. 

-Bon euh merci, mais ça ne change rien entre nous..
-Si tu veux mais explique moi.. 

Vu qu'elle était bourrée, je pensai qu'il serait plus facile de la faire parler.

-Je peux PAS..
-Mais pourquoi ?
-Arrete Archi, j'ai encore les idées assez claires pour comprendre ce que t'essaye de faire, tout ce que je peux te dire c'est que c'est pas ta faute..
-Mais c'est la faute de qui alors ? Pourquoi ? Dis le moi ! Dis-je en lui attrapant le bras. Les quelques verres d'alcool que j'avais bu me faisait faire des choses idiotes.

-Arrete Archi, je ne peux pas je suis désolé..
-Je m'en fous ! Dis moi <img src=("> . Criais-je en resserant ma prise sur son bras.

C'est a ce moment précis que son père sortit de la maison, il avait du entendre nos voix.. 

-Qu'est ce qu'il se passe ici ? Archi ? Kesketu.. Lâche la !
-Ne vous mêlez pas de ça s'il vous plait.
-Elle ne te dira rien Archi, elle ne nous à rien dit à nous non plus, ne complique pas les choses..
-Vous non plus ? :ouch:

Je lachai alors le bras de Meg, tout ça devenait trop bizarre, tout ça allait trop loin.

Sans un mot de plus, je remis mon casque et enjambai Loïs. Je lançait un dernier regard à Meg, elle ne me le rendit pas.. Elle regardait ses pieds, et je suis sur qu'a cet instant précis, elle était à la limite de pleurer.. Encore une fois, j'avais fait pleurer la fille que j'aime..

Son père me fit un signe de la main, comme si notre relation à nous était la même, qu'il ne m'en voulait pas et qu'il mettait tout sur le dos de sa fille. C'était juste, je n'y était pour rien, elle l'avait dit..

Je rentrais en roulant lentemment, lentemment, le chemin me permettait de réfléchir, d'essayer de comprendre.

Une fois arrivé, je garai Loïs, et montai dans ma chambre, il était 3h30 du matin. Tout le monde dormais, j'en profitais pour donner un énorme coup de pied dans ma chaise de bureau qui vola sur 3 bons mètres.

Je me posai sur mon lit et jetai un coup d'oeil à mon téléphone, deux messages : un de Karim " tu lui a parlé ?" auquel je ne repondis pas pour oublier et un de Marine "Tu viens me chercher je commence à me faire chier et je t'ai pas vu partir.."
Je décidais de l'appeler pour m'assurer qu'elle y était toujours :

-Ouais Marine ? 
-Ouui Archi ?
-Euh t'y est toujours ?
-Ouaip, tu viens me chercher ?
-Jsuis la dans 5minutes ok ?
-Ok je t'attends devant.. Faudra que tu m'explique pour M...

Je raccrochais, juste pour ne pas entendre son prénom..

Cinq minutes plus tard, j'étais devant la maison du Rallye et Marine m'attendait. Elle vint vers moi et je lui tendis un casque. Pendant qu'elle l'enfilait, je pu entendre de la part de quelques filles "Il à une moto maintenant ? :bave: " et des "Ils sont ensembles vous croyez ? La chance.."

Ces quelques réflexions me rendirent un peu le sourire :fier:
Lorsque Marine fut prête, elle s'accrocha à ma taille, par dessus ma chemise vu que j'avais laissé ma veste sur mon lit.

Je la raccompagnais chez elle, cette fois sans un mot. Devant sa porte, je l'accompagnais quand elle me prit dans ses bras et me chuchota comme à son fils "Quoi qu'il se passe, je te promet que ça ira <img src=))">" 

Je ne répondis pas, je ne fis que prolonger l'etreinte qu'elle m'offrait, ça faisait longtemps que je n'avais pas été aussi bien.    


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