Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

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Par : [no_PGM]
Genre : Action
Statut : Terminée



Chapitre 17 : Libération


Publié le 25/08/2009 à 22:19:46 par [no_PGM]

En bas, dans la salle, le "chef remplaçant" sors un portable. A cause du bruit ambiant, j’ai du mal à l’entendre:
« - Ouais, ici Stéphane. On à cinq hommes en moins à la salle… Quoi?!… Tu crois que ça pourrait être… Non, je sais pas…»
Et c’est tout. J’ai pas put entendre le reste.
Ils ne sont plus que cinq à l’intérieur, c’est le moment d’agir!
Je descend jusqu’à la porte des coulisses et me tient devant.
Je dégoupille une grenade de gaz soporifique. Je pose son diffuseur contre l’interstice de la portes. Une fois le sifflement arrêté, je répète l’opération avec un fumigène mais sans attendre la fin j’ouvre la porte et me jette à l’intérieur.
Les gardes sont à terre sans connaissances. Mieux vaut ne pas prendre de risques inutiles, je leurs brise la nuque.
Une fois fait, je m’approche du disjoncteur et l’éteint. La salle est plongé dans le noir. Je me dirige vers la salle quand j’entend des pas se rapprocher de moi. Je me plaque contre le mur. C’est le "chef". Le temps qu’il trouve le disjoncteur, j’aurais déjà bien avancé le travail.
Si dans quarante minutes, le petit n’a pas reçut de soins, il va mourir.
Je suis dans la salle. Malgré mon excellente vision de nuit, au milieu de cette foule, j’ai du mal à repérer les preneurs d’otages.
Je me jette sur le premier. Je lui fait le coup du lapin. A cause du noir, la foule est nerveuse, ce qui me facilite la tache. Je traverse la pièce et saute sur le deuxième garde. Il tombe en arrière pendant que je tente de l’étrangler. Il me vise avec son arme, mais je me baisse avant que le coup ne parte. La foule hurle. Je lui donne un coup de poing dans la gorge.
Sa trachée est écrasée, il s’étouffe tout seul et fini par mourir. Je remonte sur scène au moment où la lumière s’allume.
Quelques secondes plus tard, le chef apparaît. Il m’observe sans surprise et me demande d’une voix calme:
« - Est-tu John Marchal?
- Qu’est-ce que t’en a à foutre de mon nom sachant que tu vas crever?
- Luciano voudrais des réponses.
- Il mourra trop tôt pour les connaître. »
Il plonge sa main vers son magnum. Trop lent. J’ai déjà attrapé le mien et lui tire dans la main. Elle éclate sous le choc. Il crie en tombant. La foule aussi, il y a même des pleures.
Je tire des l’épaule de ce gorille. Il crie encore plus. Je m’accroupie et colle mon canon dans la plaie:
« - Que me veut Luciano?
- Des réponses, je le jure!
- Pourquoi?
- J’en sais rien…
- Tu mens!
- Vas crever, je te dirais plus rien, fils de pute… »
Il me crache à la gueule. Je lui rend la pareil avec du plomb…
Je me retourne et fait face à la foule:
« - Vous allez rester ici jusqu’à ce que je revienne. Si c’est Luciano, barricadez les portes et éloignez vous-en. »
Les profs font un signe de tête pour montrer qu'ils ont comprit.
Un gamin se dirige vers moi:
« - S’il vous plait, avez-vous vu un garçon qui s’appelle Fabien?
- Il a été blessé par balle par Luciano. Il a peu de chances de survie… C’est pour pouvoir appeler les secours que je veux tuer Luciano.
- Alors je viens avec vous. »
Son regard ne permettra pas de refus…


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