Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Otages!


Par : [no_PGM]
Genre : Action
Statut : Terminée



Chapitre 22


Publié le 11/09/2009 à 21:34:25 par [no_PGM]

Voici enfin la suite. Désolé du retard, mais j'ai été pas mal occupé cette semaine, mais avec le week-end, cette fic devrait prendre fin.
La suite demain pour plus de suspens...

Chapitre XXII:
Un pas vers la mort d’un être

Luciano est étendu devant nous, assommé et ligoté.
Je me tourne vers Vivien:
« - Tu vas rester ici pendant que je vais libérer les otages et tu surveilleras Luciano jusqu’à l’arrivée d’un prof. Tu me rejoins près de Fabien après lui avoir donner le magnum.
-Reçu cinq sur cinq… »
Je le quitte après avoir récupéré le portable de Luiciano.
Sur le chemin j’appelle les secours et les flics. Vu le trou paumé, ils seront là dans dix minutes, ça devrait le faire pour le gamin.
Je m’identifie auprès des profs et une fois sortis, je demande au prof d’EPS d’aller remplacer Vivien pour la surveillance de Luciano jusqu’à l’arrivée des flics.
J’arrive dans le bâtiment administratif et demande à Vanessa si elle et Fabien vont bien, elle me répond par l’affirmative. Tant mieux.
Vivien nous rejoins et blanchit devant le corps de son ami.
Nous attendons les secours depuis une minute qu’une voix retentit:
« - Marchal! Je sais que t‘es là! »
C’est Luciano. Que fait-il ici et comment s’est-il libéré? Mystère…
Il entre dans le bâtiment et braque mon magnum sur nous.
« - Comment as-tu…
- Réussi à m’échapper? Grâce un petit couteau planqué sous ma montre, j’ai coupé la ceinture et planté le prof. T’aurais du mieux me fouiller. Une fois de plus, ton incompétence aura coûtée des vies. Maintenant, j’ai un flingue avec deux balles: une pour toi et une pour le gamin qui est avec toi. L’autre va crever de toutes façons, si c’est pas déjà fait. »
Il marque un point… Je m’interpose entre lui et les jeunes.
Pourquoi? Comment? Comment un homme peut-il devenir fou au point de commettre un massacre dans un collège remplis de jeunes?
Ah oui… A cause de mes erreurs. Une larme perle au bout de mes paupières, je vais enfin payer pour mes erreurs.
Luciano passe devant les cadavres de ses hommes.
Je ferme les yeux et ouvre grand les bras. Viens! Viens! Je t’attend! Je suis près! Ainsi surgisse ces derniers cris de l’âme.
Une larme coule…
Une balle sort d’un canon…
Une vie prend fin…


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