Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Des vacances incroyable


Par : Dayday-La-Fusay
Genre : Action
Statut : C'est compliqué



Chapitre 10


Publié le 16/08/2008 à 10:44:53 par Dayday-La-Fusay

Merde! Je me voyais déjà mort, ayant condamné toute ma famille à mourir à cause de fourmis dans mes jambes...
Heureusement, l'homme mystérieux se contenta de donner un coup de pied dans ce qui l'avais fait tomber (en l'occurrence ma jambe). il m'avais fait mal, très mal, j'avais envie de crier, mais je me retenais de peur qu'ils nous surprennent.
La porte de la bibliothèque se refermait et le dernier homme s'engagea dans le passage. J'entendis à nouveau les coups donné sur l'étagère, mais j'étais trop tétanisé pour les compter. L'étagère reprit sa position initiale, laissant mon oncle pousser un soupir.

Ma tante se leva, les jambes tremblante, mon oncle lui, allait regarder par la fenêtre le moment où ils sortiraient. J'avais beaucoup de questions en tête, et je préférait suivre mon oncle, afin d'en découvrir peut être plus sur eux. Il fermèrent la porte de la cabane et s'engouffrèrent dans la voiture, qui alluma ses feux afin de signaler sa position à ses semblables.
Ça y est ils étaient parti, et il était bientôt minuit.
Mon oncle prit la parole:

"-Je crois que nous te devons quelques explication, je vais faire le tour du château pour vérifier si ils n'ont rien volé, et je vous rejoins dans la cuisine."

J'acquiesçai d'un mouvement de tête puis suivait ma tante et ma cousine jusqu'à la cuisine. Mon oncle revint, visiblement sous le choc de cette nuit mouvementée, tout comme nous l'étions. Nous restèrent quelques minutes plongés dans nos pensées, jusqu'à ce que mon oncle se décida à parler le 1er:

"- Les événements auxquels tu a assisté cette nuit ont commencé il y a environ 2 semaines, c'est Johanna qui a entendu un bruit de moteur, et qui est venue nous chercher pour nous annoncer une visite tardive. je suis allé ouvrir la porte et ne vit rien, je pensais qu'il s'agissait alors d'une voiture passant sur la route, même si elles sont plutôt rare en cette période de l'année.
- C'est alors que je les ai vu de puis la fenêtre de ma chambre, reprit ma cousine, ils étaient 4, dont un qui était dans la voiture, et il se sont engouffré, comme tu l'as toi même vu, dans la cabane au fond du parc. Nous ne savions pas trop quoi faire, alors nous regardions la cabane.
- C'est à ce moment là qu'on a entendu quelqu'un frappé à une porte. Reprit ma tante. Nous avons pensé qu'il s'agissait d'un visiteur et prit de panique n'avons pas osés ouvrir. La chambre de Johanna étant à côté de la bibliothèque, nous avons parfaitement entendus un bruit s'échappant de celle-ci.
- Je suis donc allé vérifier pendant que ta tante et ta cousine se cachaient dans l'armoire de la chambre. Je vis alors la porte de la bibliothèque s'ouvrir, et un homme vêtu de noir en sortir, il restait 3 hommes qui sillonnaient la bibliothèque. J'ai honte de l'avouer, mais je n'ai rien osé faire, j'avais peur. Je me suis donc caché dans l'ombre et j'ai attendu, comme nous l'avons fait cette nuit, jusqu'à ce que l'homme qui étais parti revint en signalant à ses collègues qu'il n'y avait personne, comme promis, et ils repartirent par le souterrain.
- Nous n'avons pas pu fermer l'œil de la nuit, tout comme les jours suivant, repris ma tante. Mais nous savons avec certitude qu'ils viennent à 22h et repartent pour minuit pile. Nous savons aussi qu'ils se dirigent vers le 3ème étages directement, et descendent ensuite à la cave...
-Mais pourquoi vous avez acceptés que je vienne en vacance chez vous?
-Nous avons pensés que tu nous aiderai, mais si tu ne peux pas tenir le coup, nous comprendrions.
-Non non cette histoire m'interresse :( Et puis quitte à être utile...
-Bon nous réfléchirons à tout ça demain! Tout le monde au lit!

Après les embrassades et autres formes de salut, je me dirigeais vers ma chambre et m'engouffrais dans mon lit. J'avais froid et le sommeil fut long à venir, je réfléchissais.
Soudain, je repensai à leur fuite... Je n'avais vu que trois hommes retourner au souterrain, et ils étaient quatre.

Ce qui voulait dire qu'il y avait encore un homme dans le château...


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