Jeff sort de sa propriété et s'enfuit de sa maison. Maintenant que cette voiture a percuté sa maison, beaucoup de personnes doivent être au courant du lieu de sa cachette. Il faut qu'il trouve un endroit où se cacher en attendant que l'affaire se tasse. Il sort de Miami pour trouver un lieu plus tranquille. Les hôtels de la ville sont souvent très côtoyés et trop chers. Jeff ne cherche en aucun cas le confort mais plutôt la tranquillité. Il sort donc de la ville et quitte les routes nationales. Il parcourt les petites routes pendant une demi-heure et s'arrête en face d'un bar fréquenté par les motards, il ramasse un petit bout de bois et le porte à sa bouche. Jeff avec son costume noir et ses lunettes de soleil impressionne souvent les gens lorsqu'il rentre dans un lieu public fortement fréquenté. Encore cette fois, Jeff fait forte impression en rentrant dans le bar, mais la réaction des motards changent des vieilles sacoches que Jeff aurait pu croiser auparavant.
En effet, Jeff rentre, le silence envahis la salle, notre héros parcouru la pièce d'un coup d'œil. Il avança jusqu'au comptoir et s'assit sur un tabouret qui avait apparemment vécu pour ressembler à ça. Tout les regards sont tournés vers lui, pourtant Jeff ne fléchi pas et commande un double whisky. Surpris de le voir s'assoir à son comptoir de cette manière, le barman répondis un tout de suite par réflexe, et le lui servis sans plus attendre.
Notre tueur entama son verre alors qu'un des motards l'interpella.

Motard: Tu sais où on est ici? On est dans mon bar et t'as rien à foutre là! Donc dégage avant que je te fasse sauter la cervelle avec mon flingue.

Jeff: Dois-je supposer que tu es le chef de ta bande motard, dit-il sans même se retourner. Généralement dans une meute de chien c'est celui qui grogne qui a le pouvoir et donc le plus gros morceau de viande. Elle est a toi? La Harley avec des flammes?

Motard: Ouaip, je suis sûr que tu bave dessus, mais jamais tu l'aura pauvre merde. Elle est à moi et t'as pas intérêt à y toucher.

Jeff: Maintenant que le chef de la meute a sa viande il ne la lâche plus. Écoute moi motard, j'ai un jeu pour toi: si je te mets K.O. Tu me file ta bécane et t'arrête de me briser les noix. Tu n'as aucune raison d'accepter, mais sa la foutrais mal devant tes toutous que tu fuis le défi. Alors, marché conclu?

Motard: Sa me va. Espèce de merdeux je vais d'apprendre à venir me provoquer dans mon bar.

Le motard empoigne une bouteille et se dirige vers Jeff en attendant d'être à la portée de notre tueur pour pouvoir le mettre K.O. Et en finir avec cette histoire. Jeff pris le petit bout de bois qu'il avait dans la bouche et l'enfonça dans l'œil du motard qui n'a même pas pu se défendre. Le pauvre motard cris de douleur et retire l'écharde qu'il a dans l'œil, il est maintenant borgne. Jeff profite de la douleur du motard pour lui envoyer un coup de pied extrêmement puissant sur la rotule. La force du geste de notre tueur fit complètement craqué le genoux du pauvre homme qui ne pu rien faire, las autres motards grimaçaient après avoir entendu le terrible son d'une articulation cassée. La jambe du chef était entièrement pliée, mais dans le mauvais sens, tout les motards viennent au secours de leur chef sans même s'occuper de Jeff qui en profita pour sortir du bar et rejoindre sa voiture. Il ne voulais pas la moto du chef, juste son humiliation devant ses sous-fifres. Il avait tout de même menaçait Jeff de le tuer! Jamais il n'aurait pu accepter ça et en plus il l'a traité de merdeux!
Il sortit du bar avec une certaine fierté qu'il essayait de cacher tant bien que mal. Il reprit le volant de son Audi et se remettait à la recherche d'un hôtel tranquille où il pourrait passer la nuit.
Il arrive enfin à un Motel, il y a peu de voiture sur le parking centrale du bâtiment. Un chantier juste à côté de l'hôtel semble fermé. Il rentre, un vieillard regarde sa télé à l'accueil. C'est le genre d'homme qui a beaucoup trop vécu pour se soucier des personnes qui viennent dans son Motel et ses chambres sont sans doute son seul moyen et sa seul raison de vivre. Je compte à peu près le nombres de clés sur le présentoir. C'est une petite soirée pour le vieillard mais une bonne nuit qui m'attend. Le vieil homme me tend la clef, je la saisit et sans plus attendre je monte au premier étage, là où se situe ma chambre que le patron m'a gentillement indiqué. Il ouvre la porte et s'aperçoit au premier coup d'œil que le ménage ce n'est pas le fort de cet homme. Jeff pose sa valise, enlève son manteau et se déshabille. Il enlève son pansement, la plaie à commencer à cicatrisée, il a eu peur que les mouvements brusques de tout à l'heure dans le bar aurait réouvert la plaie. Jeff pris une douche pour se détendre un peu, la chaud à toujours eu des vertus apaisante chez l'homme, plus encore chez Jeff. Le killer sort de la douche. Il revient dans la chambre et se rend compte que quelqu'un est passé par ici. En effet, un dossier viens d'apparaître sur le lit. Aucun symbole dessus, un simple dossier. Jeff s'assoit, il appréhende se qu'il va découvrir.

Il l'ouvre et, en effet cela dépasse toutes ces attentes. Des photos de lui en train de tuer son contrat de l'après-midi constituées ce dossier. L'une d'entre elle a été prise du point de vue du l'homme a tué. Pourtant Jeff n'a rien remarqué. Il n'y a rien de plus que ces photos, Jeff s'inquiète. Il n'y a qu'un seul moyen pour que quelqu'un l'ai pris en photo: il était attendu.