Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

Fireflies and Light


Par : Moi_cest_Robert
Genre : Sayks, Sentimental
Statut : C'est compliqué



Chapitre 5


Publié le 04/07/2011 à 19:08:09 par Moi_cest_Robert

Emily étant vaginalement complètement occupée et étant un peu timide avec sa chérie. Je m'assis sur le canapé et n'en perdit pas une miette.

Emily était tout l'inverse de Jennifer. Emily mesurait 1m55, avait de longs cheveux noirs lui glissant sur la poitrine, avait deux (:hap:) petits yeux marrons perçants, avec un tout petit décevant 85B et était blanche comme un cachet d'aspirine.
Jennifer quant à elle était une bombe blonde, plus grande avec des formes plus généreuse mais des cheveux moins long.

Décidée à leur régler leurs comptes, je pris un ton macho et les héla. Stoppant leurs cunnilingus ; Jennifer proposer de venir s'assoir sur ma b*te. Je regardait son petit cul se trémousser devant mes yeux avant qu'elle ne vienne s'empaler sur moi. Emily subjuguée par tant d'entrain était jalouse, et vint assoir ses formes harmonieuse tout prêt de moi, réclamant les doigts de Jennifer. Emily suffoquant à côté de moi je décide de lui coller un doigt. Mon autre main pria Jennifer de continuer en allant subtilement pétrir son gros sein. Ma bouche innocupée trouva du réconfort sur les petits seins d'Emily que je pouvais littéralement manger ! J'étais au comble du bonheur, mes deux femelles rugissant à l'unisson. La petite crinière de Jennifer me fouettant  le visage, je la retourna sur ma bite et la mit face contre moi. Je changeais de seins, optant pour les plus gros et les dévora. Bientôt Jennifer fût rassasier et Emily se coucha, m'attendant. Je relève ses jambes et la pénètre énergiquement. Matant encore et toujours son corps parfait, notant l'emplacement du moindre de ses petits grains de beauté. Elle attira Jennifer et lui brouta le minou. J'avais une aussi belle vue en face...

J'allais jouir sous les jappements impudiques de mes cochonnes. Je me retira puis lança le préservatif et elles se mettèrent à genoux devant moi. Comme deux petites anges elle recevèrent ma gelée royale en pleine face et en profitèrent pour se rouler des pelles pleines de spermes.

Ayant laché la purée, j'étais plutôt dégoutée... Je m'en voulais aussi, je pensais à Lina.
Au pourquoi du comment. À cette triste vie que je mène. Je les envie au fond. Je n'ai confiance en personne et surtout pas en moi. J'aimerai être aimé, qu'on m'aime pour ce que je suis, qu'on tienne à moi, qu'on soit dépendant de moi, que je manque à quelqu'un. Je voudrai crier... Je ne peux pas je me sens prisonnier de chaînes qui me baillonent.

Lina. Pourquoi toi ? Pourquoi moi ? J'ai un karma maudit. Je passe du temps avec elle et pourtant je n'ai jamais réussi à lui faire comprendre ce que je ressens. Je pense tout le temps à elle. Il serait peut-être temps de passer à autre chose.

Je marche dans le parc et ferme les yeux, une seconde :
"Qu'est-ce-que le bonheur ?"

Je n'ai quand même pas été aussi crédule que ça ?. Une personne ne peut pas être l'unique responsable du bonheur d'une autre. Je n'ai pas besoin d'elle ; j'ai tout ce qui me faut. Je n'ai plus qu'à sourire.

Il est 2h30, je suis dans la fôret autour d'un feu de camp. J'ai abusé de plusieurs substances licites et illicites. Je ne sens plus mes jambes, ne reconnaît personne et bafouille honteusement. Des messages nerveux erronés parviennent difficilement jusqu'à mon cerveau. Je quitte ce cercle, j'ai froid. J'entends du bruit derrière moi, je me retourne difficilement et ma vue se trouble : je reconnaît un visage, celui de Romain, le mec de Lina. Mon sang  se glace, quelle est cette sensation ? La peur ? Je sais pourant me battre ! Je suis perdu et continu à marcher lentement. Il m'intercepte avec un petit coup dans la cheville qui me fait lourdement trébucher. Je sens les embrouilles... Il me parle, je recompose difficilement ses phrases grâce aux quelques mots que je peine à comprendre et en extirpe l'idée principale : lâcher sa "meuf". Il a dû penser que pour faire bonne mesure il avait besoin de me casser le nez à coups de godasses. J'ai terriblement mal mais pas la force de me relever, ce sentiment d'impuissance me laisse un goût amère dans la bouche.

Mes yeux commencent à se fermer lentement. La dernière chose que je vois avant de sombrer dans un doux sommeil est une foutue lumière se baladant et tourbillonant au-dessus de moi. Je tends laborieusement la main : Ooh une petite luciole..


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