Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

Sex Friend


Par : OnMyOnche
Genre : Sayks
Statut : C'est compliqué



Chapitre 8


Publié le 01/03/2014 à 13:06:08 par OnMyOnche

Une fois dans le couloir des salles 300, je ne vis d'abord personne. Puis en regardant un peu plus loin, au fond, je perçus Amandine posée contre un mur, son sac à ses pieds. Elle me vis elle aussi. J'allai alors vers elle.
Elle était habillée d'un haut blanc et d'une veste en jean bleu. Son jean qui moulait à la perfection ses formes était bleu foncé. Ses cheveux étaient coiffés différemment de la soirée de la semaine passé. Elle avait désormais une coiffure plus basique, en même temps, on ne vient pas au lycée pour faire un défilé de mode. Et elle restait tout de même radieuse. Elle avait une frange partant en biais de la droite vers la gauche. Tandis que le reste de sa chevelure brune tombait sur ses épaules et sur le haut de son dos.
J'étais désormais arrivé devant elle. Et avec une voix quelque peu sensuel et basse je lui dis.

- Salut toi …

Je posai ma main droite sur sa joue, et je me mis à l'embrasser. Le contact de ses lèvres me procurait toujours la même sensation de plaisir que les autres fois. On se mit ensuite dans un virage du couloir pour que vraiment personne ne puissent nous voir. Je me mis dos au mur et elle s'approcha de moi. Je mis mes mains sur ses hanches.

- Tu avait quelque chose à me dire je crois.
- Oui, enfaîte samedi après-midi, mes parents partent en week-end pour utiliser une smartbox qu'on leur avait offert...

Elle posa ses mains sur mon ventre, et en se dandinant légèrement de droite à gauche elle me demanda d'un air un peu timide.

- ... Et je voulais te proposer de venir dormir à la maison ce jour-là.

Je me mis à lui sourire.

- Je vais découvrir le palace où vis ma princesse ? Quel honneur ! Je ne peux que accepter...

Putain mais c'est quoi cette réplique de merde ? Pourquoi j'ai dis ça ? On croirait que je l'ai prise d'un film à l'eau de rose américain bidon ! Il faut dire que j'ai été un peu surpris de sa proposition, on se connaissait seulement depuis quelques jours, et elle veut déjà que je vienne chez elle. Bon, je crois que pour prendre mon temps avec elle c'est mort. Mais bon, je pense qu'on va bien s'amuser quand même.
Ma petite blague avait l'air de l'avoir fait rire. Et tout en me frappant doucement mon ventre elle répondis.

- Pfff t'es bête !
- Mais tu m'avais pas dis que tu avais un frère qui était au collège ?
- Si, il sera sûrement là la journée, mais souvent il sort avec ses potes le soir, on sera tranquille comme ça...
- Juste toi et moi … J'ai hâte.
- Moi aussi …

Et elle m'enlaça en mettant ses mains derrière mon coup puis elle m'embrassa. Je sentais sa poitrine frotter contre mon torse. Je fis alors glisser mes mains de ses hanches jusqu'au niveau du haut de ses fesses et j’introduisis mes mains dans son jean. Je sentis sa culotte, c'était un tissue fin en toile. Puis mes mains atteignirent ses fesses. J'ouvris alors mes mains du plus grand que je pouvais et je les attrapai. La peau de ses fesses était froide. Mais c'était tellement agréable de les avoir dans ses mains. Je me mis alors à les malaxer doucement. Elle ne me fis aucune remarque, mais elle poussait de très léger gémissement, elle avait l'air d'aimer.
Puis elle recula doucement sa tête.

- Il vaudrait mieux que l'on attende ce week-end pour faire ça …
- Oui ta raison, tu dois aller en quoi après la récré ?
- Math ! Et toi ?
- Eco, si tu veux je t'accompagne.
- Nan, ça va aller, ne t’inquiète pas.

Elle se recula alors de façon plus poussé pour saisir son sac de cours. Mes mains sortirent alors de son jean, et ce n'est pas sans regret que je compris qu'elle allait partir.

- On se rejoint à la cantine à midi ?
- Oui, je t’enverrai un message en sortant d'éco.

On s'embrassa une dernière fois, puis elle s'éloigna de moi. Je ne pus m'empêcher d'admirer son fessier à travers son jean bleu. Elle était tellement … belle.

- Amandine !

Elle se retourna, et de ses yeux yeux bleus, me regardait d'un air interrogatif.

- Je t'aime …

Elle se mit à sourire, et à rougir.

- Moi aussi … Moi aussi je t'aime Guillaume...

Puis après un dernier regard, elle se mit en marche vers la sortis du couloir.
Je partis ensuite à mon tour vers ma salle de cours. Tout au long du trajet, j'étais très pensif, je m'imaginais comment aller être sa maison, ce qu'on allait faire, si j'allais voir son frère et si oui comment faire bonne impression. En tout cas, on sera juste tout les deux, elle et moi. Ce ne sera pas comme à la fête de l'autre soir, il n'y aura pas les potes, la musique, l'ambiance de fête, l'alcool...
Une fois devant la salle de cours, je retrouvai Maxime, Baptiste et Rémy, le fait d'être avec eux et d'avoir cours me ôta de la tête toutes les pensées que j'avais à propos d'Amandine, du week-end et tout ça. Une fois en cours, je m'efforçai de suivre le cours que le prof nous faisait. Et ouai, il fallait que je me mette sérieusement à bosser avec le bac l'année prochaine.
Lorsque la sonnerie se fit entendre pour annoncer la fin de l'heure, notre prof annonça.

- Attendez un peu avant de sortir s'il vous plaît. Demain, nous commenceront les cours de TPE pour votre épreuve oral à la fin de l'année, donc commencez à réfléchir à un sujet et à un groupe de personne pour le faire, cela nous évitera de perdre du temps demain. Je vous rappelle que la problématique de votre sujet doit mettre en relation les sciences économiques et social et l'histoire géographie et que vous devez être au minimum deux par groupe. Voilà, vous pouvez sortir, bon appétit !

A la sortie, j'interpellai Maxime et les autres pour parler du TPE.

- Eh les mecs, pour le TPE, ça vous va si on se met tout les quatre ?

Maxime répondit.

- Moi je suis ok, et vous ?

Il se tourna vers Rémy et Baptiste, puis ils acquiesçaient d'un signe de tête.

- Bon c'est cool alors, on pourra s'organiser plus facilement pour le travail comme ça.

Sur ces mots, je leur annonçai que ce midi je mangeais avec Amandine. Ils me taquinèrent un peu en disant que je devenais un canard, mais je les rassurai en disant que je mangerai pas tout le temps avec elle pour pouvoir passer du temps avec eux. Je ne voulais pas devenir ce genre de mecs qui vivent que pour leur copine et qui oublient ce qui se passe autour d'eux, qui n'aspirent qu'à être avec leur moitié. Les relations comme ça, je pense que ça ne peux que casser au bout d'un moment. La fille se lasse de la monotonie de leur relation, et le mec perd petit à petit tout ses potes qui ne le comprennent pas. Ça me fait penser à une chanson que j'écoutais à l'époque, de Grand Corps Malade, « Les voyages en train ». Elle est vraiment pas mal et résume bien ce qu'est une histoire d'amour par le biais de métaphore toute trouvées. Je devrais la remettre dans ma playlist histoire de la réécouter.

En arrivant à la cantine, je vis Amandine qui m'attendais à l'entrée. Je la rejoignis et on mangea ensemble.
L'après-midi fut banale, et la journée se termina. En sortant de Physique (Qui était notre dernier cours de la journée), Charlotte vint me voir.

- Guillaume ! On prend le car ensemble comme d'habitude ?
- Heu, ouai pas de problèmes.
- Cool !

Elle me sourit, puis on marcha jusqu'au car.
Une fois assis, elle se mit à me parler de sa vie. Je l'écoutais, je souriais gentiment, mais je n'arrivais pas à me sentir à l'aise. Je sentais une sorte de tension par rapport à ce qui s'était passé entre nous. Je trouvais vraiment ça bizarre qu'elle me parle aussi aisément. Est-ce que elle faisait semblant de ne plus penser à ça, ou elle avait vraiment oublié notre baiser de l'autre soir ? Quoi qu'il en soit, on parla pendant tout le trajet, et à aucun moment il n'y eu de blanc. Mais c'était surtout elle qui me parlait, moi j'avais du mal à trouver quoi dire. Une fois arrivé dans mon village, le car s'arrêta, on se fit la bise et je descendis. En marchant chez moi, je me demandais comment allait évoluer tout ça. Amandine, Charlotte, Rémy … J’espère qu'il n'y aura pas de complications.
Une fois chez moi, je me sentais pas super bien, je commençais à avoir des frissons et des courbatures, qu'est-ce que j'ai chopé encore comme merde ? Vite, direction la salle de bain, j'ouvre le tiroir à pharmacie, et je prend un dafalgan 1000mg. Pourvu que ce ne soit pas la grippe ou une connerie de ce genre... Déjà cette après-midi j'avais pas la forme, douleur au ventre et mal de tête.
Bon direction ma chambre avec chauffage à fond, je prend mon PC portable, et l'installe sur une table au bout de mon lit. Un petit film, ça me fera pas de mal, j'ai vraiment pas la tête à bosser se soir. Aller, je me rematte un classique, Pulp Fiction de Tarantino. J'adore tellement ce film, surtout avec les deux personnages Jules et Vincent, je trouve leurs dialogues juste énorme.
Plus le film passait, plus je me sentais mal. Le mal de ventre s'accentua, puis finalement ce je redoutai arriva. Dans un geste de précipitation, je me dirigeai vers mes toilettes pour vomir. J'étais donc agenouillé devant mes chiottes à dégobiller tout ce qu'il me restait dans mon estomac. Je vous passe les détails sur la contenance et la couleur du liquide …
Ma mère qui était rentrée du boulot entre temps entendit mes gémissements. Elle entra dans la pièce .

- Guillaume ! Bouge pas, je vais chercher de l’essuie-tout.

Elle revînt quelques secondes plus tard et me tendit deux feuilles de soupalain. Je m’essuyai la bouche.

- Tu as du attraper un virus au lycée, tu te sentais comment aujourd'hui au lycée ?
- Pas terrible, j'avais des frissons et des douleurs au ventre puis à la tête...
- Ça doit être la gastro ou la grippe. Bon, repose toi, prend une bassine au cas où. Demain tu reste à la maison, et on prendra un rendez-vous chez le médecin.

Rester à la maison ? Donc pour le début des TPE demain, les gars vont devoir commencer sans moi. J’espère qu'il n'y aura pas de problèmes comme je serai absent, au niveau des groupes. Je retournai dans ma chambre après avoir pris ma douche tout en me rinçant la bouche. C'est vraiment horrible d'avoir le goût du vomit …
Après cela, je m'allongeai dans mon lit et pris mon portable. J'annonçai d'abord à Maxime, Rémy et Baptiste que je ne serai pas la pendant quelques jours. Puis je fis de même avec Amandine. Ils me répondirent que c'était pas grave, qu'ils allaient commencer le TPE et qu'il diront au prof que je suis dans leur groupe. Tandis que Amandine me répondit de bien me reposer et que j'allai lui manquer. Elle me demanda aussi si pour ce week-end c'était mort. Mais je lui renvoyai que j'aurai le temps de me reposer entre-temps et que je pourrai sûrement venir chez elle samedi.

Ma soirée et ma nuit furent rudes, je n’arrêtais pas de faire des allers-retours chambre – toilettes tout en me tordant les boyaux de douleurs. En effet, mon estomac était vide, et quand on vomit dans ce cas là, c'est vraiment horrible. Enfin, vous devez sûrement voir de quoi je parle.
J'arrivai finalement à m'endormir vers quatre heure du matin, exténué.


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