Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

Sex Friend


Par : OnMyOnche
Genre : Sayks
Statut : C'est compliqué



Chapitre 5


Publié le 05/01/2014 à 17:16:25 par OnMyOnche

« Tu as un préservatif ? », cette phrase résonnait dans ma tête comme un écho dans une montagne. La raison était en train de prendre le dessus sur mes pulsions. Cela faisait plusieurs jours que Charlotte hantait mes pensées, et j'avais tellement envie de le faire avec elle, mais faire un coup comme ça à Rémy, je ne pouvais pas. Il fallait que je me sorte Charlotte de la tête et que je trouve une autre fille. Même si j'étais en train de louper une chance en or de me dépuceler avec l'une des plus belles filles du lycée.

- Guillaume ? Tu vas bien ?

Cela faisait désormais quelques secondes que j'étais mentalement absent. Je sortis de mes pensées et regardai Charlotte dans les yeux.

- Écoute, Charlotte, je ne peux pas le faire avec toi, je suis désoler.
- Quoi ? Mais, c'est quoi le problème, je ne te plais pas ?!
- Non non, au contraire, j'ai jamais rencontré une filles aussi magnifique que toi, et j'ai super envie de toi, mais le problème ne vient pas de toi …
- Il est où le problème alors ?
- Je suis vraiment désolé.
- …

J'ouvris la porte de la salle de bain, et partis en direction du rez-de-chaussée en fermant la porte derrière moi.
Bordel, je tremblais de partout, j'étais en panique, le même stress que d'habitude m'envahit. Est-ce que j'avais fais le bon choix ? Est-ce que Charlotte me pardonnera ? Est-ce que elle et Rémy vont finir par sortir ensemble ? Un verre, oui, il me faut un verre, ça me calmera.
Je descendis alors les escaliers rapidement et me dirigeai vers le bar. Je pris un gobelet, le remplis à moitié de vodka et l'autre moitié de jus d'orange. Je le bus cul-sec.
« Il m'en faut un autre » pensai-je. Je me resservis donc le même verre et le bus d'un seul coup.
Autour de moi la soirée continuait son déroulement, désormais, les gens s'étaient réuni dans le salon pour danser. Les lumières étaient éteintes et des projecteurs de soirée envoyaient des rayons de couleurs multiples dans toute la salle. La musique était beaucoup plus forte que tout à l'heure. Je commençais alors à slalomer dans la foule qui sautait et dansait. L'ambiance n'était plus du tout la même que au début, j'avais l'impression que l'alcool avait permis à chacun de se lâcher un peu plus et d'oser danser devant tout le monde.
Je continuais alors à marcher en quête de connaissances quelconques, et vis Maxime et Baptiste en train de se déchaîner sur la piste. Maxime me vit à son tour.

-Heyyyy Guillaume tu foutais quoi ? Viens avec nous ! :fete:

Ils avaient l'air de beaucoup mieux aller par rapport à tout à l'heure. Personnellement, mes deux cul-secs de tout à l'heure commençaient à faire effet. Je me mis alors à les rejoindre en dansant et on s’éclata ainsi pendant une grande partie de la soirée. L'alcool et l’effervescence de la fête m'avait fait complètement oublier Charlotte.
C'est alors qu'en dansant je vis Amandine, elle me vit aussi. On se sourit et elle commença à s'approcher de moi.
Elle était habillée d'un haut blanc sans manche, et portait une jupe turquoise moulante qui s'arrêtait au dessus de ses genoux. Elle n'avait pas de collants et avait des chaussures à talon du même couleur que sa jupe. Sa coiffure était la même que lorsque je l'avais embrassé dans la cuisine.
Elle était désormais en face moi, elle posa ses bras sur mes épaules, et on commença à danser ensemble. Puis elle rapprocha sa bouche de mon oreille pour me dire quelque chose sur un air blagueur.

- On m'a dit que tu embrassait super bien. <img src=))">
- Et qui t'a dit cela ?
- Une certaine fille que tu as embrassé dans la cuisine tout à l'heure.

Elle me souriait. Et reprit.

- Tu pense que tu pourrais me montrer, histoire que je juge de moi-même.

Bien-sûr, elle quand elle parlait d'une fille que j'ai embrassé dans la cuisine tout à l'heure, elle parlait d'elle même, mais ça faisait partit de son petit jeu de drague. :hap:

- Comme tu veux. :rouge:

Elle avait toujours ses bras sur mes épaules, je posai alors mes mains sur ses hanches et approchai ma tête de la sienne pour l'embrasser. Le contacte entre nos lèvres me plaisait énormément et m'excitait beaucoup. Ma timidité était noyée dans l'alcool, ce qui me permettais d'oser un peu plus. Derrière moi j’entendais Maxime et Baptiste faire quelques remarques.

- Héhé, il gère de la meuf le lover !

Mais ils m'importaient peu, j'étais focalisé sur Amandine à l'embrasser le plus passionnément que je pouvais. Elle ouvrit alors un peu plus sa bouche, et sortit sa langue. Je fis de même. J'étais en train de rouler ma première pelle. La sensation du contacte entre nos deux langue me faisait bizarre au début, mais petit à petit, je pris du plaisir, et cela m'excitait encore plus.
Puis elle recula sa tête de la mienne et toujours en me souriant.

- C'est vrai que tu te débrouille plutôt bien.

On continua ainsi à danser ensemble coller serré, parfois je sentais sa poitrine à travers son haut sur mon torse, et parfois elle se mettait dos à moi, et colla ses fesses aux niveau de mon sexe tout en le frottant à moi sur le rythme de la musique. Elle avait des formes qui me plaisait, sont haut moulait ses seins et je ne pus m'empêcher à les comparer à ceux de Charlotte. Ils avaient l'air d'être plus gros, avec plus de matière. Et ses fesses aussi étaient plus prononcées, légèrement plus large et plus ressortit. Mais elle gardait tout de même une taille fine.
Elle continua à frotter son derrière sur mon sexe qui était plus dur que jamais. Je suis d’ailleurs quasiment sûr qu'elle le sentait à travers mon jean.
Elle était désormais face à moi, elle rapprocha de nouveau sa tête de mon oreille.

- On monte dans une chambre ?:rouge:
- Je te suis.:)

Elle me prit alors par la main et on monta à l'étage. Espérons que l'on ne croise pas Charlotte.

On entra dans une chambre, je sais pas à qui elle appartenait dans la famille à Chloé, mais l'essentiel et que l'on avait pas vu Charlotte.
Je fermai la porte, et elle alla s'asseoir sur le lit deux places de la pièce et prit la parole.

- Tu sais, depuis que je t'ai vu pour la première fois l'année dernière, j'avais l'espoir qu'un jour on devienne amis, et plus encore. Et le fait que ce soir le jeu de la bouteille tombe sur toi et moi, je trouve ça dingue. Mais je suis tellement contente que les chose aient tourné ainsi.

Amandine est dans le même lycée que moi ? Mais comment ça se fait que je ne l'ai jamais croisé ou remarqué ? J'étais sûrement trop occupé par Charlotte. Punaise, comment j'ai pu la louper, elle était sublime. Il ne fallait pas que je rate mon coup. Je répondis alors.

- C'est vrai ? Haha, la hasard fait bien les choses on dirait, parce que l'année dernière, on m'avait un peu parlé de toi, et quand on m'a montré qui tu étais, je te trouvais super mignonne. Et maintenant le fait qu'on se revoit ce soir et qu'on s'embrasse lors du jeu, m'a fait prendre conscience que tu étais vraiment une fille super belle, et je mourrais d'envie de te le dire, donc voilà...

Bon, je pense que je m'en suis pas trop mal sortis. :noel: Mon mini discours avait l'air de l'avoir chamboulée, elle respirit avec sa bouche, et de façon rapide. Elle avait un regard de flamme, elle me fixait avec ses yeux bleus clair. Je continuais à l'admirer, sa chevelure brune qui tombait le long de son cou me faisait fondre.

- Tu as ce qu'il faut ?

Au début je ne comprenais pas, puis je mis ma main dans ma poche arrière et sentis le préservatif que mon père m'avait donné.

- Oui. (Merci papa ! :hap: )

Elle se leva du lit et me plaqua sur le mur tout en m'embrassant passionnellement. Ma tête était entre ses mains, et l'excitation en moi continuait de monter. Je posai mes main sur ses fesses et les massai doucement. Elle était collée à moi, je sentais sa poitrine sur mon torse. Puis tout en m'embrassant, elle descendis une main en dessous de ma ceinture, et elle caressa mon sexe à travers mon jean.
On resta ainsi pendant quelques secondes, puis elle arrêta de m'embrasser. Elle me fis un petit sourire coquin qui veut tout dire, et elle se mit doucement à genou devant moi. Elle desserra ma ceinture, déboutonna mon jean et descendit ma braguette pour enlever mon pantalon. Elle continua de me déshabiller et enleva mon caleçon. Mon sexe en érection se présentait devant elle.
Elle le prit dans sa main droite. C'était la première fois qu'une main autre que la mienne touchait mon pénis, cela me fit un frisson tout le long du corps. Puis elle commença à faire des vas et des viens avec sa main. Elle approcha alors sa bouche et se mit à lécher mon sexe de sa base jusqu'au gland et le mis dans sa bouche. Je croyais rêver, cette sensation humide et chaude me procurait tellement de bien. Mais quand elle commença les vas et viens avec sa bouche, la sensation se décupla. Mon dieu, j'avais l'impression de vivre le plus beau jour de ma vie, le plaisir était tellement intense.

Après quelques aller-retour de sa part, je sentis que j'allai bientôt tout lâcher, je posai donc mes mains sur sa tête et la repoussai délicatement. Elle se leva, et alla s'asseoir sur le lit.
Je devais désormais lui rendre l'appareil.
Je m'approchai d'elle tout en enlevant mon tee-shirt. Elle fit de même,mais garda son soutien-gorge, il était de couleur belge, et je pus découvrir qu'elle avait une poitrine, vraiment généreuse... Le fait qu'elle ne dévoila pas tout de suite ses seins fit monter encore plus l'excitation en moi. Elle voulait qu'on prenne notre temps, étape par étape, et c'était bien.
Elle était désormais en appuie sur ses coudes, laissant tomber ses jambes le long de la hauteur du lit. Et elle me regardait, toujours en souriant. Elle avait tellement un regard magnifique. J'étais devenus fou de ses yeux, ce bleu clair m’envoûtait, me déconnectait de la réalité. Il n'y avait plus qu'elle et moi.

Je commençais alors à enlever les deux boutons de sa jupe, et descendis cette dernière. Elle portait une culotte en tissue de la même couleur que son soutien-gorge. Je la fis descendre et l'enleva de ses jambes. Son vagin entièrement rasé se découvrit alors devant moi. Amandine me regardait, elle avait l'air un peu gêné, alors pour la détendre je me mis à caresser ses cuisses, son ventre, ses hanches, et je commençais à lécher ce qui semblait être son clitoris. Elle s'était laissée tomber sur le dos et ses bras étaient étirés sur la longueur du lit. Elle poussait des gémissements de plaisir qu'elle semblait retenir comme si elle ne voulait pas faire de bruit.
J’insérai alors un, puis deux doigts dans son vagin. Ses gémissement se transformèrent en petit cris.
Âpres quelques instant, je sentis de l'humidité arriver en grande quantité, juste après qu'elle poussa un cri de jouissance plus intense que les autres.
C'est alors qu'elle se redressa en haletant à moitié.

- Va...va chercher le préservatif...

Je m’exécutai et pris mon jean pour le récupérer, puis elle me le saisit, et m'allongea sur le dos.
Elle me chevaucha, et déballa le préservatif pour le dérouler sur mon sexe. Elle enleva alors son soutien-gorge et le jeta par terre.
Ça y est, nous étions tout les deux entièrement nue. Moi sur le dos, et elle sur moi, près à voler ma virginité. Sa poitrine était magnifique, deux seins gros, bien centré, qui ne partait pas sur l'extérieur de sa taille et des tétons rose clair, sublime. Elle me regardait.

- Prêt ? :coeur:
- Oui. :-D

Elle prit mon sexe du bout de ses deux doigts, et le dirigea vers le sien, et abaissa son bassin doucement jusqu'à faire disparaître complètement mon pénis. J'étais en elle, c’était étroit et mou à la fois, je ressentais toute la chaleur de son corps, la sensation était parfaite. Puis elle releva son bassin et le rebaissa. Elle continua ainsi et nous étions tout les deux, rien qu'elle et moi en train de goûter aux plaisirs charnels.
A un moment, elle prit mes mains, et les posa sur la poitrine. Elle voulait que je les touches. Je me mis alors à les prendre dans mes mains, à les masser et à titiller ses tétons. Ils étaient assez gros pour remplir ma main entièrement. Lorsque je les faisais bouger, elle émettait encore plus de gisements de plaisirs.

Alors je me redressai, et je fis un de mes fantasmes en embrassant et en mettant ses tétons dans ma bouche. Elle mettait ses bras autour de mon cou et me regarda faire tout en continuant ses vas et viens sur mon pénis. Elle approcha sa tête de la mienne et me chuchota, « jouis en moi... », Je compris son message. Je la mis alors sur le dos, en écartant ses jambes. Et je commençai à la pénétrer de façon plus rapide que précédemment tout en la tenant par la taille. Ses seins rebondissaient de haut en bas au rythme de mes coups de reins.
Après quelques va et viens, je sentis que le moment fatidique arrivait. J'accélérai alors mes mouvements, et Amandine poussait désormais des cris de plus en plus puissants, elle était en train de jouir. Je réunis alors mes dernières forces pour accélérer de plus belle. J'étais en train de jouir en elle, mes mouvements ralentissaient, puis le moment de l'éjaculation se produisit. Pendant quelques secondes, je vécus le plus beau moment de ma vie d'adolescent. Les yeux fermé, je sentais l'orgasme parcourir tout mon corps, plus aucune pensées, plus aucune émotions, juste cette sensation divine. Puis elle disparut pour me laisser retourner à la réalité.

Je me retirai d'Amandine, enlevai le préservatif de mon pénis, et je m'allongeai à coté d'elle. Nous étions l'un à coté de l'autre, essoufflés, mais heureux.
Après quelques secondes où nous reprenions nos esprits, elle se tourna vers moi, m'embrassa, et me glissa un « je t'aime... » au creux de l'oreille, et sortit du lit pour se rhabiller.

Moi j'étais encore allongé sur le dos, le regard dans le vide, en train de repenser à ce que je venais de vivre. Cette nuit magnifique restera à jamais gravé dans ma mémoire comme celui où j'ai perdu ma virginité.


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