Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

Sex Friend


Par : OnMyOnche
Genre : Sayks
Statut : C'est compliqué



Chapitre 9


Publié le 16/03/2014 à 11:27:59 par OnMyOnche

En règle général, quand je suis malade, et que je ne peux pas aller en cours, cela m'arrange puisque ça me permet de jouer toute la journée sur mon PC tel un nolife. Mais quand je tombe vraiment malade, quand je choppe un virus qui me bouffe de l'intérieur et qui me pompe toute mes forces, la chanson est différente, et mes journées, je les passe cloué au lit. Bon pour le coup là, je me déplaçais un peu puisque j'étais forcé d'aller régulièrement dans ma salle de bain, pour faire ce que vous savez déjà …
La maladie commença à s'atténuer entre mercredi et jeudi, mais le médecin m'avait prescrit de ne pas aller en cours de toute la semaine. Du coup jeudi et vendredi j'allais beaucoup mieux, je ne vomissais plus, mes maux de ventre avaient disparut, et je pus faire autre chose de mes journées. Bon, elle ne devenaient pas plus intéressante, mais mes parties de CSS ou de Starcraft permettaient de faire défiler le temps plus rapidement, et samedi approcha à grand pas.
Vendredi soir, je décidai d'aller sur Facebook pour parler avec Amandine de l'organisation du lendemain. Ah super elle est connectée !

« - Coucou toi <3.
- Coucou ! <3 Comment il vas mon grand malade ?
- Il va mieux ! Et il voulait savoir à quelle heure il pourrait venir demain …
- Dommage qu'il ne soit plus malade, j'aurai pus le soigné à ma façon … Sinon mes parents ne seront plus là à partir de 16h, donc viens quand tu veux après cette heure.
- D'acc ! Je viendrai sûrement vers 16h30 – 17h00 alors. Mais je crois que je suis encore un peu malade, il faudrait donc que tu me soigne quand même un peu !
- Abon ? Alors je verrai ce que je pourrais faire pour toi <3. »

Ah la coquine, comment j'étais encore plus pressé d'aller chez elle après ça ! Je voulais trop savoir ce qu'elle avait en tête quand elle disait qu'elle voulait me «  soigner ».
Nous continuâmes de discuter toute la soirée, puis je partis ma coucher vers minuit. Il fallait que je sois en forme pour demain si vous voyez ce que je veux dire...

Le samedi matin, je me réveillai vers 10h00 en pleine forme. Je n'avais plus aucun trace de la maladie. Je pris mon petit-déj, fis ma toilette et retournai dans ma chambre pour décider de ma tenue. C'était pas la peine d'en faire des tonnes, une tenue sobre suffira, je vais juste chez ma copine. Et comme dehors il faisait encore une température plutôt chaude, je m'habillai d'un simple tee-shirt blanc et d'un jean. Ensuite je pris mon sac de sport pour mettre mes affaires à l'intérieur. Des habits de rechanges, un caleçon, une serviette, ma brosse à dent. Et une boîte de préservatif bien sûr...
La journée passa, et finalement l'heure de partir de chez moi arriva. Je prévins ma mère, et on partit en voiture. Durant le trajet on parla d'Amandine et de moi, ma mère disait qu'elle était contente pour moi et qu'il fallait que je profite, que je ne me prenne pas la tête, etc … C'est vrai que je n'avais jamais eu l'occasion de parler vraiment de ma relation à mes parents. En même temps, je me sens un peu gêné de parler de ça avec eux. Je ne sais pas, c'est quelque chose de personnelle et je ne sais même pas si notre histoire va durer longtemps.
Finalement on arriva devant sa maison.

« - Il faudra quand même que tu nous la présente un de ces quatre. » Lança ma mère avant que ne n'ouvre la portière pour sortir.

Leur présenter Amandine ? C'est pas un peu trop tôt ? On sort juste ensemble depuis une semaine. Enfin bref, elle disait peut-être pas ça sérieusement.
Je sortis de la voiture, pris mon sac et me dirigeai vers le portail de jardin de la maison d'Amandine avec une certaine boule au ventre. C'était une maison de campagne relativement spacieuse vu de l'extérieur. Une haute haie cachait la cour de la demeure tandis qu'un portail en bois blanc faisait office d'entrée. En entrant, je dus traverser un chemin de briques roses et je pus apercevoir la maison avec un toit en tuile pourpre et habillé d'un crépi blanc. Vu les fenêtres encastrées dans le toit, il devait y avoir un étage aussi grand que le rez de chaussée.
J'étais désormais en face de la porte d'entrée. Je posai mon doigt sur la sonnette, et un bruit aigu de cloche s'entre choquant retentit de l'intérieur. Quelques secondes plus tard, la porte s'ouvrit, et je vis Amandine. En me voyant, elle se précipita sur moi et m'enlaça en posant sa tête sur mon épaule. Un peu surpris, je lâchai mon sac sur le sol et la pris dans mes bras. Je sentis son doux parfum reconnaissable parmi mille autres. Le même parfum qu'elle dégageai lorsque nos deux corps ne faisaient qu'un. Quel soulagement, cette odeur m'avais manquée …
Finalement, après quelques secondes, on se relâcha et elle recula légèrement. Ses cheveux bruns étaient attachés en une queue de cheval qui partait vers le haut, puis redescendait derrière sa tête. Légèrement maquillé, ses yeux bleus était resplendissant. Ses très légères tâches de rousseurs donnaient à son teint pâle un charme sans pareil. Tandis que sa bouche laissait apparaître un magnifique sourire. Elle était habillée d'un haut blanc sans manche aux fins pointillés vert qui était rentré dans son short belge, le tout séparé par une ceinture brune. Son short, qui cachait uniquement le haut de ses cuisses pouvais laisser apparaître ses magnifiques jambes. Elle était pieds nues, et je remarquai qu'elle avait un vernis blanc sur les ongles de ses doigts de pieds et de ses mains.
Elle parla la première :

« - Je suis contente que tu sois là, tu m'a manquée cette semaine.
- Toi aussi tu m'a manqué, j'ai trouvé la semaine super longue …
- Bon, reste pas dehors ! On va mettre ton sac dans ma chambre.
- Je te suis ! »

J'entrai dans la maison, et suivis Amandine. Pendant qu'elle me racontait les choses qu'elle avait faites durant la semaine au lycée, je découvris chaque aspect de l'intérieur de la demeure. C'était une très belle maison, simple, design, coloré, moderne. Et à travers les fenêtres de son salon, j’apercevais la cour de son jardin et la terrasse sur laquelle une table et des chaises en bois laissaient deviner des possibles repas au barbecue. Finalement on monta un escalier en bois, et très vite, nous nous retrouvâmes devant sa chambre. Elle me laissa entrer en premier, et ferma la porte derrière elle.
Une chambre de fille comme il en existe beaucoup, des murs blancs et roses, une grande armoire en bois clair, quelques peluches à son sommet, des photos d'elle et de ses amis décoraient une partie d'un des murs, et dans un coin, un bureau blanc étaient recouvert de feuille de cours et d'affaires scolaires. Tandis qu'à l'opposé de ce bureau, son lit double me faisait face. Je ne pus m'empêcher l'instant de quelques secondes imaginer ce que l'on pourrait faire sur ce lit ...

Je posai mon sac au bout de son lit et m'assis dessus en posant mes mains derrière moi. Désormais, elle ne parlait plus, elle me regardait toujours en souriant tout en s'approchant de moi. Une fois en face de moi, elle mit ses mains sur mes épaules et me chevaucha. Ma tête se trouvait en face de sa poitrine, son haut n'était pas très décolleté mais on pouvait clairement voir ses généreuses formes à travers le tissu qui moulait ses seins. Sentir son entre-jambes près du mien déclencha une excitation en moi.
Puis, en mettant sa main droite sous mon menton, elle leva ma tête et m'embrassa tout en baissant la sienne. Sentir ses lèvres moelleuses et tièdes se frotter aux miennes continua de faire monter l'excitation. J'enlevai mes mains de derrière moi pour me laisser tomber sur le dos délicatement en entraînant Amandine dans ma chute. On continua à s'embrasser, et son corps était désormais appuyé sur le miens. Je pus alors sentir sa poitrine s'écraser contre mon torse. Avec toute cette excitation, j'eus tout naturellement une érection. Amandine avait l'air d'avoir sentis cette bosse sur mon jean puisqu'elle faisait de légers vas et vient en se frottant sur mon sexe. On avait beau être entièrement habillé, ce moment fut un régale.
Finalement, elle arrêta de m'embrasser et se redressant toujours en me chevauchant. Elle posa ses mains sur mon ventre :
« - On va quand même attendre que mon frère parte, on sera plus tranquille comme ça …
- Ah oui, j'avais presque oublié qu'on était pas tout seul. D'ailleurs, il est où ? Parce que on a presque traversé la moitié de ta maison, j'ai pas entendu un seul bruit.
- Humm, c'est vrai qu'il est un peu discret, mais il doit sûrement être dans sa chambre.
- Et tu pense qu'il s'en va vers quelle heure ?
- Aucune idée ! Mais je pense qu'il va pas tarder, je crois qu'il doit aller chez un pote à lui pour jouer à des jeux vidéos toute la nuit.
- Un vrai geek enfaîte.
- Oui voilà. » Dit-elle en esquissant un léger sourire.

On passa une bonne heure dans sa chambre à se câliner, s'embrasser, se taquiner, etc … On fit vite fait un tour sur Facebook et d'autres site de ce genre, puis on descendit dans son salon pour regarder la télé. On s'installa dans son canapé qui était plutôt grand. Je m’essayai, elle vînt ensuite juste à coté de moi et je passai mon bras derrière elle et elle posai sa tête sur mon épaule.
Enfin, quelques instants après, nous vîmes son frère descendre les escalier. Amandine se redressa et commença à lui parler :

« - Tu va y aller ?
- Ouai.
- Tu dors chez ton pote ?
- Ouai. »

Après avoir enfilé ses chaussures, il se retourna vers nous, et fut un peu surpris. Je crois qu'il n'avait pas encore remarqué ma présence. Amandine reprit la parole :

« - Ah oui je te présente Guillaume, Guillaume, mon frère.
- Ah ok, bha salut Guillaume. »

Et il s'en alla en sortant par la porte d'entrée sans que je puisse répondre quoi que ce soit.

« - Il est pas très bavard ton frère.
- Ouai, il est tout le temps comme ça, on a l'impression qu'il s'en fou de tout le monde. Enfin bref, il faudrait qu'on mange quand même. Ça te vas steak haché – pattes ?
- Ouai ouai niquel, je vais t'aider à préparer. »

On se mit ainsi à préparer notre repas, et on mangea devant la télé, sur le canapé. Ensuite, on resta pour regarder les enfants de la télé. J'aimais pas beaucoup cette émission, mais Amandine me demanda si on pouvait regarder. Bien sûr, j'acceptai, et pris mon mal en patience. Bon, ce n'était pas non plus un supplice, il m’arrivait de rigoler, c'était juste le présentateur, Arthur qui m'énervais beaucoup.
Une fois l'émission terminé, Amandine se leva :

« - On monte dans ma chambre ? Il est déjà 11h25 »

Je me levai à mon tour et on monta tout les deux à l'étage. Une fois dans sa chambre, je lui demandai :

« - Je peux emprunter ton PC deux minutes ?
- Ouai ouai va y, moi je vais prendre ma douche en attendant.
- D'accord, j'irai me laver après toi alors. »

Bizarrement, elle avait l'air d'être légèrement déçu. Aurais-je dis quelque chose qu'il ne fallait pas ?
Je pris alors son PC portable et ouvris Facebook. Amandine était partit dans la salle de bain, mais environs deux minutes plus tard, elle revînt dans la chambre. Je levai la tête de l'écran pour voir ce qu'elle faisait, et lorsque je la vis, je fus un peu surpris. Elle avait détachée ses cheveux, et était uniquement vêtue d'une serviette blanche qui cachait sa poitrine et son entre-jambes. La voir ainsi ne me laisse pas indemne, une forte excitation m'envahit. Mais j'étais aussi légèrement stressé. Je n'avais pas d'alcool dans le sang comme la dernière fois, et je ne savais pas vraiment quoi dire ou quoi faire. Finalement elle prit la parole un peu hésitante :

« - Est-ce que tu … tu voudrais qu'on prenne notre douche ensemble ? »

Mon cœur s'accélérera, et j'eus tout d'un coup très chaud. Je me sentis même rougir. Mais l'information ne fit qu'un tour, et l'idée de prendre une douche avec une fille super sexy qui me le demande uniquement vêtu d'une serviette était un vrai fantasme que je pensais irréelle. Et là, elle m'offre l'occasion sur un plateau. Je lui répondis :

« - Je te rejoins dans une minute.
- A tout de suite alors … » répondit-elle en esquissant un sourire coquin.

Elle se retourna et quitta la chambre. Moi j'eus juste le temps de réaliser ce qui était en train de se passer. L'excitation et le stresse continua de monter en moi. Je sortis du lit, j'enlevai mon jean, puis mon tee-shirt. Enfin je quittai la chambre en caleçon pour rejoindre Amandine dans la salle de bain...


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