Note de la fic : Non notée

Je suis un looser.


Par : Pseudoencartoon
Genre : Action, Fantastique
Statut : Terminée



Chapitre 11


Publié le 07/09/2017 à 23:11:38 par Pseudoencartoon

Mais c'est qu'il voulait pas parler ce con. Ça faisait une heure que je l'interrogeais et il disait rien. Et je ne pouvais pas le torturer... C'était au-dessus de mes forces. Mais soudain, l'illumination. J'étais toujours dans un état de grande adrénaline.
- Je veux savoir ce qu'il fait là. dis-je.
Une succession d'informations semblaient s'encastrer dans ma tête. J'énumérai :

- Tu t'appelles Serguei Vokdanov. Tu es un mercenaire russe envoyé par un certain Yassin Edremmesuovej, patron d'une mafia russe haïssant l'Europe et l'Amérique. Tu étais censé éliminer un enfant pour choquer encore plus la population et tu devais laisser un faux passeport américain pour réduire à néant la confiance entre USA et UE, permettant ainsi une explosion du trafic d'armes.
Les yeux de l'assassin s'agrandirent.
- Comment sais-tu tout ça ? dit-il.
- Je ne suis pas un Français normal. :sournois:
- Je ne sais pas qui tu es, mais quoi qu'il arrive, si je ne contacte pas mon commanditaire, quelque chose me dit qu'il va envoyer un autre gars.
- Je veux que le russe Yassin Edremmesuovej meure à l'instant.
Le russe était comme ça : :doute:
- Ton patron est maintenant mort. Et on va s'amuser maintenant. Je veux un neuroliseur de Men in Black :cool: (ndlr : go Wikipédia pour les incultes)
L'étrange objet apparut dans ma main. Je le réglai sur 20 ans et le flashai :
- Tu n'as jamais été un tueur. Mais tu viens de passer de nombreuses années de ta vie dans un hôpital psychiatrique. Tu n'en ressors que maintenant. Tu vas te marier et faire beaucoup d'enfants. :ange:
Je rangeai le neuroliseur et dit :
- Je veux qu'il soit chez lui, débarrassé de ces cordes.
Le tireur disparut.

Je me demandais de plus en plus pourquoi je ne me servais pas autant de mes pouvoirs que je le pouvais. J'aurais pu m'offrir le monde sur un plateau d'argent, mais je ne l'y résolvais pas. Et pis je devais toujours aller chercher la chose qu'il me manquait. Mais c'était le week-end. On remettra ça lundi.

J'allai dans ma chambre et me couchai.


Commentaires

Aucun commentaire pour ce chapitre.