Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

Majorité Sayksuelle


Par : Rhubarb
Genre : Sayks, Sentimental
Statut : C'est compliqué



Chapitre 74


Publié le 09/09/2013 à 17:17:55 par Rhubarb

-Oui excuse moi Archi. Tu vas bien ?
-Comme d'hab' et vous Docteur ?
-Ma foi c'est une bonne journée pour la médecine !
-Vous avez réussi une nouvelle opération ?

Oui, depuis que Meg était en "convalescence" j'entretenais une relation particulière avec son Docteur, on s'entendait bien, il me soutenait, peut-etre qu'il était touché par notre histoire.

-Non Archi, ce matin elle à ouvert les yeux et une infirmière lui a même parlé.
-Vraiment ?
-Oui oui je t'assure !
-Non c'est...., merci pour tout ce que vous avez fait !
-Je t'en prie, tu peux venir à l'hôpital, elle s'est rendormie mais c'est juste de la fatigue donc attendre qu'elle se réveille dans sa chambre, on verra comment elle est ensemble ok ?
-J'arrive !

Et je raccrochai avant qu'il ait le temps de dire "ouf".
D'un côté j'étais réjoui mais de l'autre j'avais peur. Elle m'aurait peut-être oublié, ou bien ne parlerai plus ou une merde dans le genre.

Sans trop y réfléchir j'enfilai une veste, pris mon casque et mes clefs et montai sur ma Loïs.

J'avais du mal à faire le trajet en imaginant que c'était Meg que j'allais voir sur ma moto, alors que je l'avais mise dans cet état sur cette même moto..

Mais j'avais passé un cap en montant dessus et je roulais donc en direction de l'hosto.

En definitive, le sentiment principal qui ressortait de ce meli melo était de la joie, mitigée mais une joie quand même

Il ne me fallut pas longtemps pour arriver.
En arrivant devant les portes après m'être garé, je vis le Docteur en train de fumer juste devant les portes. Spontanément j'allai le voir pour discuter un peu avant de rentrer voir Meg.

-Ah te voilà Archi !
-Oui, je suis venu tout de suite.
-Je finis ma cigarette et je t'accompagne à l'interieur.

Il s'executa et deux minutes plus tard, nous marchions dans les couloir que j'avais si fréquemment côtoyés pendant des mois.

Arrivés devant la porte, j'eu besoin de prendre une grande inspiration avant de la pousser et de rentrer, étrangement, j'avais le trac.

Une fois entrés, nous nous asseyâmes et le Dr. me fit un compte rendu de l'état de Meg.
L'ensemble était plutôt rassurant.
Lorsqu'il eu finit son bilan, il me laissa seul pour retourner à son travail.

Il était 14heures et si mes calculs étaient bons, vu qu'elle s'était réveillée vers 12h30, si il lui fallait une bonne nuit de repos avant de se réveiller, elle ne serait pas debout avant minuit.
Donc depuis le fauteuil, je mis la télé et sans quasiment de son pour ne pas la réveiller, je m'assoupi.

Reveillé 15minutes plus tard en sursaut par je ne sais quoi, j'otais mes chaussures et dans la situation d'ex, ou bien d'actuel petit ami de Meg, je ne savais pas vraiment comment qualifier notre relation après ces événements, je vins m'allonger sur son lit, l'enlacant dans mes bras, comme pour lui donner de l'énergie pour qu'elle se réveille plus vite.

Plus tard, assez violemment, je suis tombé du lit, ou plutôt on m'en a poussé..

En effet, je n'étais pas seul dans la chambre, il devait y avoir 5infirmières et un mec en costume.
Une des infirmières vint m'aider à me relever et me précipita vers la porte.

La tête dans le cul et sans comprendre grand chose, je fouillai ma poche pour prendre mon téléphone mais je ne parvins pas à le trouver. J'avais du le laisser tomber en même temps que je me viandais du lit..
Sans aucune forme de respect, je poussai violemment la porte et aperçu mon téléphone par terre. Il était à environ deux mètres du lit. Je le pris et en relevant la tête je croisais le regard de Meg. Si j'avais pu le croiser, c'est qu'elle était réveillée.

Mon téléphone affichait 00h37, j'avais pas trop foiré mes calculs apparemment

Cependant, cet attroupement m'effrayais. Pourquoi m'avaient-ils viré ? Et puis pourquoi autant de personnes à son réveil ?

Le Dr. n'étais pas dans le coin donc impossible d'avoir des informations. Je pris donc mon mal en patience et pris place sur un siège.
Plus le temps passait plus cela laissait le temps à mon cerveau d'envisager des hypothèses moroses.


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