Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

Les prisonniers de l'île


Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action, Science-Fiction
Statut : Abandonnée



Chapitre 8 : L'arbre attaqué


Publié le 22/09/2013 à 20:42:25 par Camion2LaGalayr

Il était tard, c'était mon tour de surveiller les alentours. J'avais à peine dormis mais je savais que ça ne pouvait en être autrement, il ne fallait pas prendre le risque de se faire attaquer par surprise la nuit. Maxime et Alice dormaient, Marie essayait d'en faire de même. Le silence était total si l'ont ne comptait pas le vent qui soufflait et le bruit des insectes.

La branche où je m'étais installé était particulièrement confortable et j'avais une vue imprenable sur tout les alentours, du coups j'étais confient. Quelques temps après que j'ai pris ma place à la garde de notre arbre-maison, des bruits inhabituels se firent entendre, des petits morceaux de bois qui craquèrent, des feuilles qui bougeaient, des grognements, aucun doutes, c'était eux !

Rapidement j'ai réveillé Maxime et Marie, Maxime pris sa hache en main et Marie sortie un couteau de sa poche. Les bruits se rapprochèrent de plus en plus, des sons qui nous glacèrent de sang. On les entendaient mais on ne les voyaient pas, où il étaient ? Combien ils étaient ? On ne le savaient pas. Alors que nous nous y attendions le moins, une flèche qui m'était destiné se planta dans l'arbre à dix centimètres de moi. Maxime lança une branche enflammée vers l'endroit où la flèche fut décochée, la lumière dévoila un squelette de forme humaine mais qui ne semblait pas si inanimé que les squelettes ordinaires. Entre ces monstres ressemblant à des mort-vivants et les araignées géantes, le fait de se faire attaquer par un squelette ne nous à pas trop choqués. Le tas d'os qui bougeait comme une marionnette décocha une autre flèche sur moi, apparemment il m'en voulait beaucoup, mais je me suis rapidement caché derrière une branche assez épaisse pour me protéger entièrement.

Le bruit de l'attaque réveilla Alice qui s'était elle aussi mise à couvert, comme Maxime et Marie. Alors que nous étions temporairement en sécurité, nous discutions d'une stratégie pour nous débarrasser de l'ennemis. Maxime proposa la manière directe: descendre de l'arbre et lui défoncer la gueule mais alors qu'il ai finit de nous exposer sont plan pleine de finesse, Marie nous arrêta. Elle me demanda de me montrer au squelette rapidement pour que celui-ci me tire dessus. A ce moment là je croyais qu'elle voulait ma mort mais elle me demanda de lui faire confiance et avec comme même un peu de réticences je m’exécuta. Comme prévu la marionnette osseuse me vit et me mit en joue et me tira dessus mais alors qu'il allait décocher sa flèche une autre flèche se planta dans l'orbite qui aurait contenu un œil dans le passé et fit tomber sa tête à terre. C'était Marie qui avait utilisé un de nos arcs. Mais je n'ai pas eu le temps de la félicité pour son joli tir ou même de l'engueuler de ne pas m'avoir prévenu car soudainement deux de ces monstres avec la peau desséché marchèrent vers notre arbre. Marie décocha une autre flèche sur un d'eux et qui le toucha dans l’abdomen mais le monstre n'est pas tombé, il a continué sa marche vers nous en grognant encore plus fort. C'est alors que Maxime descendit trois branches plus bas pour pouvoir atteindre les monstres avec son arme tandis que Marie leur tira encore une autre flèche qui cette fois en toucha un mortellement. Maxime s'occupa du deuxième en liu fendant le crâne avec sa hache. Une fois ce dernier monstre tué, le calme était revenu.

Le reste de la nuit a été silencieuse mais oppressante, je n'ai presque pas dormis. L'aube venu, je fus réveillé par Alice qui avait été réveillé plus tôt que moi. Maxime et Marie pendant ce temps ramassèrent nos affaires. Une fois prêts nous sommes descendus de l'arbre et avons repris notre route vers l'inconnu.

Ça faisait quelques heures que nous marchions, nous avions fait quelques pauses pour que Alice se repose, deux jours ce n'est pas assez pour s'habituer à notre rythme de marche mais elle y donnait du sien, elle ne se plaignait pas et continuait à marcher jusqu’à ce qu'elle s'écroule de fatigue.
Nous étions définitivement sortis de cette forêt tropicale, la chaleur était moins étouffante et nous avions moins soif mais nos réserves d'eau commençaient à être vraiment basses. Au niveau nourriture ça allait, nous avions des réserves et médicaments aussi.

Le soleil était à son zénith, nous nous sommes installés dans une clairière pour manger, nous étions tous l'un à coté de l'autre: Marie était à ma droite, Alice à ma gauche et Maxime à la gauche d'Alice. Nous avions distribués les parts, Maxime et moi avions les plus petites mais elles étaient assez grandes pour nous contenter. Alors que nous étions en plein repas je sentis une matière dure et froide qui me touchait le cou.


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