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Les prisonniers de l'île


Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action, Science-Fiction
Statut : Abandonnée



Chapitre 6 : Une nuit en enfer


Publié le 20/09/2013 à 15:40:49 par Camion2LaGalayr

Alors que nous nous apprêtions à dormir, le cris d'un homme se fit entendre. Puis plusieurs cris puis des gens se sont mit à courir dans tout les sens. Ce grabuge venait principalement du grand groupe des adultes mais nous ne somme pas rester spectateur très longtemps.

Des ombres approchaient en marchant. Elles s'approchaient de plus en plus en poussant des grognements. Maxime et moi n'avons pas attendus qu'ils soient à notre porté pour nous armés, moi de l'épée et Maxime de la hache. Marie était derrière nous. Nous étions prêt à combattre, prêt à porter nos coups sur les êtres qui venaient nous menacer. J'était effrayé et impatient en même temps, c'était la première fois que j'allais me battre pour ma survie. Nous allions nous battre au milieu des des cris de détresses des naufragés et les grognements bestiaux de nos agresseurs.

Les ombres étaient maintenant dans le rayon d’éclairé de notre feu de camp et ce qui est apparus en face de nous n'avait rien d'humain: une forme d'homme mais une peau grise et putride, des dents pointus, des yeux noirs, un corps d'apparence musclé et imposant. Avant de commencer à me battre je glissa à Marie horrifiée: "Prend les sacs et tout ce que tu peux emporter". Les monstres étaient trois, trois contre trois mais ont ne comptait pas sur Marie pour se battre. Un premier monstre se lança lourdement sur moi et essaya de m'attraper avec ses énormes bras mais j'ai vivement reculé et de toute mes forces je l'ai frappé avec mon épée à l'épaule. Le monstre a poussé un hurlement rauque mais je n'ai pas attendus qu'il réagisse pour lui enfoncer la pointe de l'épée dans le bas du ventre. La chose s'est ensuite effondrée par terre, j'avais tué le monstre mais pas le temps non plus de penser à ça car un deuxième s'élança sur moi ! Surpris je n'ai pas réagis comme il fallait et ce monstre attrapa mon épée avec ses
deux mains, il la tira vers lui avec une force sur-naturelle pour atteindre ma tête ou ma nuque avec sa mâchoire mais alors que j'allais lâcher Maxime le frappa avec sa hache dans le dos. La créature hurla et lâcha mon épée pour se tourner vers Maxime mais avant qu'elle n'est le temps d'attaquer mon compagnon, je planta mon épée dans son dos, là où Maxime a frapper et la créature mourus.

Maxime avait tuer son premier adversaire et il a donc pu m'aider. Il est demeuré extrêmement lucide pendant le combat et me donna mon sac à dos. Chacun d'entre nous commença à ramasser tout ce qu'il pouvait, Maxime donna un couteau à Marie et nous apprêtions à partir de cette plage mortelle. Nous regardions l'horrible spectacle de l'attaque de ces monstres.

Dans les zones éclairées par les feux des plus petits groupes, on voyait les cadavres de ceux qui les avait occupée. Vers le camp de groupe d'adulte l'on voyait une agitation sans nom: les gens se battaient comme ils pouvait contre les monstres mais ces derniers étaient de plus en plus nombreux, ils sortaient de la forêt qui cette nuit était particulièrement lugubre.

Nous aurions pu nous enfuir, ça aurais été plus prudent, plus sage mais nous avions encore une tâche suicidaire à accomplir, un personne à récupérer comme quand nous étions dans l'avion. Alors nous avons tous courus vers l’endroit où le nombre de monstres était le plus grand. Je serrais très fort mon épée dans mes mains en regardant droit devant moi, je sentais que Maxime était directement sur ma gauche et Marie à ma droite un peu en arrière.

Une fois arriver au cœur de la mêlée nous cherchions du regard la cause de cet acte insensé quand Marie cria "Là !" en la montrant du doigt. Elle était recroquevillé sur elle même et pleurait. Sans réfléchir Marie courus vers elle, nous nous couvrions ses flancs. Un, deux, deux monstres qui essayaient d'atteindre Marie ont succombé à mes coups d'épée, j'était jamais loin derrière elle et Maxime non plus.

Marie l'avait enfin atteinte et quand la petite Alice la vu, elle lui sauta au cou sans pleurant. Maxime et moi les protégions alors que Marie essaya de rassurer Alice. Autour de nous, les hommes et les femmes se battait contre les monstres à mains nues ou à coups de bâton mais pour eux c'était sans espoir. A terre ont voyaient des dizaines de cadavres de personnes de tout âges, dont le gars un peu gros qui voulait nous ramener dans leur groupe. Une fois les filles prêtes nous sommes partis nous cachés dans la forêt.

C'était une fuite risquée, nous courrions le risque de rencontrer des monstres en face de nous mais une forêt c'est mieux qu'une plage pour se cacher. J'ouvrais la marche, Maxime la fermait, au milieu Marie et Alice, nous courrions le plus vite possible, le plus loin possible. La lumière de la lune ne suffisait pas pour voir où l'on allait alors que je cherchais un point de repère. Faute de points de repère et de savoir ou allez, nous courrions dans la forêt. Nous courrions depuis cinq minutes déjà quand Alice tomba à terre, la petite fille n'en pouvait plus. On s'étaient arrêtés, Maxime et moi regardions partout autour de nous et nous tendions aussi l'oreille: aucun bruit, ni les grognements menaçants dans monstres ou les cris des personnes attaqués.

Nous pensions être en sécurité, il y avait bien entre trois et quatre kilomètres entre nous et la plage mais cette pause fut de courte durée quand tombant d'un arbre une araignée géante atterri devant les filles. Elle s’apprêtait à mordre Marie qui faisait courageusement bouclier devant Alice mais moi et Maxime la blessa de nos armes tranchante. Elle se retourna alors vers nous et fonça d'abord sur moi mais je l'ai stoppé en donnant un coup d'estoc avec mon épée qui lui traversa la tête.

Une fois l'araignée morte nous avons enfin pu souffler. Pendant que Maxime et moi inspections les alentours, les filles rassemblèrent des feuilles et des branches pour faire un feu. Une fois les alentours sécurisés nous sommes retournés auprès des filles qui avaient réussi à allumer le feu à l'aide du briquet. Assis près du feu, j'observais mais ne disais rien, les autres non plus ne disaient rien. Je regardais l'était de mes compagnons d'infortune: la petite Alice regardais les flammes du feu de camp, elle tremblait ce qui est compréhensible vu ce qu'elle à vue, Marie la regardait avec un regard triste, ça n'as été facile pour personne. Maxime lui inspectait sa hache et la nettoyait avec une feuille. J'ai ensuite tourné mon regard vers le monstre que nous avions tué tantôt: c'était bel et bien une araignée mais elle avait une taille totalement disproportionnée, elle était toute noire et me rendait nerveux même morte. Comme pour me débarrasser de cette vision d'horreur, je me suis mis à regarder le feu moi
aussi. Le silence fut rompu par Maxime qui demanda aux filles de dormir, lui et moi monterions la garde à tour de rôle, j'étais complètement d'accord mais je ne m'attendais pas à ce que le reste de la nuit soit si long.


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