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Les prisonniers de l'île


Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action, Science-Fiction
Statut : Abandonnée



Chapitre 7 : Partir ou rester ?


Publié le 21/09/2013 à 16:43:56 par Camion2LaGalayr

Le lendemain matin Maxime me réveilla, le soleil venait de se lever. Les filles dormaient encore, nous les avions laissés dormir un peu plus longtemps. Maxime voulait me parler de la situation dans laquelle l'on se trouvaient, il me dit que j'avait de bonne idées pour gérer les situations critiques mais là moi même j'était quelque peu déboussolé mais j'était sûr d'une chose: retourner à la plage serait une mauvaise idée. Nous savions maintenant que la faim et la soif ne seraient plus nos seuls ennemies, il y avait maintenant la peur, le stress, l'angoisse et ces monstres. Le problème est que si nous ne retournions pas sur la plage nous aurions peu de chance d'être secourus problème dont j'ai fait par à Maxime. Pour Maxime s'était clair que nous ne pourrions pas attendre des secours dans des endroits aussi dangereux que sont la plage et cette forêt. Alors que je parlais à Maxime du problème d'approvisionnement en eau Marie et Alice se réveillèrent.

"Vous êtes réveillés depuis longtemps les gars ? demanda Marie.

_Pas trop, vous pouvez vous reposer encore, répondis-je.

_Pourquoi vous parliez de l'eau ? redemanda t-elle.

_Nous débattions du fait de partir plus dans les terre ou de retourner sur la plage, répondit Maxime.

_Sans moi ? C'est sympa ça !

_T'aurais qu'on te réveille une heure plus tôt ? demandais-je

_Ben oui, moi aussi j'ai mon mot à dire non ?

_Ok, d'accord, je vais te résumer: Jérémy et moi nous sommes d'accord sur le fait que nous ne devons pas retourner sur la plage mais le problème est que si des secours nous cherchent, je doute qu'il se mettent à fouiller tout cet endroit. Moi je voudrais que nous nous enfoncions plus dans les terres alors que Jérémy est contre cette idée, déclara Maxime

_Oui, si nous suivons le raisonnement de Maxime nous devrions abandonner l'idée d'être secourus, lui répondis-je.

_Mais comme je te le disais Jérémy, la plage et cette forêt sont trop dangereuses, nous devons trouver un endroit habité. Il y a des hommes dans cet endroit, c'est certain ! affirma Maxime.

_Qu'en pense tu Marie ? demandais-je.

_Je veux être secourue...... mais je pense comme Maxime que nous ne pouvons pas survivre ici alors je suis pour l'idée de Max.

_Moi je rentrer chez moi, dit Alice insouciamment.

_Bah, finalement je tombe d'accord avec Maxime, nous sommes dans une guerre mondiale, je doute que quelqu'un bouge pour un avion de réfugiés disparut.

_Moi je veux pas, je veux revoir Maman et Papa, dit Alice avant de se mettre à pleurer.

_Ne t'inquiète pas, si on trouve des gens, je suis sur qu'ils nous aiderons à partir d'ici, dit Maxime pour la consoler."

Nous nous sommes donc mis en marche vers le sens opposé de tout nos ennuis, nous nous imposions un certain rythme de marche mais de toute évidence, il était trop important pour la petite Alice si bien qu'en à peine une heure, Maxime dû la porter sur son dos.

Cette forêt n'en finissait pas, des arbres, des arbres et encore des arbres, il faisait chaud et humide, on devaient boire beaucoup d'eau et nous n'en avions pas tellement. Moi et Maxime buvions moins que les filles, surement à cause de notre fierté masculine. Après trois ou quatre heures de marche nous sommes tombé sur une araignée géante dans la forêt. Rapidement j'ai dégainé mon épée, que je prenais toujours à deux mains car je la trouvait trop lourde, et je me mis en posture de combat en attendant qu'elle lance l'attaque mais bizarrement cette dernière n'en fit rien, elle nous a à peine regardés et elle est partie dans la forêt. Surpris nous nous questionnions sur le comportement de cette araignée quand Alice sortie insouciamment "peut être que le jour elle est gentille". Comme nous avions pas de meilleures explications nous avons adoptés cette idée puis nous avons continué notre route toujours avec la même cadence de marche.

Le soleil commençait à ce coucher et nous n'étions pas sortis de la forêt mais au cours de notre avancé nous avions remarqués que la température avait chuté assez rapidement, non pas à cause de la nuit qui arrivait mais comme si nous changions de climat. La végétation aussi avait changée, à la place d'arbres tropicaux nous étions entourés d'arbres de climats tempéré. Nous avions tous remarqués que notre environnement avait changé mais nous n'en avions pas fait grand cas, notre problème, c'était que c'était bientôt la nuit, le moment de la journée où nous étions le plus vulnérable. Nous devions trouver un endroit sécurisé pour dormir, un endroit où nous pourrions voir l'ennemis sans être vus. La solution était toute trouvée, un grand chêne avec des branches épaisses et solides. Maxime commença sont ascension de l'arbre et la termina très vite, grâce à sa force physique, il a pu se hisser par la force des bras sur les branches trop hautes. Il nous a dit que l’endroit était parfait et que l'on pouvaient monter. Tout d'abord, c'est Alice qui est monter, Marie et moi nous l'aidions à aller de branches en branches pour atteindre l’endroit où se trouvais Maxime qui finalisa son escalade en la tirant encore une fois grâce à sa seule force jusqu'à l’endroit ou il s'était posé. Ce fut ensuite le tour de Marie, elle par sa légèreté n'as pas eu de mal à escalader l'arbre entier toute seule. Après avoir acheminé les sacs à dos tout en haut, j'entamais moi aussi la grimpette de l'arbre. En haut c'était sur une branche large et épaisse que mes compagnons se sont installés. Le seul défaut de cette endroit c'était pour faire un feu mais en réfléchissant un peu, j'ai pu corriger ce défaut en installant le foyer dans.... la casserole.

Après avoir mangé nos rations nous discutions de l'ordre de nos tours de garde, la petite Alice qui n'avait pas été prise en considération pour cette tâche se désigna pour le premier tour. L'ordre de la garde était Alice, Marie, Moi et Maxime, nous avions dit à Alice de nous réveiller au moindre petit problème. Maxime avait placé les arcs jusque là jamais utilisés à coté de Marie et de moi mais ni moi ni Marie ne savions utiliser ces armes et Maxime non plus d’ailleurs. Tout ceci fait, nous étions prêt à affronter cette nouvelle nuit en enfer !


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