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Les prisonniers de l'île


Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action, Science-Fiction
Statut : Abandonnée



Chapitre 3 : La sortie de l'avion


Publié le 03/09/2013 à 18:45:38 par Camion2LaGalayr

Soudain nous avons sentis une brusque secousse de l'appareil puis le moteur s'est arrêter. Tout le monde criait et ne savaient plus quoi faire. Le vieux à coté de moi est partit de son siège. Moi j'ai vite attaché ma ceinture et je me suis mis en boule sur mon siège avec l'espoir que je ne serais pas broyé. La fille qui était devant moi et mon voisin de derrière m'ont regardés et ont adoptés le même comportement que moi. Mon voisin de derrière montra à la petite fille qui était à coté de lui comment s'y prendre. Les dernières choses dont je me souviens de cet épisode ce sont les cris et les pleures.

Je me suis réveillé avec un horrible mal de crane mais j'était toujours en vie... mais ce n'était pas le cas de tout le monde. Après avoir partiellement retrouver mes esprit, j'ai regardé autour de moi: c'était l'enfer ! La moitié de l'avion s'était arracher, je voyait quelques survivant mais la grande majorité n'était plus que cadavre. J'ai régurgité mon dernier repas devant l'horreur. Il m'a fallu un peu de temps pour m'en remettre mais je commence à essayer de secourir des gens, à commencer par mes voisins de voyage. Apparemment ma technique anti-crash a fonctionné: ils sont dans les pommes mais vivants.

Il faisait sombre mais j'était éclairer par le feu de l'incendie qui s'était déclaré. Il fallait évacuer l'avion au plus vite, j'avais peur qu'il explose ou un truc comme ça. J'ai d'abord essayer de réveiller le mec qui était derrière moi dans l'avion, valait mieux pas que la gamine voit ça. Il m'a fallu un petit moment à le secouer mais il a fini par se réveiller.

"Merde, putain mais qu'es-ce qu'il se passe ? dit-il effaroucher.

_On s'est crashés et je sais même pas si on est sur l'eau ou sur terre même si je doute que cette épave flotte.

_Putain de merde ! Pourquoi on s'est crasher ? Je vais dire de deux mots aux pilotes moi !

_Évite ça, c'est le bordel, y'a des morts et des blessés partout ! Réveil la gamine et fait en sorte qu'elle ne voit pas ça.

_Et toi ?

_Je vais essayer de réveiller la fille là et j'évaluerais la situation.

_Ok ça marche."

Alors que j'étais en train de réveiller la fille, je regardais en même temps par l'énorme trous dans l'avion. Je voyais de la flotte de ce coté mais aussi les rouleaux des vagues ce qui voulait dire que nous étions près de la terre. Après avoir un peu secoué la fille, elle se réveille complètement affolée. J'essaie de la calmer pour pouvoir ensuite vérifier le travail de mon acolyte et ensuite évaluer la situation. Je demande tout d'abord à la fille sont nom, elle me dit qu'elle s'appelle Marie. Je suis ensuite aller voir où en était l'autre personne que j'ai réveillé avec la petite: il l'avait réussi à la réveiller. Il lui avait dit de ne pas regarder alors la petite a mise ses mains devant ses yeux. Je me suis dirigé vers eux pour faire le point, derrière moi, Marie était horrifié par le spectacle dont elle était témoin.

"Au fait comment tu t'appelle ? lui dis-je

_Maxime. Et toi ?

_Mon nom c'est Jérémy et elle c'est Marie.

_Et toi petite, c'est quoi ton prénom ? demanda t-il à la petite fille.

_Alice. dit elle d'une petite voix apeurée.

_Ecoutez moi, l'avion s'est crasher et en plus il est en feu, j'ai vu par le trous que nous ne devions pas être loin de la terre ferme mais il va peut-être falloir nager. Si l'on reste dans l'avion il y aura peut être une explosion si le feu atteint le carburant. Qui veux me suivre dehors ?

_Je viens, dit Marie

_On te suit, déclara Maxime

_Ok, prenez tout ce que vous trouver d'utile et on, se rejoint ici quand on a fini.

_Ok, acquiesça Marie

_Ok, dit Maxime

_Alice tu reste là et tu ferme bien les yeux, dis-je à la petite fille.

_D'accord, dit-elle d'une voix fluette."

Nous nous sommes donc mis à chercher des objets utiles. Nous avons d'abord tous chercher dans nos sacs de voyage. Pour ma part, j'y ais trouvé des chocolats, des bonbons et des fringues de rechange. J'ai donc pris mon sac sur mon dos, il pouvais toujours servir. Je me suis ensuite mis en quête d'autres objets utiles. Après 10 bonnes minutes de recherche je reviens au point de rendez-vous où tout le monde m'y attend. Je demande à mes équipiers de me montrer ce qu'ils ont trouvés. Maxime pose sur le siège une brosse à dent, des gâteaux, un couteau suisse, un morceau de ficelle, une ceinture et un briquet. Marie, elle, posa devant nous des sandwichs, une paire de ciseaux, de l'argenterie et une boîte à outils. Impressionné par tout ce qu'ils avaient trouver je dévoilait moi mon butin: Des médicaments, des poches de sang, des scalpels, du papier, des bandages et pansements et des allumettes.

"Bon ok, on a au moins de quoi se faire du feu et de quoi ce soigner. On a aussi des lames pour couper des branches, déclarais-je.

_On peux enfin aller dehors ? demanda Maxime.

_Oui mais prudemment

_Je peux ouvrir les yeux maintenant ? demanda la petite Alice

_Non pas tout de suite, on va t'amener dehors et après tu pourra ouvrir les yeux, lui répondis-je

_D'accord

_Comment on sors alors ? demanda Marie

_Il y a une sortie au bout de l'appareil ? questionnais-je

_Non, je suis allé voir, dit Maxime

_Alors on va devoir sauter par ce trou.

_C'est pas trop haut ? demanda Marie

_Je ne pense pas, aller allons y !

_Attendez ! cria un vieil homme d'environ 50 ans. Vous comptez aller où avec tout ça ?

_On va dehors, répondis-je

_Avec les des médicaments et des objets dangereux comme des couteaux ? Pas question ! Vous restez là les enfants et vous me donnez tout ça.

_Et puis quoi encore le vieux ? C'est chacun pour soi maintenant, nous on se cassent ! dit Maxime

_Aller on se dépêche ! dis-je alors que le vieux se dirigeait vers nous."

Nous avons courus vers l'énorme trou puis après avoir évalué la hauteur je me suis mis à sauter. Derrière moi Marie hésite un peu a sauter alors que Maxime la presse avec Alice dans les bras. Elle fini par sauter, suivit de près par Maxime et Alice. J'avais raison quand je disais que la terre ferme était pas loin, d'ailleurs le nez de l'avion était plongé dans le sable d'une grande plage à la lisière d'une forêt tropicale. Après quelques brasses, nous sommes arrivés sur la plage: il fait assez froid dehors et en plus nous sommes trempés. Immédiatement, je demande à Maxime de me passer son couteau suisse, de sortir les briquet et de veiller sur Alice. J'ai ensuit demander ensuite à Marie d'aller chercher des feuilles de préférence sèches tandis que moi je vais couper des branches des arbres avoisinants.
Ce-ci fait j'ai demandé à Maxime de mettre le feu aux feuilles que j'ai soigneusement mises sous un petit tas de branches trouvés par terre. Le feu pris assez rapidement malgré le fait que les feuilles ne sont pas sèches. Dehors il y avait déjà des gens mais comme ils sont sortis sans prendre de quoi faire un feu il sont dans le noir. Cinq personnes, deux femmes d'une trentaine d'années ainsi qu'un homme de 40 ans environs et deux petits garçons nous ont demander de se joindre à nous. Autour du feu qui nous éclairaient nous avons pu constater nos états physique.
J'avais des coupures aux bras et aux jambes ainsi que des hématomes et une énorme bosse sur le crane. Marie, elle avait une petite coupure sur le visage au niveau de la joue. Maxime a comme un coquard sur l’œil et des coupures un peu partout. Alice, elle est une miraculée qui s'en ai sortie indemne. Les gens qui étaient avec nous n'avaient pas autant de chance, ils avaient des plaies ouvertes et l'homme avait une épaule démise. Nous avons partagés une partie de notre matériel médical avec eux, ils ont d'abord soigné les enfants qui avaient le même âge que Alice.
Nous avons fini par tous nous endormir autour du feu.

Je n'en reviens pas que nous ayons survécus à cette nuit.


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