Note de la fic : :noel:

Battle Royal 3


Par : [O-Kay]
Genre : Action
Statut : C'est compliqué



Chapitre 2


Publié le 29/10/2008 à 22:14:39 par [O-Kay]

Prologue P2 :

Amatsushin...
Je volait un twix (wazaaaaa) à Chocobodosef alors qu'il était retourné, c'était fun, un nouveau défi que je faisais avec DrEnfer, ou Donzay : énerver les caïds était une des seules choses qui nous intéressaient... En gros, on se faisait chier, on voulait de l'action, prendre des risques. J'avais prévu avec ma bande de bras cassés de faire sonner les alarmes du musée, trop couuuulllle 8)
« Amatsu ! Regarde moi ce boloss «  me fit denfer en montrant Zgidifried, le pote-mouton invétéré de Chocobodosef et de sa copine Roflmaozedong. Ce boloss en effet, était un train de se foutre un doit dans le pif, en moins de deux j'avais sorti mon samsung téléphone 5mégapixels pour photographier sa ganache d'attardé ! Ça allait faire le tour du bahut, il s'énervera et provoquera des bagarres, owiiiiiii !
Je sorti m'a psp pour me relaxer un moment, plus que 30 minutes avait annoncé M.Kay :hap:
Je fut pris d'une envie soudaine de dormir, mais, pensant que c'était la nuit agité de hier, je lutta contre cette attaque.

Middle...
« Tu veux mon mars, p'tite culotte? :hap:
- Owi merci ^^ c'est trop mignon :-p « 
Mon plan fonctionnait, le courant passait entre nous 8) j'ai décidé de lui demander de sortir avec moi aujourd'hui, c'est la journée parfaite. J'espère seulement que ces tocards de gros bras comme chocobodosef n'allait pas encore nous faire chier :(
Bref, après avoir piqué le mars de méthane (désolé) pour le passer à petite culotte, je volait celui de junoke pour le manger, mon ventre gargouillait énormément.. :-p j'ai réussi à lui chourrer à temps, malheureusement la faim disparut et une sensation de fatigue m'envahit, alors que petite culotte semblait s'angoisser sur son siège...

Guims...
Le remue ménage des pulsions puérile du bus avait cessé, tout le monde semblait calmé... ça me paraissait bizarre, et j'avais cet sorte de pressentiment qui me hantait, bon ou mauvais. Moi-même je semblait fatigué, pourtant, guims n'est jamais fatigué ! Il se passe quelque chose, je sens toujours ce genre de chose, c'est ce qui m'a permis de me placer aussi haut dans l'échelle sociale, mon sens, mon intuition.
Celle-ci me disait aussi que ce Jean merde était quelqu'un de bien, de profitable je veux dire. Un rejeté comme lui pouvait me servir, ça sert toujours, très facile à endoctriner...
Plusieurs personnes s'était endormies, bizarrement, cette dévergondée de petite culotte s'agitait toute seul, et son ami, au bord de la léthargie, essayait de la calmer.
C'est là que j'eus le déclic, un frisson de plaisir et de violence parcouru mon dos : j'allais enfin pouvoir réaliser mon rêve.
Je ne put m'empêcher de lâcher un rictus, alors que les gaz soporifiques faisaient leur effet...


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