Note de la fic : :noel:

Battle Royal 3


Par : [O-Kay]
Genre : Action
Statut : C'est compliqué



Chapitre 4


Publié le 29/10/2008 à 22:21:06 par [O-Kay]

Partie 2 :

Guims...
Quoi?! Un couteau suisse? Et un vulgaire boomerang en bois? C'est quoi ces « armes » ? Je mérite bien plus que ça ! Je veux tous les buter et il me faut une arme à feu !
Je vais devoir m'adapter...
Après être sorti du complexe, je me retrouve dans une cour entouré par les fourrées puis une forêt dense. Je remarqua rapidement un chemin mal formé que la plupart des « candidats » ont du emprunter. Ils n'ont surement pas eu la même idée que moi, ces abrutis ! J'avance vers le sentier, et me cache à 3 mètres de son début, sur un des côtés, bien dans les buissons...

Tarra...
Pourquoi.. Pourquoi moi?? Je veux retrouver mon chez moi... Mon ordinateur... mes profs adorés et pas cet enfoiré d'O Kay ! Ma famille, mes parents, que vont-ils penser???
A mon tour de passage, je reçu un M16, une grosse mitraillette que j'avais déjà utilisé dans Counter strike, mon jeu favori ! Je sortis du bâtiment en courant, je saisi une photo de moi et mes parents, la retournait et vis : «Papa, maman, Tarra »
Cette photo me fit monter une larme.. Il fallait que je sois fort ! Je vais aller me cacher, loin, et survivre ! Loin de ce bâtiment de malheurs ! J'empruntais alors un sentier qui s'embourbait dans une forêt très dense...

Amastu...
Ça fait déjà 45 minutes que je marche, mais il me faut hâter ma course, je dois rejoindre Donzay et d'enfer et tout à l'est de l'endroit où on se trouve, une île en l'occurrence.
Comme je fut un des derniers à sortir, je me méfiait du chemin, peut-être que quelqu'un rôdait dans les parages, je sortis donc... Mon tazer et mon couteau de combat... ça peut toujours être utile, hein?
Alors que je distinguai l'océan, ou la mer depuis la forêt qui se raréfiait, je doubla de prudence, il me fallu trouver les deux autres, ce que je fit rapidement, il étaient dans une cabane en bois, au bord des rochers. Ils me firent des grands signes, mais sans bruit, je me rapprochait rapidement, puis vit, derrière la cabane...

Guims...
Presque tout le monde était passé, tout ceux après moi, 3 personnes en tout. Elles n'avaient cependant pas de bonnes armes, et je reportait mes futiles espoirs sur la dernière personne. Caché dans les fourrées, je vit la porte du complexe s'ouvrir, et vit un pauvre petit déchet s'aventurer dans la cour, il s'arrêta à un moment pour sortir quelque chose de sa poche, puis reprit son chemin.
A mi-distance entre le chemin et sa position, je puis voir son arme, accroché en bandoulière : une grosse mitraillette, très grosse, BINGO !
Sans aucunes garde il s'approcha, et emprunta le sentier. Je serrais bien dans ma main le couteau suisse en mode lame, pitoyable qui plus est.
Père m'a formé à tous les arts de combat : krav maga, ji jutsu, karaté, aikido... Ainsi qu'au port d'arme, à l'arc et au lancer. A 2 mètres de moi, le futur-mort s'arrêta pour sortir de sa poche une photo, la même que tout à l'heure. Je saisi l'opportunité, je bondis comme un guépard sur ma cible et sans qu'il n'ai pu tourner les yeux je lui asséna un coup de pied retourné dans la gueule, il tituba et s'écroula, le nez en sang. J'ouvris alors la paume de ma main pour lâcher avec une violence terrible mon couteau, se plantait dans la gorge de ma victime. Il toussait, suffoquait, perdis un peu de sang mais l'artère n'était pas touchée. Je saisi son M16 mais écarta l'idée de l'achever avec, ce qui occasionnerait un bruit trop important. Je me pencha sur son corps meurtri, saisi le couteau, et décrivis un trait de gauche à droite, transperçant la carotide de ce parasite. Le sang s'écoula grandement, et, dans un soucis d'égo, je pris sa photo pour mettre un nom à l'artère que j'avais tranché : Tarra. J'allais alors partir vers la forêt...
Soudain, la lumière de la porte du complexe s'alluma, et un individu sortit. Il partit dans un autre direction, avec deux mallettes de fer, surement remplies.
Ce Tarra n'était-il pas la dernière personne sortie? ...


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