Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

Julie et moi


Par : Ptite_Princess
Genre : Sayks
Statut : C'est compliqué



Chapitre 16


Publié le 30/09/2008 à 19:07:33 par Ptite_Princess

Julie était en stress! Elle se leva d'un coup et me dit "Rhabilles toi!".
J'enlevais le foulard. Elle était en train de ranger une boite dans son armoire, en haut derrière ses fringues. Je pris mes affaires, mais j'étais toute mouillée. Il fallait que je m'essuie un minimum. Elle avait sortie une serviette de bain, et, après s'être essuyé, elle me l'a tendu. J'épongeais mes cuisses et ma chatte, en pensant que sa trempe à elle était mélangé à la mienne....Mmmm... Non! Fallait pas y penser, fallait se bouger le cul et tout ranger! Elle s'activait, nue. Ses seins se trémoussaient dans tous les sens. Je rassemblais nos affaire et commençais à m'enfiler ma culotte. Elle me vit faire, et vint me prendre dans ses bras. Collée sur moi, sa peau était si douce! Elle me serra fort et dit:
"- Désolée... mon effet est manqué..... Je déteste ce type!
- Hey, t'en fait pas. Tu sais pas ce que tu m'as fait! J'étais toute excitée!
- Oui, mais ça sera plus pareil, la prochaine fois tu vas t'y attendre... dit-elle déçue.
- Peut être. Mais je suis sûr que tu vas trouver un moyen de me surprendre. Tu es si forte pour ça!
Elle me sourit. J'ai pris son visage dans mes mains, et je l'ai embrassé. Elle me serra fort. C'était si bon de l'avoir près de moi comme ça!
Mais j'entendais les garçons rentrer les valises et s'apprêtaient à monter à l'étage.
"- Bon, on s'habille, p'tit cul?"
Elle sourit encore, j'adore son sourire! Je crois qu'il m'a marqué à jamais. On se préparait le plus vite possible. Nos cheveux étaient collés, nous avions sué et nos doigt sentait la femme. Mais nous n'avions pas le temps de penser à ça, car on entendait Anthony parler en arrivant dans le couloir. La chambre de Julie était avant celle de Benjamin. Et on les entendait arriver alors que nous n'avions mis que nos sous vêtements! Julie enfila vite une robe. Moi je devais remettre ma jupe et mon corset, et je galérais à les enfiler! Les pas étaient plus proche, et on entendais :
"- Et ta sœur elle est là? Elle dois avoir grandit maintenant, non? Depuis l'été dernier, héhé...."
Je finissais de mettre ma jupe, et j'avais commencé à lacer mon corset, mais j'étais toujours débraillée. Julie était en train de faire le vide de tout ce qui pouvait nous trahir, et "installait" une scène plus descente, fermait la fenêtre et jetait des magazines sur le lit.
"- Je vais lui faire un coucou en passant!
- euh attends ! ... euh... tu devrais mettre tes affaires dans ma chambre d'abord, dit Ben, en essayant de nous couvrir.
Je trouvais que c'était sympa. D'un coup, j'eus une pensée pour lui, qui savait, qui nous laissait faire sans rien dire, ni nous juger, et même, qui nous protégeait.
" - Mais non! Tu vas voir ça va lui faire une sacrée surprise. Et si elle dort, je la ferais sursauter!! Ça va être marrant!
Putain de corsage! J'avais les seins à l'air et Julie dut venir m'aider. Mais on entendait les pas près de sa porte. Les sacs se posaient. Ben dis assez fort "Attend! Frappe au moins avant d'...."
Vlan! La porte s'ouvrit. Julie avait juste eu le temps de me pousser dernière la porte et de passer sa tête.
"- Salut petiote!
- Tu peux pas frapper avant d'entrer, gros con?!
- Et ben je vois que je t'ai manqué!
- Ben! Tu peux pas dire à ton copain de dégager de ma chambre et de respecter mon intimité?
- Hey.... mais t'es pas toute seule ici."
J'avais fini de m'habiller, et j'étais toujours derrière la porte, mais comme les volets étaient entre baillé, il voyait mon reflet dans la fenêtre qui était en face de la porte. Je sortie de ma cachette, et essayais d'être aussi sûr de moi que Julie. Je le regardais droit dans les yeux. Puis je regardais Ben, et là, je baissais les yeux, consciente de ce qu'il avait fait pour nous. Anto me reluquait de haut en bas. C'était bizarre. J'étais en colère contre lui, d'avoir tout fait rater, mais... il était trop beau, un Appolon. Sa façon de me regarder, comme s'il scrutait tout ce qu'il pourrait faire avec moi, ça me donnait des frissons. Ma chatte bavait de désir pour ce garçon. Mais je me repris et dis:
"- Ca te gène pas de rentrer chez les gens comme ça?! On veut être tranquille nous!
- Hey, ça va les filles sortez pas vos griffes! dit-il en se marrant.
- Bon ça suffit, on y va, dit Ben dans un dernier élan de bravoure.
- Ouais c'est ça, dégage gros con! dit Julie s'adressant à Antho et claquant la porte sur son nez.
On l'entendait parler de l'autre coté de la porte:
"- Hey mon pot, elles sont coriaces les deux, ça va être drôle!
- C'est ça, débranche les s'te plais.
- Quoi? Tu vas pas me dire que je peux pas m'amuser un peu? C'est des gamines, gars. C'est juste pour déconner.
- Ouais, je sais. Mais je pense pas que ça va passer, là.
- On verra, mon pote..... Elle est charmante sa copine, c'est qui?"
- T'as aucune mémoire toi?! C'est ..."
Puis on entendit la porte de Ben se fermer.

"- Quel gros con celui là, me dis Julie pleine de rage. En plus, il parle sur toi..... je vais trop être énervée.
- T'inquiètes, c'est juste pour déconner. On compte pas pour lui.
- Pardon? Ouais, c'est sur. Mais s'il pouvait tirer une fille... il se gênerait pas si l'occasion se présentait, crois moi.... C'est comme l'année dernière, dit-elle plus pour elle-même.
- Qu'est-ce que tu veux dire? Je m'inquiétais un peu. Il t'a fait du mal? Je la questionnais en la prenant dans mes bras.
- .... non... NON! Mais si mon frère était pas passé par là, je sais pas si j'aurais toujours gardé ma .... ma candeur....
Elle avait presque les larmes aux yeux. J'avais de la peine pour elle. Elle ne voulais pas se faire toucher par un garçon. Elle était sorti avec des mecs, pour voir et puis parce qu'elle ne pouvait pas avoir qui elle voulait vraiment. Mais elle n'était jamais allée plus loin... quoi qu'en ai prétendu ses ex.
Les jours d'après, nous allions chez moi pour faire l'amour. Mes parents étaient allés chez ma tante pour la semaine, donc Julie restait aussi dormir chez moi. C'était bon de dormir près d'elle. Elle se blottissait dans mes bras et s'endormait paisiblement. Elle disait qu'elle aimait mes gros seins:
"- Ils sont confortable...tout ton corps est confortable.
- Je suis trop grosse, c'est tout. Dis-je avec une pointe d'ironie.
- Non, tu es parfaite. Disait-elle en se serrant contre moi.
La présence d'Anto, avait bridé notre libido. Je n'allait pas voir son bibelot froid et long avant un bon moment... Enfin... ce qui était vraiment bridé c'était... sa libido. Moi, j'étais déjà en train de m'imaginer ce qui pourrais arriver, si je me retrouvais seule face à lui. J'avais trop envie que ça arrive... et je crois que j'ai tout fait pour provoquer ce qui s'est passé.


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