Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

Ma cousine, une bombe


Par : Bay
Genre : Sentimental
Statut : C'est compliqué



Chapitre 40


Publié le 27/12/2009 à 15:39:24 par Bay

Chapitre 38

Je partis alors de la chambre, tapant dans la commode et prenant soin de tout foutre par terre, descendant alors les escaliers, énervé, ne pensant plus à rien, juste à me défouler, à extérioriser ma colère. Heureusement, je ne croisais pas des personnes de ma famille, je n'aurais pas su quoi leur répondre, et surtout je n'aurais pu leur répondre calmement. Arrivé prêt de la porte, j'entendis Laura me demandais ce qu'il y avait, étant resté dans la salle à manger, je ne répondis pas, et claqua la porte. Je ne savais vraiment pas quoi faire, alors le seul endroit qui pourrait me faire du bien, c'est la salle de musculation. Une fois les marché gravies, je ne pouvais m'empêcher de repenser à Cassandra, et à ma première fois ici, sur ce canapé. Un cri sourd et violent sortit alors de ma bouche, je criais toute la violence que j'avais en moi, que j'avais amassé à cause d'elle.

Qu'allais-je faire, qu'allais-je penser maintenant. J'étais choqué, je ne réagissais plus, je n'avais plus d'énergie. Je m'asseyais sur le lit, avant de me coucher dans les draps. La rage. Ce n'était même pas de la colère qui remplissait mon esprit, ou encore de la tristesse, mais vraiment de la rage :( A cet instant précis, il n'y avait vraiment rien d'autres que de la rage qui parcourait mon coeur, je voulais le tuer, je voulais la tuer, je voulais me tuer. Que faire ? Je décidais alors, pour me calmer un peu déjà de fermer la porte du garage et de la salle de muscu à clefs, pour être sur de ne pas être déranger, et je passais alors mon après-midi ici, mélangeant réflexion, musculation, et diverses plaisir tel que la douche, le repos et manger un peu :content:
Après plusieurs heures passées dans ce garage, à faire diverses activités, j'étais enfin calmé, plus ou moins ... et je me décidais enfin à sortir un peu. J'ouvris lentement la porte de la salle, c'est alors que j'entendis Clément parler avec Cassandra ...

- Non, j'suis désolée mais tu peux pas lui en vouloir !
- C'est ça oué, ce p'tit con là, j'le retrouve j'le tue ! Et toi ! Il t'a frappait et tu continues à le défendre ?
- Mets toi à sa place .. il vient de nous voir entrain de ba*ser aussi !
- Et alors ? Il l'aurait bien appris un jour ou l'autre .. depuis le temps

Depuis le temps ? C'était même pas un coup comme ça ? Et voilà, la rage revient :( Je sentais qu'on m'avait réellement pris pour un con depuis un petit moment .... bon j'écoute la sweet ( :hap: ) on verra bien !

- Peut être, mais je l'aimais bien quand même moi
- Un puceau précoce, j'vois pas pourquoi sérieusement :rire:
- Y'a pas que ça qui compte tu sais, il était marrant quand même ^^
- Mouai', mais bon c'est quand même mieux avec moi non ?
- Ba Vince était pas mal tu sais, et je sais qu'il m'aimait bien ...

Ma tête dépassé alors pour assister à la scène, et je pu alors voir Clément décocher une droite à Cassandra. Je ne pouvais plus me contrôler, je sautais d'un bon des 4 mètres qui séparaient le garage de la salle de muscu, l'atterrissage me fit plutôt mal à la jambe. J'étais alors devant lui, la jambe toute rouge, je ne pouvais plus bouger.

- Tiens donc, le voilà le petit con ! Alors tu t'es bien marré tout à l'heure hein ?
- T'es vraiment un taré toi ! T'as pas honte de ce que tu viens de faire là ? J'vais t'en coller u...

Je n'eu même pas le temps de terminer ma phrase, que son genoux vint directement se coller sur ma mâchoire. J'étais par terre, la jambe cassée, la mâchoire en sang, et quelques dents pétés. Je souffrais le martyre, et pourtant otut au fond de moi, je sentais que c'était mérité, que je ne devais que souffrir :noel: Bien le maso ? Et pourtant, lui il n'avait pas fini, et prononçait sans cesse "Alors comme ça tu aimes les chaises hein ? Prends toi ça ! :fou: " En me balançant tout ce qui lui passait sous la main. J'étais alors inconscient, pensant mourir. Je me réveillais alors dans une chambre ne m'étant pas familière, ne reconnaissant rien. Je vis Cassandra devant moi, d'un air triste, me disant que j'étais à l'hôpital, et que Clément lui était chez les flics. :(


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