En préparant mes affaires, je pensais à tout ce qui s'était passé.
Je n'étais pas juste avec Ben. Je n'était pas juste avec Julie. Ni avec moi même. Cette situation allait surement me faire tout perdre. Combien de temps Ben allait tenir en gardant le secret? Je me disais qu'il souffrirait beaucoup. Surtout de me savoir avec elle. Et d'un autre côté je ne pouvais pas rompre avec Julie le soir même... c'était trop dur. J'étais tiraillée entre mes désirs pour Julie et mon amour pour Ben. Je décidais de ne pas y penser ce soir là, de me donner à Julie en entier, de ne rien laisser paraitre de mes doutes. Toutes ces questions! Mais je ne pouvais rien faire pour le moment. Je ne pouvais pas l'annoncer comme ça à Julie. Elle semblait si excité à l'idée qu'on se retrouve. Et moi de l'avoir re-vue, je voulais encore tellement d'elle, mon désir était intact. Mais je me demandais à présent, si c'était simplement du désir, ou de l'amour... ce que j'avais connu avec Ben était si différent.... je l'aimais tant, je l'aimais plus fort, si intensément... STOP!! Arrête de penser.

Je partais de chez moi avec un gros sac. J'avais mis quelques affaires pour cacher au fond la boite en carton. Je n'avais pas laissé les photos dedans. Je les avait faites pour elle, et finalement, je voulais les lui donner en main propre, pour voir sa réaction et voir si ça l'excitait. Je voulais qu'elle les voit devant moi.
J'avais pris ma douche chez moi et j'avais mis une petite jupe au genoux et un top léger. Mon soutif galbait mes seins. En passant d'un jardin à l'autre, je sentais l'air frai du soir sur mes fesses nues. Je sonnais à la porte. Le père de Julie vint m'ouvrir. Il souriait et me dit:
"- Et bien jeune fille ! Pas encore rentrée que Julie et toi voulez être ensemble !! Vous devez avoir plein de choses à vous raconter !! ahahah! Allez monte elle vient d'entrer sous la douche, mais elle devrait pas être longue.
- Merci monsieur.
Il ferma la porte derrière moi. Il repartait dans le salon rejoindre sa femmes, quand je lui demandais :
"- Monsieur?
- Oui?
- ... euh... est-ce que Ben est là?
- Oui. Mais il a dit qu'il sortait, il a une soirée de prévu chez un copain.
- ah... merci.
- ahah! Ne t'inquiètes pas, il viendra pas vous embêter! ahah!
Il rigolait et s'en alla. Je montais les escaliers, j'entendais l'eau de la douche se mettre en route. Je me dirigeais dans la chambre a Julie. Quand Ben sortit de sa chambre. Il me regardais surpris. Puis triste. Je lui sourit gentiment. Il ne bougeait pas. Alors je m'avançais, posa mon sac à l'entrée de la chambre de Julie, et m'approchais de lui. La douche résonnait toujours. Il avait un regard douloureux. Je sentais son mal être et j'avais mal pour lui. J'étais tout près de lui. On entendait toujours la télé du salon et le jet de douche. Je lui pris la main, doucement. Je regardais sa main. J'avais glissé mes doigts entre les siens, et je sentais qu'il allait vraiment me manquer. Je vouais être près de lui, mais je ne pourrais pas. Je le regardais et chuchota:
"- Ben... J'ai beaucoup réfléchi... je... je veux pas que tu souffres... je.... je...
- Ne dis rien... s'il te plais.
Son ton était suppliant et plein de rancoeur.
"- Mais je...
Il mis son doigt sur mes lèvres. Il regardait par terre, pensif.
- Tout à l'heure.... vous... de vous savoir ensemble... je... Sophie....je pourrais pas tenir si je reste ici. Je vais chez un pot pour le week-end....
Puis il me fixa et continua:
"- Laisse moi du temps. J'ai trop envie d'être avec toi. Mais la situation est trop dur... et c'est que le premier jour....
Il se glissa près de mon oreille. Me donna un baiser dans le cou et susurra :
"- Je t'aime. Ne m'en veux pas. Je reviendrais quand j'aurais les idées claires.
Il serra ma main fort, puis me la lacha. Mes larmes montaient, mais je ne pouvais rien faire.

J'avais rangé la boite derrière les habits et je m'étais allongée sur le lit. Je re-pensais à tout ça. Puis je me laissais emporter dans mes rêverie.
Je n'avais pas entendu Julie rentrer, nue sous son peignoire. Elle s'était glissé sur son lit, derrière moi. Elle caressait mes jambes. Sa peau était fraiche et douce. Je me réveillais en douceur avec ses caresses délicates. Je ne bougeais pas. Je voulais sentir ses mains sur mon corps. J'avais besoin d'être réconforter. Ses caresses adoucissaient mon coeur.
Elle remontait le long de mes cuisses passant sous ma jupe. Je sentais sa main réchauffer ma peau. J'aimais son contact. Mes seins gonflaient et ma respiration devenait plus profonde. Elle m'embrassa dans le dos. C'était bon. Tendre. Je me retournais lentement. Je me retrouvais face à elle. Elle me souriait. Elle me donna un baiser et approcha son corps près du mien, très près. Je sentais sa poitrine se soulever contre moi. Elle était si jolie. Elle ne disait rien. Elle me regardait et s'approcha de mon visage pour m'embrasser. Sa bouche contre la mienne... je sentais mon désir monter. Je glissais mes mains dans son dos, la serrant fort contre moi. En la relachant, son peignoir laissait découvrir un bout de son sein, sans le dévoiler complètement. Je la voulais, je voulais lui faire du bien. Je ne pensais plus à rien qu'à elle et son plaisir.
Je passais mes mains sur son corps. Je la sentais frémissante. Elle fermait les yeux. Elle soupirait. Elle passait ses mains sous ma jupe, découvrant ma nudité. Elle me regardait intensément, comprenant que je la désirais. Elle s'assit de coté et me fit assoir aussi. Elle retira mon haut et décrocha mon soutient gorge. Elle m'enleva aussi la jupe et en quelques secondes je me retrouvais nue devant elle. Elle regardait mon corps comme une belle sucrerie qu'on veut énormément. J'étais tendue, elle habillée, même juste en peignoire, et moi complètement nue. C'était très excitant. Elle voulait dénouer sa ceinture, mais je voulais rester comme ça un moment. Complètement exposée. Nous nous sommes embrassées. Sa langue était toujours aussi agréable dans ma bouche. Elle me touchait. Les épaules, les bras, les hanches. Elle me faisait vibrer. Elle m'incitait au plaisir. J'en voulais encore. Elle se mis a genoux sur le lit et se pencha sur mon corps nu. Mes seins pointaient et durcissaient au contact de la langue. Je respirais plus fort. Son peignoir laissait deviner ses formes cachées mais je m'interdisais de passer dessous pour le moment. Je la caressais par dessus pour lui donner plus envie. Elle caressait mes fesses et mon dos. Puis glissa sur mes hanches et très près de mon sexe plein de désir pour elle.
"- mmmmm... MMMmmm.....
Je passais ma main sur sa jambe découverte. Elle était douce. Elle embrassait toujours mes seins et mon cou. Elle semblait prendre du plaisir à les retrouver. Je voulais l'exciter. Alors, je me reculais et me leva. Elle était resté en arrière un peu surprise. J'allais vers mon sac pour prendre son cadeau. J'étais penchée devant mon sac, mes fesses cambrées pour me montrer sous un beau jour. Elle me regardait. Ca me plaisait. Je sortais mon petit paquet empaqueté du ruban. Je les avais toutes regrouper. Tout mon déshabillé, rien que pour elle.
Je me suis retournée et je me suis approchée doucement du lit. Mes gros seins flottaient et frissonnaient. Elle me regardait interdite. Je lui dit:
"- Je t'avais dit que j'avais pensé à toi...
Elle s'était assise sur le rebord du lit. Je me mis a genoux entre ses jambes. Je pouvais deviner sa chatte humide, et je voulais m'y plonger goulument. Mais j'attendais tendue et pleine d'envie.
"- C'est pour toi. Je te laisse regarder.... prend ton temps.
Je lui donnais les photos et commençais à frôler mes seins durs sur ses genoux et à l'intérieur de ses cuisses. Elle regarda la première et restait stupéfaite...
"- Tu... c'est... tu... tu as fait ça pour moi...
- Mmmoui ... ça te plais ?
Elle regardait la deuxième...
"- oh! Oui... c'est... tu es trop belle...
J'étais flattée. Alors je commençais à embrasser l'intérieur de ses cuisses.
"- Je vais voir si ça te fait de l'effet, lui soufflais-je un brin coquine.
Et pendant qu'elle regardait les images, j'écartais un peu son peignoir, juste assez pour voir entre ses jambes. Elle respirait fort, et commençait à haleter. Je m'approchais de son corps, glissais ma langue contre ses cuisses puis progressant plus loin, je soufflais légèrement sur sa vulve. Je sentais son parfum et je salivais à l'idée d'aller la gouter. Mais je voulais garder la tension encore un peu, la combler pour les dernières photos. Alors je reculais. La regardant réagir, je caressais ses cuisses et j'allais frôler son clito avec des petits va-et-viens ponctuellement. Elle se cambrait et chuchotait:
"- Elles sont trop belles... Ohhhh... Mmmm...
Elle regardait celle où je m'étais prise de dos penchée, mes fesses et ma vulve bien dans le champs. Elle murmurait :
"- oh... c'est pas vrai... oh... c'est trop bien...
- Ca te plais?
- Mmmmoui! J'adore. Je ne pensais pas que tu ferais ça pour moi...
Je pensais que ça allait pas arranger les choses... Ah! Arrête de penser! Je me concentrais sur elle. J'étais contente que ça lui plaise.
Je dénouais son peignoir d'où s'échappa ses petits seins fermes. Je les pris dans mes mains, et caressais des tétons fermes. J'avais envie de la gouter. Je redescendais mes mains sur ses hanches, et caressais ses fesses. Puis lentement, je passais ma tête entres ses jambes, les lui écartant un peu. Je sentais son désir, et je commençais à donner de petits coups de langue sur le bout de son clito. Elle s'essoufflait. Mes mains s'étaient approchée de sa vulve pour soulever un peu ses lèvres et glisser ma langue tout le long de son sexe. Elle était humide, et son nectar coulait agréablement dans ma gorge. Elle gémissait et se cambrait. Elle posa une main sur ma tête. Je m'arrêtais et lui dit de regarder. Elle continuait de regarder mes photos, et je la léchais, perdue dans mon plaisir d'avoir sa chatte dans ma bouche. Quel délice! L'idée qu'elle regardait des images de moi, nue, et en même temps de la masturber avec me langue... j'étais très excitée.
Quant elle eu fini de regarder, elle posa les photos sur le coté et se mis cambrée sur les bras en arrière en écartant encore plus ses jambes. Je me réglais de sa mouille. C'était si bon. Elle gémissait, le peignoir encore sur ses épaules. J'aimais l'entendre souffler de plus en plus fort. Elle gémissait plus fort alors que je suçais et aspirais son jus. J'avalais ma salive mélangée à elle. C'était bon. Elle gémissait plus fort, et je glissais mes doigts dans sa chatte. En rentrant en elle, je continuais à lécher son clito. Elle respirait de plus en plus fort et gémissait.
"- Mmmmm... ah..ah....mmmm
Elle posa sa main sur ma tête.
"- MMMMmmmm......
Elle soupirait. Elle se cambrait et gémissait. Son vagin se contractais sous mes poussées.
"- AHHH.....Ah....ahahhhhh.... Mmmmm....
Elle prenait du plaisir. Elle murmurait des soupir de jouissance.
"- Encore... mmmmm...encore...ah...ah...ah.....
J'étais trempée. Ma bouche pleine d'elle, ma chatte miaulant de désir. Je continuais à la pénétrer et à boire son eau, tout en palpant ses seins avec ma main de libre. Ses seins étaient tendus et durs. J'étais excitée au possible! Sa main se serra dans mes cheveux et elle appuyait sur ma tête en gémissant fort! Elle jouissait
"- AHHHHHHHH... Oh! Oh! ... ahhhhhh....
Elle poussa ma tête pour que je me retire et me fit signe de venir sur ses lèvres. Je me levais puis l'allongea sur le lit en me penchant sur elle. Je l'embrassais.

Nous avons passé une très grande partie de la nuit à se caresser, s'embrasser, se faire jouir. A son contact, j'oubliais tout mes doutes. Je ne pensais à rien. J'étais juste là. Elle et moi. Le plaisir, le désir. Elle me donnait son amour. Je lui rendais celui que j'avais pour elle, même si ça n'était pas aussi fort qu'avec son frère. Mais je l'aimais. Cette nuit, j'ai compris que, pour moi, ça ne pourrait jamais être plus que du désir et de la tendresse avec Julie. Contrairement à ce qu'elle ressentait pour moi. J'avais compris. Et je ne pourrais pas lui mentir longtemps. Mais pas ce soir. Pas demain. J'étais bien.
Elle s'était endormi sur mon sein. Ses cheveux sentaient bon, et son corps chaud contre le mien m'avait rassuré et réconforté. Je ne pouvais pas me résoudre à lui briser le coeur. Elle m'avait supplié de ne pas la quitter... Mais je ne ressentais plus les même choses... ça serait lui mentir que de rester avec elle malgré mes sentiments pour son frère. Comment j'allais faire? Je me sentais déchiré... STOP! ARRETE DES PENSER !!! Tu verras plus tard.